Bienvenue dans le catalogue en ligne du centre de documentation conjoint de Smart et de Culture & Démocratie.
Le catalogue répertorie plus de 3000 ressources liées aux champs d’actions thématiques des deux organisations partenaires, parmi lesquels : sociologie de l’art et de la culture, politiques culturelles, mouvement coopératif, entrepreneuriat solidaire, économie sociale.
Une partie des ressources dite « vive » est directement accessible dans le centre de documentation, une autre partie est archivée.
Ce fonds documentaire multilingue regroupe des ouvrages scientifiques, des essais, des guides pratiques, des thèses, des revues, des dossiers, des publications sur supports numériques, ….
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30 ans au service du débat économique et social / Marc Mousli
Titre : 30 ans au service du débat économique et social Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Mousli, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives économiques Année de publication : 2010 Importance : 96 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35240-048-6 Langues : Français Catégories : Démocratie ; Economie Index. décimale : F.03. Economie sociale Note de contenu : Ce n'est évidemment pas un hasard si le premier numéro d'Alternatives Economiques est paru en octobre 1980. Au Royaume-Uni, Margaret Thatcher - qui se disait lectrice et admiratrice de Friedrich von Hayek - avait été désignée comme Premier Ministre quelques mois auparavant. Aux Etats-Unis, Ronald Reagan, largement en avance sur son adversaire démocrate selon les sondages, allait emporter haut la main l'élection présidentielle quelques semaines plus tard. En France même, le Premier ministre d'alors, Raymond Barre - dont Valéry Giscard d'Estaing avait dit qu'il était le "meilleur économiste de France" -, menait une politique partiellement inspirée de Milton Friedman et de son monétarisme. Bref, après un demi-siècle de déclin, le libéralisme économique redevenait dominant. "La seule politique possible", répondait Raymond Barre à ses contradicteurs, "There Is No Alternative", allait s'exclamer Mrs Thatcher (gagnant alors son surnom de "TINA") quelques mois après: à quoi bon discuter, protester ou s'opposer, s'il n'y a pas d'autre solution possible? 30 ans au service du débat économique et social [texte imprimé] / Marc Mousli, Auteur . - Paris (Rue du Sentier, 28, 75002, France) : Alternatives économiques, 2010 . - 96 p.
ISBN : 978-2-35240-048-6
Langues : Français
Catégories : Démocratie ; Economie Index. décimale : F.03. Economie sociale Note de contenu : Ce n'est évidemment pas un hasard si le premier numéro d'Alternatives Economiques est paru en octobre 1980. Au Royaume-Uni, Margaret Thatcher - qui se disait lectrice et admiratrice de Friedrich von Hayek - avait été désignée comme Premier Ministre quelques mois auparavant. Aux Etats-Unis, Ronald Reagan, largement en avance sur son adversaire démocrate selon les sondages, allait emporter haut la main l'élection présidentielle quelques semaines plus tard. En France même, le Premier ministre d'alors, Raymond Barre - dont Valéry Giscard d'Estaing avait dit qu'il était le "meilleur économiste de France" -, menait une politique partiellement inspirée de Milton Friedman et de son monétarisme. Bref, après un demi-siècle de déclin, le libéralisme économique redevenait dominant. "La seule politique possible", répondait Raymond Barre à ses contradicteurs, "There Is No Alternative", allait s'exclamer Mrs Thatcher (gagnant alors son surnom de "TINA") quelques mois après: à quoi bon discuter, protester ou s'opposer, s'il n'y a pas d'autre solution possible? Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1533a F.03. MOU.T. Livre Centre de doc Documentaires Disponible L'art à tout prix / Laurence Adam
Titre : L'art à tout prix : Article 27 a 15 ans Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence Adam, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : Article 27 ASBL Année de publication : 2014 Importance : 174 p Langues : Français Néerlandais Catégories : Atelier ; Cinéma ; Culture ; Danse ; Démocratie ; Galerie ; Musique ; Théâtre Index. décimale : B.03. Culture et solidarité Note de contenu : L'asbl Article 27 se donne pour mission de sensibiliser et de faciliter l'accès à toute forme de culture pour toute personne vivant une situation sociale et/ou économique difficile. L'art à tout prix : Article 27 a 15 ans [texte imprimé] / Laurence Adam, Auteur . - Bruxelles (31, rue de Lisbonne, 1060, Belgique) : Article 27 ASBL, 2014 . - 174 p.
Langues : Français Néerlandais
Catégories : Atelier ; Cinéma ; Culture ; Danse ; Démocratie ; Galerie ; Musique ; Théâtre Index. décimale : B.03. Culture et solidarité Note de contenu : L'asbl Article 27 se donne pour mission de sensibiliser et de faciliter l'accès à toute forme de culture pour toute personne vivant une situation sociale et/ou économique difficile. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0947a B.03.ADA.A. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Le bal des tricheurs / Van Campenhoudt Luc
Titre : Le bal des tricheurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Van Campenhoudt Luc, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : La Revue Nouvelle Année de publication : 2013 Importance : 96 p Langues : Français Catégories : Analyse ; Citoyennete ; Démocratie ; Politique ; recherche ; Travail Index. décimale : B.01. Culture et citoyenneté Note de contenu : Tel le personnage de Stevenson, à la fois Dr Jekyll et Mr Hyde, la science moderne a d’emblée présenté un double visage.
Côté face, elle est parée de toutes les vertus. Les savants, comme on disait jadis, recherchent la vérité pour elle-même, de manière désintéressée. Ils considèrent leurs découvertes comme un bien commun qu’ils partagent avec l’ensemble de la communauté scientifique. Ils n’acceptent une proposition qu’à condition qu’elle résiste à l’expérimentation et au raisonnement logique et soit universellement valide en fonction de critères qui s’imposent à tous [1]. Il en découle que la publication des résultats des recherches est indispensable au fonctionnement de la communauté scientifique et dès lors inhérente au travail scientifique. Toute recherche doit aboutir à une ou plusieurs publications. Ou alors, elle ne sert à rien et ne compte tout simplement pas. C’est sur leur qualité (notoriété de la revue notamment) qu’un chercheur ou un scientifique, comme on dit aujourd’hui, sera évalué par ses pairs. Passe-t-il des années dans son laboratoire à mener d’interminables expériences ou sur son « terrain » à observer minutieusement les comportements de ses semblables, au bout du compte, le scientifique produit des textes, comme le boulanger fabrique du pain et l’entrepreneur des maisons. Le plagiat est forcément une faute grave, car il fausse le jeu en accaparant ce qui représente le fruit le plus précieux du travail des pairs. Le dénoncer est un devoir. Côté pile, la science inquiète par sa puissance même. Fonçant comme un train fou, elle peut mettre en péril l’humanité qu’elle est censée servir et est alors surtout associée au risque. Elle se met au service d’intérêts économiques, politiques ou militaires particuliers et leur réserve alors ses découvertes, qui ne constituent plus un bien commun de l’humanité. De plus en plus individualistes dans un système hypercompétitif, les chercheurs se livrent à une concurrence et à une compétition effrénées pour celui qui publiera le plus et le mieux, et sera le mieux noté dans les rankings. Publier qui n’est en principe qu’un moyen devient la finalité même du travail. C’est au point que certains n’hésitent pas à sacrifier rigueur et profondeur d’analyse sur l’autel de la vitesse, à manipuler leurs données, voire à s’approprier carrément le travail d’un autre en publiant sous leur propre nom ce qu’ils ont dérobé ailleurs. Le plagiat est alors structurellement lié aux dérives du champ de la recherche et de ses institutions. Sa dénonciation n’est pas forcément vertueuse, mais une arme contre ses concurrents, voire une manière, pour les institutions universitaires en manque de moyens, de se faire de l’argent. Tout n’est pas si clair cependant, ni si tranché. Tout d’abord, il n’est pas facile de tracer une frontière nette entre ce qu’un chercheur emprunte à la communauté scientifique et ce qu’il apporte de spécifique et d’original. Le travail de chacun s’inscrit dans une immense et durable entreprise collective dont il ne constitue qu’une infime partie. Dans tout ce que chacun écrit, une très petite proportion provient directement et exclusivement de lui-même. Pour la plus grande partie, ce que nous considérons fièrement comme nos propres pensées, idées ou savoirs ne sont pas les nôtres. Chacun reprend, avec des mots souvent stéréotypés, ce que la communauté scientifique dans son ensemble a pensé avant lui et réexprime à travers lui. Nous sommes « des nains sur des épaules de géants », écrivait Bernard de Chartres. Ensuite, dans la réalité des laboratoires et réseaux scientifiques, la logique du don et de la réciprocité est au cœur du travail et des échanges. Selon la classique structure circulaire décrite par Marcel Mauss, tout chercheur ne cesse de donner, de recevoir et de rendre : une hypothèse féconde, une information cruciale, une source utile, un conseil méthodologique judicieux, une idée clé… L’essentiel de ce système d’échanges échappe à un contrôle formel et technique (notamment de détection du plagiat), parce qu’il se déroule de manière orale et/ou informelle, dans la multitude des échanges au sein d’un labo ou d’un centre de recherche, d’une réunion scientifique, d’une discussion entre collègues, d’un site internet ou de la masse incessante des courriels qui véhiculent de l’information scientifique. Aujourd’hui, les cas de plagiat et de triche (d’universitaires, mais aussi de personnalités politiques et intellectuelles) sont abondamment répercutés dans les médias. Du côté des étudiants (souvent assistés par leurs parents), s’observe un phénomène analogue. On replace tels quels dans ses travaux des passages entièrement puisés dans Wikipedia, on recopie sans scrupule des parties substantielles de mémoires disponibles sur internet, on rétribue carrément des universitaires aguerris, qui offrent sans vergogne leurs services pour rédiger le mémoire de fin d’études. Et on trouve cela normal. Que penser en définitive ? Avant de condamner ou de tolérer, de juger et de règlementer, il faut tenter de mieux comprendre, de mieux saisir ce qui se passe, ce à quoi on a affaire, de décrypter le sens du plagiat dans le monde scientifique et universitaire actuel. Tel est le chantier auquel s’attaquent dans ce dossier Albert Bastenier, Renaud Maes et Christophe Mincke. Leurs textes replacent le problème dans un triple contexte : d’abord celui de l’histoire qui réserve un certain nombre de belles surprises ; ensuite celui de la culture ambiante de la compétition et de l’excellence, de la mobilité et des flux où la question des limites est remise en cause et, avec elle, celle de la transgression ; enfin, celui des conditions actuelles de la recherche et de l’enseignement, notamment au sein de l’université. Le plagiat apparait alors comme une conséquence et une expression de phénomènes plus larges et plus profonds auxquels il faudrait s’attaquer. Un trait du côté « Mr Hyde » du scientifique et de l’étudiant, qui, à l’instar du scénario imaginé par Stevenson, pourrait finir par l’emporter sur son côté « Dr Jekyll ».Le bal des tricheurs [texte imprimé] / Van Campenhoudt Luc, Auteur . - Bruxelles (1050, Belgique) : La Revue Nouvelle, 2013 . - 96 p.
Langues : Français
Catégories : Analyse ; Citoyennete ; Démocratie ; Politique ; recherche ; Travail Index. décimale : B.01. Culture et citoyenneté Note de contenu : Tel le personnage de Stevenson, à la fois Dr Jekyll et Mr Hyde, la science moderne a d’emblée présenté un double visage.
Côté face, elle est parée de toutes les vertus. Les savants, comme on disait jadis, recherchent la vérité pour elle-même, de manière désintéressée. Ils considèrent leurs découvertes comme un bien commun qu’ils partagent avec l’ensemble de la communauté scientifique. Ils n’acceptent une proposition qu’à condition qu’elle résiste à l’expérimentation et au raisonnement logique et soit universellement valide en fonction de critères qui s’imposent à tous [1]. Il en découle que la publication des résultats des recherches est indispensable au fonctionnement de la communauté scientifique et dès lors inhérente au travail scientifique. Toute recherche doit aboutir à une ou plusieurs publications. Ou alors, elle ne sert à rien et ne compte tout simplement pas. C’est sur leur qualité (notoriété de la revue notamment) qu’un chercheur ou un scientifique, comme on dit aujourd’hui, sera évalué par ses pairs. Passe-t-il des années dans son laboratoire à mener d’interminables expériences ou sur son « terrain » à observer minutieusement les comportements de ses semblables, au bout du compte, le scientifique produit des textes, comme le boulanger fabrique du pain et l’entrepreneur des maisons. Le plagiat est forcément une faute grave, car il fausse le jeu en accaparant ce qui représente le fruit le plus précieux du travail des pairs. Le dénoncer est un devoir. Côté pile, la science inquiète par sa puissance même. Fonçant comme un train fou, elle peut mettre en péril l’humanité qu’elle est censée servir et est alors surtout associée au risque. Elle se met au service d’intérêts économiques, politiques ou militaires particuliers et leur réserve alors ses découvertes, qui ne constituent plus un bien commun de l’humanité. De plus en plus individualistes dans un système hypercompétitif, les chercheurs se livrent à une concurrence et à une compétition effrénées pour celui qui publiera le plus et le mieux, et sera le mieux noté dans les rankings. Publier qui n’est en principe qu’un moyen devient la finalité même du travail. C’est au point que certains n’hésitent pas à sacrifier rigueur et profondeur d’analyse sur l’autel de la vitesse, à manipuler leurs données, voire à s’approprier carrément le travail d’un autre en publiant sous leur propre nom ce qu’ils ont dérobé ailleurs. Le plagiat est alors structurellement lié aux dérives du champ de la recherche et de ses institutions. Sa dénonciation n’est pas forcément vertueuse, mais une arme contre ses concurrents, voire une manière, pour les institutions universitaires en manque de moyens, de se faire de l’argent. Tout n’est pas si clair cependant, ni si tranché. Tout d’abord, il n’est pas facile de tracer une frontière nette entre ce qu’un chercheur emprunte à la communauté scientifique et ce qu’il apporte de spécifique et d’original. Le travail de chacun s’inscrit dans une immense et durable entreprise collective dont il ne constitue qu’une infime partie. Dans tout ce que chacun écrit, une très petite proportion provient directement et exclusivement de lui-même. Pour la plus grande partie, ce que nous considérons fièrement comme nos propres pensées, idées ou savoirs ne sont pas les nôtres. Chacun reprend, avec des mots souvent stéréotypés, ce que la communauté scientifique dans son ensemble a pensé avant lui et réexprime à travers lui. Nous sommes « des nains sur des épaules de géants », écrivait Bernard de Chartres. Ensuite, dans la réalité des laboratoires et réseaux scientifiques, la logique du don et de la réciprocité est au cœur du travail et des échanges. Selon la classique structure circulaire décrite par Marcel Mauss, tout chercheur ne cesse de donner, de recevoir et de rendre : une hypothèse féconde, une information cruciale, une source utile, un conseil méthodologique judicieux, une idée clé… L’essentiel de ce système d’échanges échappe à un contrôle formel et technique (notamment de détection du plagiat), parce qu’il se déroule de manière orale et/ou informelle, dans la multitude des échanges au sein d’un labo ou d’un centre de recherche, d’une réunion scientifique, d’une discussion entre collègues, d’un site internet ou de la masse incessante des courriels qui véhiculent de l’information scientifique. Aujourd’hui, les cas de plagiat et de triche (d’universitaires, mais aussi de personnalités politiques et intellectuelles) sont abondamment répercutés dans les médias. Du côté des étudiants (souvent assistés par leurs parents), s’observe un phénomène analogue. On replace tels quels dans ses travaux des passages entièrement puisés dans Wikipedia, on recopie sans scrupule des parties substantielles de mémoires disponibles sur internet, on rétribue carrément des universitaires aguerris, qui offrent sans vergogne leurs services pour rédiger le mémoire de fin d’études. Et on trouve cela normal. Que penser en définitive ? Avant de condamner ou de tolérer, de juger et de règlementer, il faut tenter de mieux comprendre, de mieux saisir ce qui se passe, ce à quoi on a affaire, de décrypter le sens du plagiat dans le monde scientifique et universitaire actuel. Tel est le chantier auquel s’attaquent dans ce dossier Albert Bastenier, Renaud Maes et Christophe Mincke. Leurs textes replacent le problème dans un triple contexte : d’abord celui de l’histoire qui réserve un certain nombre de belles surprises ; ensuite celui de la culture ambiante de la compétition et de l’excellence, de la mobilité et des flux où la question des limites est remise en cause et, avec elle, celle de la transgression ; enfin, celui des conditions actuelles de la recherche et de l’enseignement, notamment au sein de l’université. Le plagiat apparait alors comme une conséquence et une expression de phénomènes plus larges et plus profonds auxquels il faudrait s’attaquer. Un trait du côté « Mr Hyde » du scientifique et de l’étudiant, qui, à l’instar du scénario imaginé par Stevenson, pourrait finir par l’emporter sur son côté « Dr Jekyll ».Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1621a B.01.CAM.B. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Cahier International sur le témoignage audiovisuel / Fondation Auschwitz
[périodique] Voir les bulletins disponibles
Titre : Cahier International sur le témoignage audiovisuel : Etudes sur le témoignage audiovisuel des victimes des crimes et genocides nazis Titre original : International journal on audio-visual testimony Type de document : texte imprimé Auteurs : Fondation Auschwitz, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : Editions du centre d'études et de documentation "Fondation Auschwitz" ISBN/ISSN/EAN : 0772-652X Langues : Français Catégories : Démocratie [périodique] Voir les bulletins disponibles Cahier International sur le témoignage audiovisuel = International journal on audio-visual testimony : Etudes sur le témoignage audiovisuel des victimes des crimes et genocides nazis [texte imprimé] / Fondation Auschwitz, Auteur . - Bruxelles (Belgique) : Editions du centre d'études et de documentation "Fondation Auschwitz".
ISSN : 0772-652X
Langues : Français
Catégories : Démocratie Le cercle ouvert / Roland de Bodt
Titre : Le cercle ouvert : lettre ouverte au Parlement de la Communauté française de Belgique Type de document : texte imprimé Auteurs : Roland de Bodt, Auteur Editeur : Mons [Belgique] : Editions Racines fondation Année de publication : 1999 Importance : 106 p Langues : Français Catégories : Communauté française ; Culture ; Démocratie Index. décimale : B.01.1. Démocratie Résumé : A l'occasion du cinquantième anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, un directeur de centre culturel rédige le cercle ouvert, une lettre ouverte au Parlement de la Communauté française de Belgique pour rappeler le rôle vital de la culture comme moteur du développement de nos sociétés démocratique.
Roland de Bodt nous invite à revisiter nos conceptions de la démocratie et de la culture. Il propose une mise à jour des définitions de ces deux termes. Fort de ces deux nouveaux outils, il aborde quelques-unes de nos grandes questions de société.
Au delà de la situation particulière des francophones de Belgique, l'auter nous invite à une réflexion qui intéressera tous les acteurs de la vie culturelle et politique et tous les démocrates.
Pour ouvrir les cercles de nos imaginaires, pour inventer les formes nouvelles de la démocratie et les nouvelles perspectives du développement économique, il est temps d'investir massivement dans l'action culturelle, la formation des imaginaires, la création artistique, la pédagogie des droits de l'homme.Le cercle ouvert : lettre ouverte au Parlement de la Communauté française de Belgique [texte imprimé] / Roland de Bodt, Auteur . - Mons (Belgique) : Editions Racines fondation, 1999 . - 106 p.
Langues : Français
Catégories : Communauté française ; Culture ; Démocratie Index. décimale : B.01.1. Démocratie Résumé : A l'occasion du cinquantième anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, un directeur de centre culturel rédige le cercle ouvert, une lettre ouverte au Parlement de la Communauté française de Belgique pour rappeler le rôle vital de la culture comme moteur du développement de nos sociétés démocratique.
Roland de Bodt nous invite à revisiter nos conceptions de la démocratie et de la culture. Il propose une mise à jour des définitions de ces deux termes. Fort de ces deux nouveaux outils, il aborde quelques-unes de nos grandes questions de société.
Au delà de la situation particulière des francophones de Belgique, l'auter nous invite à une réflexion qui intéressera tous les acteurs de la vie culturelle et politique et tous les démocrates.
Pour ouvrir les cercles de nos imaginaires, pour inventer les formes nouvelles de la démocratie et les nouvelles perspectives du développement économique, il est temps d'investir massivement dans l'action culturelle, la formation des imaginaires, la création artistique, la pédagogie des droits de l'homme.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 093a B.01.1. DEB Livre Centre de doc Documentaires Disponible PermalinkLa Chine, une puissance (in-)certaine / Van Campenhoudt Luc
PermalinkContre les élections / David Van Reybrouck
PermalinkDans ma commune, je, tu, nous luttons ensemble contre la pauvreté! / Céline Martin
PermalinkDémocratie* / Roland de Bodt
PermalinkLa démocratie, c'est pas que des mots! / Annoncer la couleur
PermalinkLa démocratie contre elle-même / Marcel Gauchet
PermalinkPermalinkLa démocratie moderne / Claudine Leleux
PermalinkDémocratie ou particratie? / Alain Destexhe
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