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Une partie des ressources dite « vive » est directement accessible dans le centre de documentation, une autre partie est archivée.
Ce fonds documentaire multilingue regroupe des ouvrages scientifiques, des essais, des guides pratiques, des thèses, des revues, des dossiers, des publications sur supports numériques, ….
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L'Age du public et du spectateur / Christian Ruby
Titre : L'Age du public et du spectateur : Essai sur les dipositions esthétiques et politiques du public moderne Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Ruby, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : La lettre volée Année de publication : 2007 Collection : Collection essais Importance : 304 p. Format : 15 x 21 cm, cousu ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87317-300-5 Langues : Français Catégories : Essai ; Public Résumé : Pourquoi référons-nous « naturellement » la culture et les arts à un public et à des spectateurs? Pourquoi, dans le même temps, disposons-nous, non moins « naturellement », la politique autour de cette référence au public? Pour répondre à ces questions, il fallait reconstruire le processus d’invention du public et du spectateur. En parcourant les descriptions des attitudes du spectateur, les règles qui les disciplinent, on s’aperçoit que l’esthétique, domaine de la sensibilité, n’est pas dissociable de la réflexion sur le spectateur et la démocratie parlementaire. La formulation moderne de l’adresse au public et au spectateur fonde les rapports entre la culture, les arts et la politique en les nouant à l’esthétique. Mais tandis que cette dernière se déploie dans une perspective égalitaire, elle n’est pas sans jouer le rôle d’une discrète mise au pas morale et politique du sujet.
L'Age du public et du spectateur : Essai sur les dipositions esthétiques et politiques du public moderne [texte imprimé] / Christian Ruby, Auteur . - Bruxelles (20 bd Barthélemy, 1000, Belgique) : La lettre volée, 2007 . - 304 p. ; 15 x 21 cm, cousu. - (Collection essais) .
ISBN : 978-2-87317-300-5
Langues : Français
Catégories : Essai ; Public Résumé : Pourquoi référons-nous « naturellement » la culture et les arts à un public et à des spectateurs? Pourquoi, dans le même temps, disposons-nous, non moins « naturellement », la politique autour de cette référence au public? Pour répondre à ces questions, il fallait reconstruire le processus d’invention du public et du spectateur. En parcourant les descriptions des attitudes du spectateur, les règles qui les disciplinent, on s’aperçoit que l’esthétique, domaine de la sensibilité, n’est pas dissociable de la réflexion sur le spectateur et la démocratie parlementaire. La formulation moderne de l’adresse au public et au spectateur fonde les rapports entre la culture, les arts et la politique en les nouant à l’esthétique. Mais tandis que cette dernière se déploie dans une perspective égalitaire, elle n’est pas sans jouer le rôle d’une discrète mise au pas morale et politique du sujet.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12a E.01.3. RUB Livre Centre de doc Documentaires Disponible Art et politique / Jean-Marc Lachaud
Titre : Art et politique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marc Lachaud, Auteur Editeur : Paris [France] : L'Harmattan Année de publication : 2006 Collection : Ouverture philosophique Importance : 257p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-296-00133-6 Langues : Français Catégories : Art ; Essai ; Politique Index. décimale : E.02. Anthropologie/ethnologie de la culture Note de contenu : Il était de bon ton, il y a encore quelques années, d'affirmer, puisque les grands récits critiques et utopiques du XX° siècle s'étaient effondrés, que les artistes étaient désengagés et que leurs oeuvres étaient dépolitisées, que la question de l'art et le/la politique n'était donc plus d'actualité. Cependant, l'art, aujourd'hui comme hier, entretient de fait d'évidentes relations avec le champ du/de la politique. Ces textes s'attachent à clarifier leurs rapports.
Art et politique [texte imprimé] / Jean-Marc Lachaud, Auteur . - Paris (5-7, rue de l'Ecole-Polytechnique, 15005, France) : L'Harmattan, 2006 . - 257p. - (Ouverture philosophique) .
ISBN : 978-2-296-00133-6
Langues : Français
Catégories : Art ; Essai ; Politique Index. décimale : E.02. Anthropologie/ethnologie de la culture Note de contenu : Il était de bon ton, il y a encore quelques années, d'affirmer, puisque les grands récits critiques et utopiques du XX° siècle s'étaient effondrés, que les artistes étaient désengagés et que leurs oeuvres étaient dépolitisées, que la question de l'art et le/la politique n'était donc plus d'actualité. Cependant, l'art, aujourd'hui comme hier, entretient de fait d'évidentes relations avec le champ du/de la politique. Ces textes s'attachent à clarifier leurs rapports.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01031a E.02. LAC.A. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Caliban et la Sorcière : Femmes, corps et accumulation primitive Type de document : texte imprimé Auteurs : Silvia Federici, Auteur Editeur : Genève [Suisse] : Éditions Entremonde Année de publication : 2017 Collection : Rupture Importance : 464 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-940426-31-7 Prix : 24 € Note générale : Silvia Federici revisite ce moment particulier de l’histoire qu’est la transition entre le féodalisme et le capitalisme, en y introduisant la perspective particulière de l’histoire des femmes. Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : Capitalisme ; Essai ; Féminisme ; Société ; Sociologie du travail Mots-clés : 'féoÂdaÂlisme' 'capiÂtaÂlisme' 'féminisme' 'histoire' 'Moyen Âge' 'production' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Note de contenu :
Elle nous invite à réfléchir aux rapports d’exploitation et de domination, à la lumière des bouleversements introduits à l’issue du Moyen Âge. Un monde nouveau naissait, privatisant les biens autrefois collectifs, transformant les rapports de travail et les relations de genre. Ce nouveau monde, où des millions d’esclaves ont posé les fondations du capitalisme moderne, est aussi le résultat d’un asservissement systématique des femmes. Par la chasse aux sorcières et l’esclavage, la transition vers le capitalisme faisait de la modernité une affaire de discipline. Discipline des corps féminins dévolus à la reproduction, consumés sur les bûchers comme autant de signaux terrifiants, torturés pour laisser voir leur mécanique intime, anéantis socialement. Discipline des corps d’esclaves, servis à la machine sociale dans un formidable mouvement d’accaparement des ressources du Nouveau Monde pour la fortune de l’ancien.
Le capitalisme contemporain présente des similitudes avec son passé le plus violent. Ce qu’on a décrit comme barbarie et dont aurait su triompher le siècle de la raison est constitutif de ce mode de production : l’esclavage et l’anéantissement des femmes n’étaient pas des processus fortuits, mais des nécessités de l’accumulation de richesse. L’auteur nous invite à partager son son regard d’historienne et de féministe sur la situation actuelle et sur ses mécanismes.En ligne : http://entremonde.net/caliban-et-la-sorciere Caliban et la Sorcière : Femmes, corps et accumulation primitive [texte imprimé] / Silvia Federici, Auteur . - Genève (Suisse) : Éditions Entremonde, 2017 . - 464 p.. - (Rupture) .
ISBN : 978-2-940426-31-7 : 24 €
Silvia Federici revisite ce moment particulier de l’histoire qu’est la transition entre le féodalisme et le capitalisme, en y introduisant la perspective particulière de l’histoire des femmes.
Langues : Français Langues originales : Anglais
Catégories : Capitalisme ; Essai ; Féminisme ; Société ; Sociologie du travail Mots-clés : 'féoÂdaÂlisme' 'capiÂtaÂlisme' 'féminisme' 'histoire' 'Moyen Âge' 'production' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Note de contenu :
Elle nous invite à réfléchir aux rapports d’exploitation et de domination, à la lumière des bouleversements introduits à l’issue du Moyen Âge. Un monde nouveau naissait, privatisant les biens autrefois collectifs, transformant les rapports de travail et les relations de genre. Ce nouveau monde, où des millions d’esclaves ont posé les fondations du capitalisme moderne, est aussi le résultat d’un asservissement systématique des femmes. Par la chasse aux sorcières et l’esclavage, la transition vers le capitalisme faisait de la modernité une affaire de discipline. Discipline des corps féminins dévolus à la reproduction, consumés sur les bûchers comme autant de signaux terrifiants, torturés pour laisser voir leur mécanique intime, anéantis socialement. Discipline des corps d’esclaves, servis à la machine sociale dans un formidable mouvement d’accaparement des ressources du Nouveau Monde pour la fortune de l’ancien.
Le capitalisme contemporain présente des similitudes avec son passé le plus violent. Ce qu’on a décrit comme barbarie et dont aurait su triompher le siècle de la raison est constitutif de ce mode de production : l’esclavage et l’anéantissement des femmes n’étaient pas des processus fortuits, mais des nécessités de l’accumulation de richesse. L’auteur nous invite à partager son son regard d’historienne et de féministe sur la situation actuelle et sur ses mécanismes.En ligne : http://entremonde.net/caliban-et-la-sorciere Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1996a E.03.FED.C. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Contre les élections / David Van Reybrouck
Titre : Contre les élections Type de document : texte imprimé Auteurs : David Van Reybrouck, Auteur Editeur : Arles [France] : Actes sud Année de publication : 2014 Collection : Babel Importance : 224 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-330-02820-6 Prix : €9,50 Langues : Français Catégories : Démocratie ; Essai ; Politique Index. décimale : B.01.1. Démocratie Note de contenu : Depuis plusieurs années, David Van Reybrouck, auteur de "Congo, Une histoire" (Prix Médicis Essai 2012) s’intéresse de près à la vie politique de son pays, la Belgique, et notamment à la question de la participation des citoyens à la gestion du pays. Et si c’étaient les élections qui mettaient en péril la démocratie ? Contre les élections [texte imprimé] / David Van Reybrouck, Auteur . - Arles (France) : Actes sud, 2014 . - 224 p.. - (Babel) .
ISBN : 978-2-330-02820-6 : €9,50
Langues : Français
Catégories : Démocratie ; Essai ; Politique Index. décimale : B.01.1. Démocratie Note de contenu : Depuis plusieurs années, David Van Reybrouck, auteur de "Congo, Une histoire" (Prix Médicis Essai 2012) s’intéresse de près à la vie politique de son pays, la Belgique, et notamment à la question de la participation des citoyens à la gestion du pays. Et si c’étaient les élections qui mettaient en péril la démocratie ? Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0972a B.01.1.VAN.C. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : La fabrique de l’homme endetté : Essai sur la condition néolibérale Type de document : texte imprimé Auteurs : Maurizio Lazzarato, Auteur Editeur : Paris [France] : Amsterdam éditions Année de publication : 2011 Importance : 128 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-096-3 Prix : 10 euros Langues : Français Catégories : Dette ; Economie ; Essai ; Philosophie Mots-clés : Dette, néolibéralisme, capitalisme, essai, philosophie Index. décimale : E. Sociologie - Antropologie Résumé : La dette, tant privée que publique, semble aujourd’hui une préoccupation majeure des « responsables » économiques et politiques. Dans La Fabrique de l’homme endetté, Maurizio Lazzarato montre cependant que, loin d’être une menace pour l’économie capitaliste, elle se situe au cœur même du projet néolibéral. À travers la lecture d’un texte méconnu de Marx, mais aussi à travers la relecture d’écrits de Nietzsche, Deleuze, Guattari ou encore Foucault, l’auteur démontre que la dette, loin de n’être qu’une réalité économique, est avant tout une construction politique, et que la relation créancier/débiteur est le rapport social fondamental de nos sociétés. La dette n’est pas d’abord un dispositif économique, mais une technique sécuritaire de gouvernement et de contrôle des subjectivités individuelles et collectives, visant à réduire l’incertitude du temps et des comportements des gouvernés. Selon la logique « folle » du néolibéralisme – qui prétend substituer le crédit aux salaires et aux droits sociaux, avec les effets désastreux que la crise des subprimes a illustrés de façon dramatique –, nous devenons toujours davantage les débiteurs de l’État, des assurances privées et, plus généralement, des entreprises, et nous sommes incités et contraints, pour honorer nos engagements, à devenir les « entrepreneurs » de nos vies, de notre « capital humain » ; c’est ainsi tout notre horizon matériel, mental et affectif qui se trouve reconfiguré et bouleversé. Comment sortir de cette situation impossible ? Comment échapper à la condition néolibérale de l’homme endetté ? Si l’on suit Maurizio Lazzarato dans ses analyses, selon lesquelles la dette est avant tout un instrument de contrôle politique et l’expression de rapports de pouvoir, force est de reconnaître qu’il n’y pas d’issues simplement techniques, économiques ou financières. Il nous faut remettre en question radicalement le rapport social fondamental qui structure le capitalisme : le système de la dette. En ligne : http://www.editionsamsterdam.fr/la-fabrique-de-lhomme-endette/ La fabrique de l’homme endetté : Essai sur la condition néolibérale [texte imprimé] / Maurizio Lazzarato, Auteur . - Paris (31 rue Paul Fort, 75014, France) : Amsterdam éditions, 2011 . - 128 p.
ISBN : 978-2-35480-096-3 : 10 euros
Langues : Français
Catégories : Dette ; Economie ; Essai ; Philosophie Mots-clés : Dette, néolibéralisme, capitalisme, essai, philosophie Index. décimale : E. Sociologie - Antropologie Résumé : La dette, tant privée que publique, semble aujourd’hui une préoccupation majeure des « responsables » économiques et politiques. Dans La Fabrique de l’homme endetté, Maurizio Lazzarato montre cependant que, loin d’être une menace pour l’économie capitaliste, elle se situe au cœur même du projet néolibéral. À travers la lecture d’un texte méconnu de Marx, mais aussi à travers la relecture d’écrits de Nietzsche, Deleuze, Guattari ou encore Foucault, l’auteur démontre que la dette, loin de n’être qu’une réalité économique, est avant tout une construction politique, et que la relation créancier/débiteur est le rapport social fondamental de nos sociétés. La dette n’est pas d’abord un dispositif économique, mais une technique sécuritaire de gouvernement et de contrôle des subjectivités individuelles et collectives, visant à réduire l’incertitude du temps et des comportements des gouvernés. Selon la logique « folle » du néolibéralisme – qui prétend substituer le crédit aux salaires et aux droits sociaux, avec les effets désastreux que la crise des subprimes a illustrés de façon dramatique –, nous devenons toujours davantage les débiteurs de l’État, des assurances privées et, plus généralement, des entreprises, et nous sommes incités et contraints, pour honorer nos engagements, à devenir les « entrepreneurs » de nos vies, de notre « capital humain » ; c’est ainsi tout notre horizon matériel, mental et affectif qui se trouve reconfiguré et bouleversé. Comment sortir de cette situation impossible ? Comment échapper à la condition néolibérale de l’homme endetté ? Si l’on suit Maurizio Lazzarato dans ses analyses, selon lesquelles la dette est avant tout un instrument de contrôle politique et l’expression de rapports de pouvoir, force est de reconnaître qu’il n’y pas d’issues simplement techniques, économiques ou financières. Il nous faut remettre en question radicalement le rapport social fondamental qui structure le capitalisme : le système de la dette. En ligne : http://www.editionsamsterdam.fr/la-fabrique-de-lhomme-endette/ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01221a E.LAZ.F. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Le gouvernement de la culture / Maryvonne de Saint Pulgent
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