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Ce fonds documentaire multilingue regroupe des ouvrages scientifiques, des essais, des guides pratiques, des thèses, des revues, des dossiers, des publications sur supports numériques, ….
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Titre : Caliban et la Sorcière : Femmes, corps et accumulation primitive Type de document : texte imprimé Auteurs : Silvia Federici, Auteur Editeur : Genève [Suisse] : Éditions Entremonde Année de publication : 2017 Collection : Rupture Importance : 464 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-940426-31-7 Prix : 24 € Note générale : Silvia Federici revisite ce moment particulier de l’histoire qu’est la transition entre le féodalisme et le capitalisme, en y introduisant la perspective particulière de l’histoire des femmes. Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : Capitalisme ; Essai ; Féminisme ; Société ; Sociologie du travail Mots-clés : 'féoÂdaÂlisme' 'capiÂtaÂlisme' 'féminisme' 'histoire' 'Moyen Âge' 'production' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Note de contenu :
Elle nous invite à réfléchir aux rapports d’exploitation et de domination, à la lumière des bouleversements introduits à l’issue du Moyen Âge. Un monde nouveau naissait, privatisant les biens autrefois collectifs, transformant les rapports de travail et les relations de genre. Ce nouveau monde, où des millions d’esclaves ont posé les fondations du capitalisme moderne, est aussi le résultat d’un asservissement systématique des femmes. Par la chasse aux sorcières et l’esclavage, la transition vers le capitalisme faisait de la modernité une affaire de discipline. Discipline des corps féminins dévolus à la reproduction, consumés sur les bûchers comme autant de signaux terrifiants, torturés pour laisser voir leur mécanique intime, anéantis socialement. Discipline des corps d’esclaves, servis à la machine sociale dans un formidable mouvement d’accaparement des ressources du Nouveau Monde pour la fortune de l’ancien.
Le capitalisme contemporain présente des similitudes avec son passé le plus violent. Ce qu’on a décrit comme barbarie et dont aurait su triompher le siècle de la raison est constitutif de ce mode de production : l’esclavage et l’anéantissement des femmes n’étaient pas des processus fortuits, mais des nécessités de l’accumulation de richesse. L’auteur nous invite à partager son son regard d’historienne et de féministe sur la situation actuelle et sur ses mécanismes.En ligne : http://entremonde.net/caliban-et-la-sorciere Caliban et la Sorcière : Femmes, corps et accumulation primitive [texte imprimé] / Silvia Federici, Auteur . - Genève (Suisse) : Éditions Entremonde, 2017 . - 464 p.. - (Rupture) .
ISBN : 978-2-940426-31-7 : 24 €
Silvia Federici revisite ce moment particulier de l’histoire qu’est la transition entre le féodalisme et le capitalisme, en y introduisant la perspective particulière de l’histoire des femmes.
Langues : Français Langues originales : Anglais
Catégories : Capitalisme ; Essai ; Féminisme ; Société ; Sociologie du travail Mots-clés : 'féoÂdaÂlisme' 'capiÂtaÂlisme' 'féminisme' 'histoire' 'Moyen Âge' 'production' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Note de contenu :
Elle nous invite à réfléchir aux rapports d’exploitation et de domination, à la lumière des bouleversements introduits à l’issue du Moyen Âge. Un monde nouveau naissait, privatisant les biens autrefois collectifs, transformant les rapports de travail et les relations de genre. Ce nouveau monde, où des millions d’esclaves ont posé les fondations du capitalisme moderne, est aussi le résultat d’un asservissement systématique des femmes. Par la chasse aux sorcières et l’esclavage, la transition vers le capitalisme faisait de la modernité une affaire de discipline. Discipline des corps féminins dévolus à la reproduction, consumés sur les bûchers comme autant de signaux terrifiants, torturés pour laisser voir leur mécanique intime, anéantis socialement. Discipline des corps d’esclaves, servis à la machine sociale dans un formidable mouvement d’accaparement des ressources du Nouveau Monde pour la fortune de l’ancien.
Le capitalisme contemporain présente des similitudes avec son passé le plus violent. Ce qu’on a décrit comme barbarie et dont aurait su triompher le siècle de la raison est constitutif de ce mode de production : l’esclavage et l’anéantissement des femmes n’étaient pas des processus fortuits, mais des nécessités de l’accumulation de richesse. L’auteur nous invite à partager son son regard d’historienne et de féministe sur la situation actuelle et sur ses mécanismes.En ligne : http://entremonde.net/caliban-et-la-sorciere Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1996a E.03.FED.C. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Chemins de la liberté : Le travail entre autonomie et hétéronomie Type de document : texte imprimé Auteurs : Antonella Corsani, Auteur Editeur : Bellecombe-en-Bauges [France] : Editions du croquant Année de publication : 2020 Importance : 294 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36512-256-6 Prix : 20 € Langues : Français Catégories : Sociologie du travail ; Travail Mots-clés : 'travail','coopérative','précariat','capitalisme','néolibéralisme','l'économie sociale' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Résumé : Ce livre d’une sociologue et économiste dans la lignée d’André Gorz, à la fois érudit et combatif, propose une analyse critique de la nouvelle étape du capitalisme : le capitalisme cognitif néolibéral. Un système d’esclavage sans maîtres, qui enferme les individus dans une sorte de « cage d’acier », pour reprendre l’expression de Max Weber, et qui condamne les travailleurs à l’hétéronomie (le contraire de l’autonomie). Cependant, des formes de résistance se développent, dans un combat pour la liberté. L’auteure, qui a cosigné en 2008 avec Maurizio Lazzarato un essai intitulé Intermittents et précaires (Éditions Amsterdam), mène ici une enquête sociale sur deux manifestations de cette résistance en France : le mouvement des intermittents du spectacle et les coopératives d’activité et d’emploi. Ces dernières, créées par des femmes, sont des projets d’autonomie comme processus collectif ; elles pourraient annoncer une sortie civilisée du capitalisme, comme l’espérait Gorz. Note de contenu : Au début du 21e siècle, le capitalisme cognitif néolibéral a fait de la reproduction de la vie biologique et sociale son « cœur de métier », de l’individu conçu comme entreprise un sujet sommé d’être autonome et de la concurrence un principe régulateur de la société. Le salariat se transforme, le travail mute. Accélérée par les technologies digitales, la métamorphose du travail et des relations de travail génère des « zones grises » entre le travail salarié et le travail indépendant classiques. Une multitude de nouvelles figures précaires du travail émergent dans ces zones, des figures doubles, en tension entre l’autonomie et l’hétéronomie. Autonomie contrainte et concurrence par la coopération sont les oxymores de la société du travail née des noces du capitalisme cognitif et du néolibéralisme.
Pourtant, c’est dans ces zones grises que des stratégies originales de résistance s’inventent. Il ne s’agit pas seulement de dire « non » à la raison néolibérale, il s’agit d’affirmer positivement, de manière pragmatique, par l’expérimentation politique et sociale, des formes économiques diverses. Plus précisément, un système de protection sociale mutualiste et une entreprise coopérative « sans patrons ».
Chercheuse impliquée, spécialiste des mutations du travail, des métamorphoses du salariat et de l’essor d’expérimentations socio-politiques originales, notamment dans le champ de l’économie sociale et solidaire, Antonella Corsani a accompagné ces mouvements inédits pendant plusieurs années en France. Ces histoires de résistance attestent une tension permanente vers la liberté comme autonomie véritable, dans un contexte où l’autonomie individuelle est, en quelque sorte, prescrite. Les collectifs de travail qu’elle a observées in situ désirent la mutualisation et la coopération. Leur but est d’accroître l’autonomie réelle de chacun·e et du groupe par l’interdépendance. Et des chemins de la liberté de s’ouvrir ainsi, à tâtons.
Antonella Corsani est sociologue et économiste, enseignante-chercheure à l’ISST-Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, membre du laboratoire de recherches IDHES.
En ligne : https://editions-croquant.org/sociologie/650-chemins-de-la-liberte-le-travail-en [...] Chemins de la liberté : Le travail entre autonomie et hétéronomie [texte imprimé] / Antonella Corsani, Auteur . - Bellecombe-en-Bauges (France) : Editions du croquant, 2020 . - 294 p.
ISBN : 978-2-36512-256-6 : 20 €
Langues : Français
Catégories : Sociologie du travail ; Travail Mots-clés : 'travail','coopérative','précariat','capitalisme','néolibéralisme','l'économie sociale' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Résumé : Ce livre d’une sociologue et économiste dans la lignée d’André Gorz, à la fois érudit et combatif, propose une analyse critique de la nouvelle étape du capitalisme : le capitalisme cognitif néolibéral. Un système d’esclavage sans maîtres, qui enferme les individus dans une sorte de « cage d’acier », pour reprendre l’expression de Max Weber, et qui condamne les travailleurs à l’hétéronomie (le contraire de l’autonomie). Cependant, des formes de résistance se développent, dans un combat pour la liberté. L’auteure, qui a cosigné en 2008 avec Maurizio Lazzarato un essai intitulé Intermittents et précaires (Éditions Amsterdam), mène ici une enquête sociale sur deux manifestations de cette résistance en France : le mouvement des intermittents du spectacle et les coopératives d’activité et d’emploi. Ces dernières, créées par des femmes, sont des projets d’autonomie comme processus collectif ; elles pourraient annoncer une sortie civilisée du capitalisme, comme l’espérait Gorz. Note de contenu : Au début du 21e siècle, le capitalisme cognitif néolibéral a fait de la reproduction de la vie biologique et sociale son « cœur de métier », de l’individu conçu comme entreprise un sujet sommé d’être autonome et de la concurrence un principe régulateur de la société. Le salariat se transforme, le travail mute. Accélérée par les technologies digitales, la métamorphose du travail et des relations de travail génère des « zones grises » entre le travail salarié et le travail indépendant classiques. Une multitude de nouvelles figures précaires du travail émergent dans ces zones, des figures doubles, en tension entre l’autonomie et l’hétéronomie. Autonomie contrainte et concurrence par la coopération sont les oxymores de la société du travail née des noces du capitalisme cognitif et du néolibéralisme.
Pourtant, c’est dans ces zones grises que des stratégies originales de résistance s’inventent. Il ne s’agit pas seulement de dire « non » à la raison néolibérale, il s’agit d’affirmer positivement, de manière pragmatique, par l’expérimentation politique et sociale, des formes économiques diverses. Plus précisément, un système de protection sociale mutualiste et une entreprise coopérative « sans patrons ».
Chercheuse impliquée, spécialiste des mutations du travail, des métamorphoses du salariat et de l’essor d’expérimentations socio-politiques originales, notamment dans le champ de l’économie sociale et solidaire, Antonella Corsani a accompagné ces mouvements inédits pendant plusieurs années en France. Ces histoires de résistance attestent une tension permanente vers la liberté comme autonomie véritable, dans un contexte où l’autonomie individuelle est, en quelque sorte, prescrite. Les collectifs de travail qu’elle a observées in situ désirent la mutualisation et la coopération. Leur but est d’accroître l’autonomie réelle de chacun·e et du groupe par l’interdépendance. Et des chemins de la liberté de s’ouvrir ainsi, à tâtons.
Antonella Corsani est sociologue et économiste, enseignante-chercheure à l’ISST-Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, membre du laboratoire de recherches IDHES.
En ligne : https://editions-croquant.org/sociologie/650-chemins-de-la-liberte-le-travail-en [...] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1818a E.03.COR.C. Livre Centre de doc Documentaires Sorti jusqu'au 17/05/2023
Titre : Coopérer : Les Scop et la fabrique de l’intérêt collectif Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Catherine Wagner, Auteur Editeur : CNRS Editions Année de publication : 2022 Collection : Culture et société Importance : 328 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-271-13725-8 Prix : € 25,- Langues : Français Catégories : coopérative ; Société ; Sociologie du travail Mots-clés : 'coopérative' 'Scop' 'études de terrain' ' analyses statistiques' gérer une entreprise' 'France' Index. décimale : F.03. Economie sociale Note de contenu : À l’heure d’un capitalisme financiarisé et mondialisé, guidé par les impératifs de rentabilité maximale d’actionnaires peu soucieux de l’activité de la société, les coopératives, perçues comme une alternative concrète à l’ordre économique dominant, connaissent un regain d’intérêt aussi bien qu’un net essor. Ainsi des Scop (Sociétés coopératives et participatives) qui se distinguent par le fait que le personnel salarié détient au moins 51 % du capital et 65 % des droits de vote.
De l’expérience très médiatisée de reprise militante d’une entreprise mise à mal par de grands groupes – comme l’usine Fralib, près de Marseille, transformée en coopérative au terme d’une lutte de 1 336 jours –, aux petites coopératives de cadres dans le secteur des services, en passant par de grandes coopératives industrielles créées de longue date et devenues elles-mêmes des multinationales, les Scop concernent une grande variété de domaines et touchent des milieux sociaux très différents. Mais derrière le symbole et la vision enchantée, comment devient-on propriétaire et employeur sur le tard lorsque rien, dans le parcours scolaire ou les héritages familiaux, ne nous y prédispose ? Comment apprend-on à coopérer pour gérer une entreprise, à prendre les décisions en matière de salaires, de promotions ou d’orientation économique ? De quelles façons se recomposent les rapports sociaux quand ce sont les travailleurs et les travailleuses qui endossent le rôle des actionnaires ?
En mobilisant études de terrain, analyses statistiques, entretiens et questionnaires, cette enquête de vaste ampleur interroge la manière dont se construisent au quotidien des conceptions originales de la coopération, de la propriété commune et de l’intérêt collectif.En ligne : https://www.cnrseditions.fr/catalogue/sciences-politiques-et-sociologie/cooperer [...] Coopérer : Les Scop et la fabrique de l’intérêt collectif [texte imprimé] / Anne-Catherine Wagner, Auteur . - France : CNRS Editions, 2022 . - 328 p.. - (Culture et société) .
ISBN : 978-2-271-13725-8 : € 25,-
Langues : Français
Catégories : coopérative ; Société ; Sociologie du travail Mots-clés : 'coopérative' 'Scop' 'études de terrain' ' analyses statistiques' gérer une entreprise' 'France' Index. décimale : F.03. Economie sociale Note de contenu : À l’heure d’un capitalisme financiarisé et mondialisé, guidé par les impératifs de rentabilité maximale d’actionnaires peu soucieux de l’activité de la société, les coopératives, perçues comme une alternative concrète à l’ordre économique dominant, connaissent un regain d’intérêt aussi bien qu’un net essor. Ainsi des Scop (Sociétés coopératives et participatives) qui se distinguent par le fait que le personnel salarié détient au moins 51 % du capital et 65 % des droits de vote.
De l’expérience très médiatisée de reprise militante d’une entreprise mise à mal par de grands groupes – comme l’usine Fralib, près de Marseille, transformée en coopérative au terme d’une lutte de 1 336 jours –, aux petites coopératives de cadres dans le secteur des services, en passant par de grandes coopératives industrielles créées de longue date et devenues elles-mêmes des multinationales, les Scop concernent une grande variété de domaines et touchent des milieux sociaux très différents. Mais derrière le symbole et la vision enchantée, comment devient-on propriétaire et employeur sur le tard lorsque rien, dans le parcours scolaire ou les héritages familiaux, ne nous y prédispose ? Comment apprend-on à coopérer pour gérer une entreprise, à prendre les décisions en matière de salaires, de promotions ou d’orientation économique ? De quelles façons se recomposent les rapports sociaux quand ce sont les travailleurs et les travailleuses qui endossent le rôle des actionnaires ?
En mobilisant études de terrain, analyses statistiques, entretiens et questionnaires, cette enquête de vaste ampleur interroge la manière dont se construisent au quotidien des conceptions originales de la coopération, de la propriété commune et de l’intérêt collectif.En ligne : https://www.cnrseditions.fr/catalogue/sciences-politiques-et-sociologie/cooperer [...] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2089a F.03.WAG.C. Livre Centre de doc Documentaires Sorti jusqu'au 28/09/2023
Titre : Le droit de négociation collective des travailleurs indépendants : Cadrages théoriques et études de cas Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Dumont, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Lamine Auriane, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Jean-Benoît Maisin, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Bruxelles [Belgique] : Larcier Année de publication : 2020 Collection : Droit sociale num. 1re édition Importance : 368 p. Présentation : tab., graph. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8079-1036-2 Prix : 65 € Langues : Français Catégories : Droit sociale ; Economie ; Etude ; SMart ; Sociologie du travail Mots-clés : 'travail' 'travailleurs indépendants' 'droit sociale' 'Smart' 'la nouvelle économie' 'histoire de Smart' Index. décimale : H.02.1.2. Droit collectif du travail (inclus syndicat/organisation patronale, conventions collectives…) Note de contenu : Le monde du travail connaît de profondes mutations. A la multiplication et à la croissance des formes d’emploi dites atypiques, s’ajoute désormais le recours de plus en plus courant au travail indépendant dans des fonctions auparavant assurées par des salariés.
Au regard des catégories juridiques traditionnelles, un grand nombre des travailleurs de la « nouvelle économie » est indépendant. Leur situation ne rencontre en effet pas les critères de la subordination juridique, laquelle demeure la porte d’entrée par excellence du droit du travail. Il n’empêche que les situations de dépendance économique auxquelles ces travailleurs font souvent face poussent certains d’entre eux à vouloir agir collectivement, afin d’obtenir l’amélioration de leurs conditions de travail.
Les travailleurs indépendants du XXIe siècle disposent-ils du droit de négociation collective ?
Telle est la question, à l’évidence d’une grande actualité, au coeur du présent ouvrage. Pour l’instruire, une double démarche est déployée. Dans la première partie, les auteurs scrutent les corpus de droit supranational en vigueur (Organisation internationale du travail, Conseil de l’Europe, Union européenne), afin de les cartographier et de les articuler, à la recherche des droits syndicaux des travailleurs indépendants. Dans la seconde partie, des pratiques concrètes de mobilisation collective de travailleurs indépendants sont documentées, par le biais d’un certain nombre d’études de cas inscrites dans le contexte belge.
L’ouvrage s’adresse à tous les juristes, en particulier de droit du travail et de droit de la concurrence, mais aussi aux économistes et sociologues du travail, préoccupés par la structuration des rapports de travail dans la « nouvelle économie ». L’approche par cas d’étude retiendra également l’attention des praticiens des ressources humaines.En ligne : https://www.larcier.com/fr/le-droit-de-negociation-collective-des-travailleurs-i [...] Le droit de négociation collective des travailleurs indépendants : Cadrages théoriques et études de cas [texte imprimé] / Daniel Dumont, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Lamine Auriane, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Jean-Benoît Maisin, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Bruxelles (Belgique) : Larcier, 2020 . - 368 p. : tab., graph.. - (Droit sociale; 1re édition) .
ISBN : 978-2-8079-1036-2 : 65 €
Langues : Français
Catégories : Droit sociale ; Economie ; Etude ; SMart ; Sociologie du travail Mots-clés : 'travail' 'travailleurs indépendants' 'droit sociale' 'Smart' 'la nouvelle économie' 'histoire de Smart' Index. décimale : H.02.1.2. Droit collectif du travail (inclus syndicat/organisation patronale, conventions collectives…) Note de contenu : Le monde du travail connaît de profondes mutations. A la multiplication et à la croissance des formes d’emploi dites atypiques, s’ajoute désormais le recours de plus en plus courant au travail indépendant dans des fonctions auparavant assurées par des salariés.
Au regard des catégories juridiques traditionnelles, un grand nombre des travailleurs de la « nouvelle économie » est indépendant. Leur situation ne rencontre en effet pas les critères de la subordination juridique, laquelle demeure la porte d’entrée par excellence du droit du travail. Il n’empêche que les situations de dépendance économique auxquelles ces travailleurs font souvent face poussent certains d’entre eux à vouloir agir collectivement, afin d’obtenir l’amélioration de leurs conditions de travail.
Les travailleurs indépendants du XXIe siècle disposent-ils du droit de négociation collective ?
Telle est la question, à l’évidence d’une grande actualité, au coeur du présent ouvrage. Pour l’instruire, une double démarche est déployée. Dans la première partie, les auteurs scrutent les corpus de droit supranational en vigueur (Organisation internationale du travail, Conseil de l’Europe, Union européenne), afin de les cartographier et de les articuler, à la recherche des droits syndicaux des travailleurs indépendants. Dans la seconde partie, des pratiques concrètes de mobilisation collective de travailleurs indépendants sont documentées, par le biais d’un certain nombre d’études de cas inscrites dans le contexte belge.
L’ouvrage s’adresse à tous les juristes, en particulier de droit du travail et de droit de la concurrence, mais aussi aux économistes et sociologues du travail, préoccupés par la structuration des rapports de travail dans la « nouvelle économie ». L’approche par cas d’étude retiendra également l’attention des praticiens des ressources humaines.En ligne : https://www.larcier.com/fr/le-droit-de-negociation-collective-des-travailleurs-i [...] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1823a H.02.1.2.DUM.D. Livre Centre de doc Documentaires Disponible 1823b H.02.1.2.DUM.D. Livre Centre de doc Documentaires Disponible 1823c H.02.1.2.DUM.D. Livre SMart Liège SMart Liège Sorti jusqu'au 01/09/2023
Titre : Le Futur du travail Type de document : texte imprimé Auteurs : Juan Sebastián Carbonell, Auteur Editeur : Paris [France] : Editions Amsterdam Année de publication : 2022 Importance : 192 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-243-1 Prix : €12,- Note générale : Dans cet essai incisif, Juan Sebastián Carbonell montre que le discours sur la « crise du travail » fait obstacle à la compréhension de ses enjeux politiques. Et que sa mise en avant empêche, parfois à dessein, la nécessaire ouverture d’un débat sur les voies de son émancipation.
Langues : Français Catégories : Sociologie du travail ; Travail Mots-clés : 'travail humain' 'plateformes' 'Big Tech' 'précarité' 'travail du flux' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Note de contenu : Le travail est un inépuisable objet de fantasmes. On annonce sa disparition prochaine sous l’effet d’un « grand remplacement technologique », on prophétise la fin imminente du salariat, on rêve d’une existence définitivement débarrassée de cette servitude. Fait significatif, les futurologues consacrés et les apologistes du monde tel qu’il va n’ont absolument pas le monopole de ce discours, tout aussi bien tenu par les plus féroces critiques du capitalisme. À chaque révolution technologique ses mirages. Car il y a loin, très loin, de ces anticipations à la réalité. Le travail humain conserve en effet une place centrale dans nos sociétés. Simplement, ses frontières et le périmètre des populations qu’il concerne se déplacent : ce n’est donc pas à une précarisation généralisée que l’on assiste, mais à l’émergence d’un nouveau prolétariat du numérique et de la logistique, dans des économies bouleversées par l’essor des géants de la Big tech.
En ligne : http://www.editionsamsterdam.fr/le-futur-du-travail/ Le Futur du travail [texte imprimé] / Juan Sebastián Carbonell, Auteur . - Paris (13-15 rue Henri-Regnault, 7014, France) : Editions Amsterdam, 2022 . - 192 p.
ISBN : 978-2-35480-243-1 : €12,-
Dans cet essai incisif, Juan Sebastián Carbonell montre que le discours sur la « crise du travail » fait obstacle à la compréhension de ses enjeux politiques. Et que sa mise en avant empêche, parfois à dessein, la nécessaire ouverture d’un débat sur les voies de son émancipation.
Langues : Français
Catégories : Sociologie du travail ; Travail Mots-clés : 'travail humain' 'plateformes' 'Big Tech' 'précarité' 'travail du flux' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Note de contenu : Le travail est un inépuisable objet de fantasmes. On annonce sa disparition prochaine sous l’effet d’un « grand remplacement technologique », on prophétise la fin imminente du salariat, on rêve d’une existence définitivement débarrassée de cette servitude. Fait significatif, les futurologues consacrés et les apologistes du monde tel qu’il va n’ont absolument pas le monopole de ce discours, tout aussi bien tenu par les plus féroces critiques du capitalisme. À chaque révolution technologique ses mirages. Car il y a loin, très loin, de ces anticipations à la réalité. Le travail humain conserve en effet une place centrale dans nos sociétés. Simplement, ses frontières et le périmètre des populations qu’il concerne se déplacent : ce n’est donc pas à une précarisation généralisée que l’on assiste, mais à l’émergence d’un nouveau prolétariat du numérique et de la logistique, dans des économies bouleversées par l’essor des géants de la Big tech.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1921a E.03.CAR.F. Livre Centre de doc Documentaires Disponible PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkn°292 - janvier/février 2018 - « Dawn of the Uber-Dead » (Bulletin de Bruxelles en mouvements) / Collectif
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