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PUF
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Paris
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6, Avenue Reille
75685 Paris France
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Les méthodes en sociologie / Raymond Boudon
Titre : Les méthodes en sociologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Raymond Boudon, Auteur Editeur : Paris [France] : PUF Année de publication : 1995 Collection : Que sais-je? Importance : 126 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-045388-8 Langues : Français Catégories : Sociologie Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Comment décrire les phénomènes sociaux ? Comment les expliquer ensuite ? Les méthodes dont le sociologue dispose répondent de manière différente à ces questions, selon l'angle sous lequel elles les abordent.
L'analyse causale, l'individualisme méthodologique et la rationalité cognitive constituent les trois grandes méthodes sociologiques, décrites avec clarté et illustrées par de nombreux exemples dans la nouvelle publication, très largement inédite, de cet ouvrage de référence.Les méthodes en sociologie [texte imprimé] / Raymond Boudon, Auteur . - Paris (6, Avenue Reille, 75685, France) : PUF, 1995 . - 126 p. - (Que sais-je?) .
ISBN : 978-2-13-045388-8
Langues : Français
Catégories : Sociologie Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Comment décrire les phénomènes sociaux ? Comment les expliquer ensuite ? Les méthodes dont le sociologue dispose répondent de manière différente à ces questions, selon l'angle sous lequel elles les abordent.
L'analyse causale, l'individualisme méthodologique et la rationalité cognitive constituent les trois grandes méthodes sociologiques, décrites avec clarté et illustrées par de nombreux exemples dans la nouvelle publication, très largement inédite, de cet ouvrage de référence.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1458a E. BOU Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Gouverner le capitalisme? Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Ferreras, Auteur Editeur : Paris [France] : PUF Année de publication : 2012 Importance : 292 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-060674-1 Prix : €18,- Langues : Français Catégories : Economie ; Politique ; Travail Mots-clés : 'capitalisme 'bicaméralisme' 'travail salarié' 'démocratie' 'entreprise' Index. décimale : F.04.2. Gouvernance et statuts des entreprises (économie classique et sociale) Note de contenu : Le travail salarié ne connaît pas la démocratie. Une fois franchi le seuil de l’entreprise, le citoyen devient un « facteur travail » soumis aux décisions des seuls apporteurs en capital. Pourtant, l’histoire occidentale nous a appris les bases institutionnelles du processus de démocratisation : le système bicaméral. Innovation majeure, il a rendu le gouvernement légitime, raisonnable et intelligent sous la responsabilité conjointe des deux Chambres. Gouverner le capitalisme commencerait donc par mettre en place un « bicamérisme économique » : une Chambre des représentants des apporteurs en capital, une Chambre des représentants des investisseurs en travail, un gouvernement responsable devant les deux Chambres. À l’heure où le capitalisme mondialisé inflige de lourdes pertes de souveraineté aux États et où les salariés font la dure expérience de la contradiction capitalisme / démocratie, il est temps de penser les conditions d’une souveraineté légitime dans l’entreprise capitaliste. En ligne : https://www.puf.com/content/Gouverner_le_capitalisme Gouverner le capitalisme? [texte imprimé] / Isabelle Ferreras, Auteur . - Paris (6, Avenue Reille, 75685, France) : PUF, 2012 . - 292 p.
ISBN : 978-2-13-060674-1 : €18,-
Langues : Français
Catégories : Economie ; Politique ; Travail Mots-clés : 'capitalisme 'bicaméralisme' 'travail salarié' 'démocratie' 'entreprise' Index. décimale : F.04.2. Gouvernance et statuts des entreprises (économie classique et sociale) Note de contenu : Le travail salarié ne connaît pas la démocratie. Une fois franchi le seuil de l’entreprise, le citoyen devient un « facteur travail » soumis aux décisions des seuls apporteurs en capital. Pourtant, l’histoire occidentale nous a appris les bases institutionnelles du processus de démocratisation : le système bicaméral. Innovation majeure, il a rendu le gouvernement légitime, raisonnable et intelligent sous la responsabilité conjointe des deux Chambres. Gouverner le capitalisme commencerait donc par mettre en place un « bicamérisme économique » : une Chambre des représentants des apporteurs en capital, une Chambre des représentants des investisseurs en travail, un gouvernement responsable devant les deux Chambres. À l’heure où le capitalisme mondialisé inflige de lourdes pertes de souveraineté aux États et où les salariés font la dure expérience de la contradiction capitalisme / démocratie, il est temps de penser les conditions d’une souveraineté légitime dans l’entreprise capitaliste. En ligne : https://www.puf.com/content/Gouverner_le_capitalisme Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01038a F.04.2. FER.G. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : De la division du travail social Type de document : texte imprimé Auteurs : Émile Durkheim, Auteur ; Serge Paugam, Préfacier, etc. Mention d'édition : 8e éd. Editeur : Paris [France] : PUF Année de publication : 1930 Collection : Quadrige Importance : 416 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-061957-4 Prix : €15,50 Langues : Français Langues originales : Français Catégories : Sociologie ; Travail Mots-clés : 'solidarité sociale' 'sociologie' 'travail' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Note de contenu : « La division du travail social n’apparaît plus que comme une forme particulière de ce processus général, et les sociétés, en se conformant à cette loi, semblent céder à un courant qui est né bien avant elles et qui entraîne dans le même sens le monde vivant tout entier. Un pareil fait ne peut évidemment pas se produire sans affecter profondément notre constitution morale ; car le développement de l’homme se fera dans deux sens tout à fait différents, suivant que nous nous abandonnerons à ce mouvement ou que nous y résisterons. […] La division du travail, en même temps qu’elle est une loi de la nature, est-elle une règle de conduite humaine, et si elle a ce caractère, pour quelles causes et dans quelle mesure ? »
Durkheim analyse « le rôle que les groupements professionnels sont destinés à remplir dans l’organisation sociale des peuples contemporains ». Constatant le développement des fonctions économiques dans la société, il plaide pour une moralisation et une normalisation des relations entre les différents acteurs de la vie économique. Son analyse est encore de nos jours d’une pertinence confondante, ainsi que le relève Serge Paugam dans sa préface, il insiste sur l’importance de l’analyse et sur la méthode de Durkheim.
Émile Durkheim (1858 – 1917), sociologue de réputation mondiale, fut professeur de pédagogie et de sciences sociales à l’université de la Sorbonne, chef de file de l’école française de sociologie et fondateur de la revue L’Année sociologique en 1896.
En ligne : https://www.puf.com/content/De_la_division_du_travail_social De la division du travail social [texte imprimé] / Émile Durkheim, Auteur ; Serge Paugam, Préfacier, etc. . - 8e éd. . - Paris (6, Avenue Reille, 75685, France) : PUF, 1930 . - 416 p.. - (Quadrige) .
ISBN : 978-2-13-061957-4 : €15,50
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : Sociologie ; Travail Mots-clés : 'solidarité sociale' 'sociologie' 'travail' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Note de contenu : « La division du travail social n’apparaît plus que comme une forme particulière de ce processus général, et les sociétés, en se conformant à cette loi, semblent céder à un courant qui est né bien avant elles et qui entraîne dans le même sens le monde vivant tout entier. Un pareil fait ne peut évidemment pas se produire sans affecter profondément notre constitution morale ; car le développement de l’homme se fera dans deux sens tout à fait différents, suivant que nous nous abandonnerons à ce mouvement ou que nous y résisterons. […] La division du travail, en même temps qu’elle est une loi de la nature, est-elle une règle de conduite humaine, et si elle a ce caractère, pour quelles causes et dans quelle mesure ? »
Durkheim analyse « le rôle que les groupements professionnels sont destinés à remplir dans l’organisation sociale des peuples contemporains ». Constatant le développement des fonctions économiques dans la société, il plaide pour une moralisation et une normalisation des relations entre les différents acteurs de la vie économique. Son analyse est encore de nos jours d’une pertinence confondante, ainsi que le relève Serge Paugam dans sa préface, il insiste sur l’importance de l’analyse et sur la méthode de Durkheim.
Émile Durkheim (1858 – 1917), sociologue de réputation mondiale, fut professeur de pédagogie et de sciences sociales à l’université de la Sorbonne, chef de file de l’école française de sociologie et fondateur de la revue L’Année sociologique en 1896.
En ligne : https://www.puf.com/content/De_la_division_du_travail_social Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1739a E.03.DUR.D. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Le travail démocratique Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexis Cukier, Auteur Editeur : Paris [France] : PUF Année de publication : 2017 Collection : Actuel Marx Confrontation Importance : 241 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-073638-7 Prix : 24€ Langues : Français Catégories : Philosophie ; Politique ; Travail Mots-clés : 'travail','Marx','coopératives','démocratie' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Résumé : Cet ouvrage propose de répondre au problème d’un possible « travail démocratique » : comment associer une démocratisation des activités productives et une production de nouvelles institutions démocratiques ?
Sur la base d’analyses empiriques du monde du travail contemporain, il montre que la démocratisation intégrale des activités dans l’entreprise est socialement légitime, théoriquement concevable et politiquement nécéssaire. Il analyse le sens démocratique de la critique ordinaire du travail, et questionne les modèles pour concevoir un travail démocratique, ainsi que ses enjeux politiques, qui concernent notamment le droit du travail, les luttes féministes et la transition écologique. Enfin, il examine les expérimentations (coopératives, autogestionnaires, conseillistes) de démocratie dans l’entreprise, et propose à la discussion des voies institutionnelles qui permettraient de mettre le travail au service non pas de l’accumulation capitaliste mais de la démocratisation de la société.Note de contenu : Démocratiser l'entreprise et travailler autrement... Oui, mais comment ? Et pour faire quoi ? Cet ouvrage pose les bases d'une transformation radicale des institutions du travail qui devrait conduire à le mettre au service de la démocratisation de la société, et non plus de l'accumulation capitaliste.
Sur le fondement d'analyses empiriques du monde du travail contemporain, il s'agit ainsi pour l'auteur de mettre en lumière le sens démocratique de la critique du travail qui se développe aujourd'hui, de questionner les modèles théoriques qu'il s'y agisse de la lutte des classes ou d'un idéal de démocratie industrielle qui vont dans la direction d'un « travail démocratique », d'examiner ses enjeux politiques, notamment par rapport au droit du travail, aux luttes féministes et à la transition écologique. Il examine en particulier les expérimentations (coopératives, autogestionnaires, conseillistes) qui cherchent à réaliser ici et maintenant la démocratie au travail. Enfin, il identifie un certain nombre de voies institutionnelles qui devraient favoriser un processus de démocratisation du travail, pour aller au-delà du clivage entre les droits du citoyen et les droits du travailleur.
Cet ouvrage de philosophie sociale et politique prend ainsi parti dans les débats contemporains qui portent sur l'avenir du travail et de la démocratie, ainsi que sur les conditions d'un dépassement du capitalisme, en défendant une thèse simple : si nous voulons radicaliser la démocratie, nous devons aujourd'hui prioritairement démocratiser le travail.En ligne : https://blogs.mediapart.fr/thomas-coutrot/blog/210218/le-travail-democratique-il [...] Le travail démocratique [texte imprimé] / Alexis Cukier, Auteur . - Paris (6, Avenue Reille, 75685, France) : PUF, 2017 . - 241 p.. - (Actuel Marx Confrontation) .
ISBN : 978-2-13-073638-7 : 24€
Langues : Français
Catégories : Philosophie ; Politique ; Travail Mots-clés : 'travail','Marx','coopératives','démocratie' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Résumé : Cet ouvrage propose de répondre au problème d’un possible « travail démocratique » : comment associer une démocratisation des activités productives et une production de nouvelles institutions démocratiques ?
Sur la base d’analyses empiriques du monde du travail contemporain, il montre que la démocratisation intégrale des activités dans l’entreprise est socialement légitime, théoriquement concevable et politiquement nécéssaire. Il analyse le sens démocratique de la critique ordinaire du travail, et questionne les modèles pour concevoir un travail démocratique, ainsi que ses enjeux politiques, qui concernent notamment le droit du travail, les luttes féministes et la transition écologique. Enfin, il examine les expérimentations (coopératives, autogestionnaires, conseillistes) de démocratie dans l’entreprise, et propose à la discussion des voies institutionnelles qui permettraient de mettre le travail au service non pas de l’accumulation capitaliste mais de la démocratisation de la société.Note de contenu : Démocratiser l'entreprise et travailler autrement... Oui, mais comment ? Et pour faire quoi ? Cet ouvrage pose les bases d'une transformation radicale des institutions du travail qui devrait conduire à le mettre au service de la démocratisation de la société, et non plus de l'accumulation capitaliste.
Sur le fondement d'analyses empiriques du monde du travail contemporain, il s'agit ainsi pour l'auteur de mettre en lumière le sens démocratique de la critique du travail qui se développe aujourd'hui, de questionner les modèles théoriques qu'il s'y agisse de la lutte des classes ou d'un idéal de démocratie industrielle qui vont dans la direction d'un « travail démocratique », d'examiner ses enjeux politiques, notamment par rapport au droit du travail, aux luttes féministes et à la transition écologique. Il examine en particulier les expérimentations (coopératives, autogestionnaires, conseillistes) qui cherchent à réaliser ici et maintenant la démocratie au travail. Enfin, il identifie un certain nombre de voies institutionnelles qui devraient favoriser un processus de démocratisation du travail, pour aller au-delà du clivage entre les droits du citoyen et les droits du travailleur.
Cet ouvrage de philosophie sociale et politique prend ainsi parti dans les débats contemporains qui portent sur l'avenir du travail et de la démocratie, ainsi que sur les conditions d'un dépassement du capitalisme, en défendant une thèse simple : si nous voulons radicaliser la démocratie, nous devons aujourd'hui prioritairement démocratiser le travail.En ligne : https://blogs.mediapart.fr/thomas-coutrot/blog/210218/le-travail-democratique-il [...] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1770a E.03.CUK.T. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : La longue marche vers l'Europe sociale Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Claude Barbier, Auteur Editeur : Paris [France] : PUF Année de publication : 2008 Collection : Le Lien social Importance : 279 p. Présentation : Tabl. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-056401-0 Prix : 26 € Langues : Français Catégories : Europe ; Politique culturelle Mots-clés : 'solidarité' 'politique culturelle communautaire' 'Europe' 'protection sociale' Index. décimale : D.01.2. Européen Résumé : 'Europe sociale reste un thème mobilisateur, malgré la modestie des réalisations de solidarité à l'échelle européenne depuis le traité de Rome de 1957. Cela ne dépend pas d'une présence de la gauche ou de la droite au pouvoir, mais d'une question de rivalité entre des "modèles nationaux" construits depuis la fin du XIXe siècle sur une base nationale. Cette diversité est malheureusement minorée, autant par les politiques que par les économistes, et l'Europe sociale ne pourra s'approfondir qu'au prix de la création d'une véritable politique culturelle communautaire appuyée sur un réel échange culturel entre citoyens européens. Note de contenu : L'Europe sociale reste un thème mobilisateur. Pourtant, malgré des réalisations incontestables depuis le traité de Rome en 1957, ce qui a été accompli reste relativement maigre aux yeux de ceux qui pensent qu'il est souhaitable de construire une solidarité à l'échelle européenne. Si ce projet doit être poursuivi, il ne faut pas se tromper: ce n'est pas une question de la présence de la gauche ou de la droite au pouvoir dans les 27 Etats membres, c'est d'abord une question nationale et de rivalité entre des "modèles nationaux" en compétition entre eux. Les systèmes de protection sociale modernes se sont construits depuis la fin du XIXe siècle sur une base nationale: avec une langue, des frontières, des formes de réciprocité, un contenu partagé de citoyenneté, bref, une certaine culture politique. Cette diversité est malheureusement minorée quand elle n'est pas oubliée par les hommes d'action, mais aussi par les chercheurs, en particulier les économistes de la tendance dominante. Or, il n'y a pas de culture politique européenne. Alors que l'économie et le droit ont été mis en commun de façon croissante, la solidarité reste nationale, et elle le restera longtemps encore, malgré les espoirs utopiques, qu'il faut nourrir quand même. En panne après les échecs des référendums en France, aux Pays-Bas, en 2005 puis en Irlande en juin 2008, l'Europe sociale ne pourra s'approfondir qu'au prix de la création d'une véritable politique culturelle communautaire, qui promeuve réellement l'échange culturel entre les citoyens et les citoyennes.
En ligne : http://www.serge-paugam.fr/le-lien-social--la-longue-marche-vers-l-europe-social [...] La longue marche vers l'Europe sociale [texte imprimé] / Jean-Claude Barbier, Auteur . - Paris (6, Avenue Reille, 75685, France) : PUF, 2008 . - 279 p. : Tabl.. - (Le Lien social) .
ISBN : 978-2-13-056401-0 : 26 €
Langues : Français
Catégories : Europe ; Politique culturelle Mots-clés : 'solidarité' 'politique culturelle communautaire' 'Europe' 'protection sociale' Index. décimale : D.01.2. Européen Résumé : 'Europe sociale reste un thème mobilisateur, malgré la modestie des réalisations de solidarité à l'échelle européenne depuis le traité de Rome de 1957. Cela ne dépend pas d'une présence de la gauche ou de la droite au pouvoir, mais d'une question de rivalité entre des "modèles nationaux" construits depuis la fin du XIXe siècle sur une base nationale. Cette diversité est malheureusement minorée, autant par les politiques que par les économistes, et l'Europe sociale ne pourra s'approfondir qu'au prix de la création d'une véritable politique culturelle communautaire appuyée sur un réel échange culturel entre citoyens européens. Note de contenu : L'Europe sociale reste un thème mobilisateur. Pourtant, malgré des réalisations incontestables depuis le traité de Rome en 1957, ce qui a été accompli reste relativement maigre aux yeux de ceux qui pensent qu'il est souhaitable de construire une solidarité à l'échelle européenne. Si ce projet doit être poursuivi, il ne faut pas se tromper: ce n'est pas une question de la présence de la gauche ou de la droite au pouvoir dans les 27 Etats membres, c'est d'abord une question nationale et de rivalité entre des "modèles nationaux" en compétition entre eux. Les systèmes de protection sociale modernes se sont construits depuis la fin du XIXe siècle sur une base nationale: avec une langue, des frontières, des formes de réciprocité, un contenu partagé de citoyenneté, bref, une certaine culture politique. Cette diversité est malheureusement minorée quand elle n'est pas oubliée par les hommes d'action, mais aussi par les chercheurs, en particulier les économistes de la tendance dominante. Or, il n'y a pas de culture politique européenne. Alors que l'économie et le droit ont été mis en commun de façon croissante, la solidarité reste nationale, et elle le restera longtemps encore, malgré les espoirs utopiques, qu'il faut nourrir quand même. En panne après les échecs des référendums en France, aux Pays-Bas, en 2005 puis en Irlande en juin 2008, l'Europe sociale ne pourra s'approfondir qu'au prix de la création d'une véritable politique culturelle communautaire, qui promeuve réellement l'échange culturel entre les citoyens et les citoyennes.
En ligne : http://www.serge-paugam.fr/le-lien-social--la-longue-marche-vers-l-europe-social [...] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1775a D.01.2. BAR.L. Livre Centre de doc Documentaires Disponible PermalinkPermalinkPermalinkPermalink