Bienvenue dans le catalogue en ligne du centre de documentation conjoint de Smart et de Culture & Démocratie.
Le catalogue répertorie plus de 3000 ressources liées aux champs d’actions thématiques des deux organisations partenaires, parmi lesquels : sociologie de l’art et de la culture, politiques culturelles, mouvement coopératif, entrepreneuriat solidaire, économie sociale.
Une partie des ressources dite « vive » est directement accessible dans le centre de documentation, une autre partie est archivée.
Ce fonds documentaire multilingue regroupe des ouvrages scientifiques, des essais, des guides pratiques, des thèses, des revues, des dossiers, des publications sur supports numériques, ….
Toutes les ressources disponibles dans le centre de documentation sont en consultation libre sur place. L’emprunt n’est pas consenti. Photocopieuse disponible sur place pour la reproduction d’extraits.
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1 - Hoge cultuur is bij uitstek voor zogezegd simpele mensen / Bart Rogé
Titre : 1 - Hoge cultuur is bij uitstek voor zogezegd simpele mensen Type de document : texte imprimé Auteurs : Bart Rogé, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Ivo Janssens, Auteur ; Nico Carpentier, Auteur ; Anne Snick, Auteur ; Geert van Istendael, Auteur Editeur : Brussel : Demos vzw Importance : 1 vol. (41 p.) Présentation : couv. ill. en coul., ill. en coul. Format : 23 cm Langues : Néerlandais Catégories : Citoyennete ; Culture ; Culture de masse ; Public ; Société Mots-clés : Généralités (Culture et Solidarité) Index. décimale : B.03.8. Publics fragilisés divers 1 - Hoge cultuur is bij uitstek voor zogezegd simpele mensen [texte imprimé] / Bart Rogé, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Ivo Janssens, Auteur ; Nico Carpentier, Auteur ; Anne Snick, Auteur ; Geert van Istendael, Auteur . - Brussel : Demos vzw, [s.d.] . - 1 vol. (41 p.) : couv. ill. en coul., ill. en coul. ; 23 cm.
Langues : Néerlandais
Catégories : Citoyennete ; Culture ; Culture de masse ; Public ; Société Mots-clés : Généralités (Culture et Solidarité) Index. décimale : B.03.8. Publics fragilisés divers Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0412a B.03.8. ROG Livre Centre de doc Documentaires Disponible 4 - Cohésion sociale à Bruxelles : textes légaux (Bulletin de Les Cahiers du Fil Rouge, 4 [12/10/2010]) / Alain Leduc
[n° ou bulletin]
Titre : 4 - Cohésion sociale à Bruxelles : textes légaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Leduc, Auteur Importance : 60 p Langues : Français Catégories : Bruxelles ; Citoyennete [n° ou bulletin] 4 - Cohésion sociale à Bruxelles : textes légaux [texte imprimé] / Alain Leduc, Auteur . - 60 p.
Langues : Français
Catégories : Bruxelles ; Citoyennete Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Le bal des tricheurs / Van Campenhoudt Luc
Titre : Le bal des tricheurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Van Campenhoudt Luc, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : La Revue Nouvelle Année de publication : 2013 Importance : 96 p Langues : Français Catégories : Analyse ; Citoyennete ; Démocratie ; Politique ; recherche ; Travail Index. décimale : B.01. Culture et citoyenneté Note de contenu : Tel le personnage de Stevenson, à la fois Dr Jekyll et Mr Hyde, la science moderne a d’emblée présenté un double visage.
Côté face, elle est parée de toutes les vertus. Les savants, comme on disait jadis, recherchent la vérité pour elle-même, de manière désintéressée. Ils considèrent leurs découvertes comme un bien commun qu’ils partagent avec l’ensemble de la communauté scientifique. Ils n’acceptent une proposition qu’à condition qu’elle résiste à l’expérimentation et au raisonnement logique et soit universellement valide en fonction de critères qui s’imposent à tous [1]. Il en découle que la publication des résultats des recherches est indispensable au fonctionnement de la communauté scientifique et dès lors inhérente au travail scientifique. Toute recherche doit aboutir à une ou plusieurs publications. Ou alors, elle ne sert à rien et ne compte tout simplement pas. C’est sur leur qualité (notoriété de la revue notamment) qu’un chercheur ou un scientifique, comme on dit aujourd’hui, sera évalué par ses pairs. Passe-t-il des années dans son laboratoire à mener d’interminables expériences ou sur son « terrain » à observer minutieusement les comportements de ses semblables, au bout du compte, le scientifique produit des textes, comme le boulanger fabrique du pain et l’entrepreneur des maisons. Le plagiat est forcément une faute grave, car il fausse le jeu en accaparant ce qui représente le fruit le plus précieux du travail des pairs. Le dénoncer est un devoir. Côté pile, la science inquiète par sa puissance même. Fonçant comme un train fou, elle peut mettre en péril l’humanité qu’elle est censée servir et est alors surtout associée au risque. Elle se met au service d’intérêts économiques, politiques ou militaires particuliers et leur réserve alors ses découvertes, qui ne constituent plus un bien commun de l’humanité. De plus en plus individualistes dans un système hypercompétitif, les chercheurs se livrent à une concurrence et à une compétition effrénées pour celui qui publiera le plus et le mieux, et sera le mieux noté dans les rankings. Publier qui n’est en principe qu’un moyen devient la finalité même du travail. C’est au point que certains n’hésitent pas à sacrifier rigueur et profondeur d’analyse sur l’autel de la vitesse, à manipuler leurs données, voire à s’approprier carrément le travail d’un autre en publiant sous leur propre nom ce qu’ils ont dérobé ailleurs. Le plagiat est alors structurellement lié aux dérives du champ de la recherche et de ses institutions. Sa dénonciation n’est pas forcément vertueuse, mais une arme contre ses concurrents, voire une manière, pour les institutions universitaires en manque de moyens, de se faire de l’argent. Tout n’est pas si clair cependant, ni si tranché. Tout d’abord, il n’est pas facile de tracer une frontière nette entre ce qu’un chercheur emprunte à la communauté scientifique et ce qu’il apporte de spécifique et d’original. Le travail de chacun s’inscrit dans une immense et durable entreprise collective dont il ne constitue qu’une infime partie. Dans tout ce que chacun écrit, une très petite proportion provient directement et exclusivement de lui-même. Pour la plus grande partie, ce que nous considérons fièrement comme nos propres pensées, idées ou savoirs ne sont pas les nôtres. Chacun reprend, avec des mots souvent stéréotypés, ce que la communauté scientifique dans son ensemble a pensé avant lui et réexprime à travers lui. Nous sommes « des nains sur des épaules de géants », écrivait Bernard de Chartres. Ensuite, dans la réalité des laboratoires et réseaux scientifiques, la logique du don et de la réciprocité est au cœur du travail et des échanges. Selon la classique structure circulaire décrite par Marcel Mauss, tout chercheur ne cesse de donner, de recevoir et de rendre : une hypothèse féconde, une information cruciale, une source utile, un conseil méthodologique judicieux, une idée clé… L’essentiel de ce système d’échanges échappe à un contrôle formel et technique (notamment de détection du plagiat), parce qu’il se déroule de manière orale et/ou informelle, dans la multitude des échanges au sein d’un labo ou d’un centre de recherche, d’une réunion scientifique, d’une discussion entre collègues, d’un site internet ou de la masse incessante des courriels qui véhiculent de l’information scientifique. Aujourd’hui, les cas de plagiat et de triche (d’universitaires, mais aussi de personnalités politiques et intellectuelles) sont abondamment répercutés dans les médias. Du côté des étudiants (souvent assistés par leurs parents), s’observe un phénomène analogue. On replace tels quels dans ses travaux des passages entièrement puisés dans Wikipedia, on recopie sans scrupule des parties substantielles de mémoires disponibles sur internet, on rétribue carrément des universitaires aguerris, qui offrent sans vergogne leurs services pour rédiger le mémoire de fin d’études. Et on trouve cela normal. Que penser en définitive ? Avant de condamner ou de tolérer, de juger et de règlementer, il faut tenter de mieux comprendre, de mieux saisir ce qui se passe, ce à quoi on a affaire, de décrypter le sens du plagiat dans le monde scientifique et universitaire actuel. Tel est le chantier auquel s’attaquent dans ce dossier Albert Bastenier, Renaud Maes et Christophe Mincke. Leurs textes replacent le problème dans un triple contexte : d’abord celui de l’histoire qui réserve un certain nombre de belles surprises ; ensuite celui de la culture ambiante de la compétition et de l’excellence, de la mobilité et des flux où la question des limites est remise en cause et, avec elle, celle de la transgression ; enfin, celui des conditions actuelles de la recherche et de l’enseignement, notamment au sein de l’université. Le plagiat apparait alors comme une conséquence et une expression de phénomènes plus larges et plus profonds auxquels il faudrait s’attaquer. Un trait du côté « Mr Hyde » du scientifique et de l’étudiant, qui, à l’instar du scénario imaginé par Stevenson, pourrait finir par l’emporter sur son côté « Dr Jekyll ».Le bal des tricheurs [texte imprimé] / Van Campenhoudt Luc, Auteur . - Bruxelles (1050, Belgique) : La Revue Nouvelle, 2013 . - 96 p.
Langues : Français
Catégories : Analyse ; Citoyennete ; Démocratie ; Politique ; recherche ; Travail Index. décimale : B.01. Culture et citoyenneté Note de contenu : Tel le personnage de Stevenson, à la fois Dr Jekyll et Mr Hyde, la science moderne a d’emblée présenté un double visage.
Côté face, elle est parée de toutes les vertus. Les savants, comme on disait jadis, recherchent la vérité pour elle-même, de manière désintéressée. Ils considèrent leurs découvertes comme un bien commun qu’ils partagent avec l’ensemble de la communauté scientifique. Ils n’acceptent une proposition qu’à condition qu’elle résiste à l’expérimentation et au raisonnement logique et soit universellement valide en fonction de critères qui s’imposent à tous [1]. Il en découle que la publication des résultats des recherches est indispensable au fonctionnement de la communauté scientifique et dès lors inhérente au travail scientifique. Toute recherche doit aboutir à une ou plusieurs publications. Ou alors, elle ne sert à rien et ne compte tout simplement pas. C’est sur leur qualité (notoriété de la revue notamment) qu’un chercheur ou un scientifique, comme on dit aujourd’hui, sera évalué par ses pairs. Passe-t-il des années dans son laboratoire à mener d’interminables expériences ou sur son « terrain » à observer minutieusement les comportements de ses semblables, au bout du compte, le scientifique produit des textes, comme le boulanger fabrique du pain et l’entrepreneur des maisons. Le plagiat est forcément une faute grave, car il fausse le jeu en accaparant ce qui représente le fruit le plus précieux du travail des pairs. Le dénoncer est un devoir. Côté pile, la science inquiète par sa puissance même. Fonçant comme un train fou, elle peut mettre en péril l’humanité qu’elle est censée servir et est alors surtout associée au risque. Elle se met au service d’intérêts économiques, politiques ou militaires particuliers et leur réserve alors ses découvertes, qui ne constituent plus un bien commun de l’humanité. De plus en plus individualistes dans un système hypercompétitif, les chercheurs se livrent à une concurrence et à une compétition effrénées pour celui qui publiera le plus et le mieux, et sera le mieux noté dans les rankings. Publier qui n’est en principe qu’un moyen devient la finalité même du travail. C’est au point que certains n’hésitent pas à sacrifier rigueur et profondeur d’analyse sur l’autel de la vitesse, à manipuler leurs données, voire à s’approprier carrément le travail d’un autre en publiant sous leur propre nom ce qu’ils ont dérobé ailleurs. Le plagiat est alors structurellement lié aux dérives du champ de la recherche et de ses institutions. Sa dénonciation n’est pas forcément vertueuse, mais une arme contre ses concurrents, voire une manière, pour les institutions universitaires en manque de moyens, de se faire de l’argent. Tout n’est pas si clair cependant, ni si tranché. Tout d’abord, il n’est pas facile de tracer une frontière nette entre ce qu’un chercheur emprunte à la communauté scientifique et ce qu’il apporte de spécifique et d’original. Le travail de chacun s’inscrit dans une immense et durable entreprise collective dont il ne constitue qu’une infime partie. Dans tout ce que chacun écrit, une très petite proportion provient directement et exclusivement de lui-même. Pour la plus grande partie, ce que nous considérons fièrement comme nos propres pensées, idées ou savoirs ne sont pas les nôtres. Chacun reprend, avec des mots souvent stéréotypés, ce que la communauté scientifique dans son ensemble a pensé avant lui et réexprime à travers lui. Nous sommes « des nains sur des épaules de géants », écrivait Bernard de Chartres. Ensuite, dans la réalité des laboratoires et réseaux scientifiques, la logique du don et de la réciprocité est au cœur du travail et des échanges. Selon la classique structure circulaire décrite par Marcel Mauss, tout chercheur ne cesse de donner, de recevoir et de rendre : une hypothèse féconde, une information cruciale, une source utile, un conseil méthodologique judicieux, une idée clé… L’essentiel de ce système d’échanges échappe à un contrôle formel et technique (notamment de détection du plagiat), parce qu’il se déroule de manière orale et/ou informelle, dans la multitude des échanges au sein d’un labo ou d’un centre de recherche, d’une réunion scientifique, d’une discussion entre collègues, d’un site internet ou de la masse incessante des courriels qui véhiculent de l’information scientifique. Aujourd’hui, les cas de plagiat et de triche (d’universitaires, mais aussi de personnalités politiques et intellectuelles) sont abondamment répercutés dans les médias. Du côté des étudiants (souvent assistés par leurs parents), s’observe un phénomène analogue. On replace tels quels dans ses travaux des passages entièrement puisés dans Wikipedia, on recopie sans scrupule des parties substantielles de mémoires disponibles sur internet, on rétribue carrément des universitaires aguerris, qui offrent sans vergogne leurs services pour rédiger le mémoire de fin d’études. Et on trouve cela normal. Que penser en définitive ? Avant de condamner ou de tolérer, de juger et de règlementer, il faut tenter de mieux comprendre, de mieux saisir ce qui se passe, ce à quoi on a affaire, de décrypter le sens du plagiat dans le monde scientifique et universitaire actuel. Tel est le chantier auquel s’attaquent dans ce dossier Albert Bastenier, Renaud Maes et Christophe Mincke. Leurs textes replacent le problème dans un triple contexte : d’abord celui de l’histoire qui réserve un certain nombre de belles surprises ; ensuite celui de la culture ambiante de la compétition et de l’excellence, de la mobilité et des flux où la question des limites est remise en cause et, avec elle, celle de la transgression ; enfin, celui des conditions actuelles de la recherche et de l’enseignement, notamment au sein de l’université. Le plagiat apparait alors comme une conséquence et une expression de phénomènes plus larges et plus profonds auxquels il faudrait s’attaquer. Un trait du côté « Mr Hyde » du scientifique et de l’étudiant, qui, à l’instar du scénario imaginé par Stevenson, pourrait finir par l’emporter sur son côté « Dr Jekyll ».Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1621a B.01.CAM.B. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Ceci n'est pas une crise Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur ; Pierre Kroll, Préfacier, etc. Editeur : Tournai [Belgique] : La Renaissance du Livre Année de publication : 2015 Importance : 128 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-507-05329-1 Prix : 11,90 € Note générale : La Fondation « CECI N’EST PAS UNE CRISE » est une fondation d'utilité publique et sans but lucratif. Elle se définit comme étant un laboratoire d'idées, un espace de débats, une force de propositions.
Auteurs: Philippe Busquin, Grégor Chapelle, Bruno Colmant, Eric De Beukelaer, Eric Domb, Monica Frassoni, Jan Goossens, Pierre Kroll, Jean-Pascal Labille, Philippe Lallemand, Philippe Maystadt, Louis Michel, Marielle Papy, Benoît Scheuer, Dan Sobovitz, Hilde Vernaillen, Eric Winnen.Langues : Français Catégories : Citoyennete ; Société ; Solidarité Mots-clés : 'crise' 'mutation' 'identité' 'futur' 'solidarité' 'l'espoir' Index. décimale : F.05.1. Mouvements et initiatives citoyennes Note de contenu : C’est l’histoire de rencontres de femmes et d’hommes venant d’horizons divers, qui ont posé le même constat : « Ceci n’est pas une crise. » Nous vivons, en effet, une prodigieuse mutation sociétale, nous sommes à une bifurcation historique. Mutation sur les plans géopolitique, économique, numérique et digital, biotechnologique, écologique et, enfin, sociologique. L’individu se découvre seul dans un monde fragmenté ; ne pouvant plus s’appuyer sur les institutions qui ne prescrivent plus les rôles, il doit chercher par lui-même ses identités.
Habité par ce sentiment persistant de vide et d’insécurité identitaire, l’individu risque de se replier sur sa « tribu » et de ne plus adhérer à un contrat social – le spectre du communautarisme n’est pas loin.
« Les nuits sont enceintes et nul ne sait le jour qui naîtra », dit un proverbe turc…
Le futur est un mouvement et il nous appartient de l’orienter vers le progrès pour tous. Il ne s’agit plus de retrouver, mais d’inventer. De mettre en lumière l’importance du « savoir-être et du savoir-faire ensemble » pour que chacun puisse devenir unique. Nous avons la faculté et la liberté de nous donner un autre cap. La volonté, la persévérance, l’envie et le goût de l’autre peuvent donner naissance à de grandes espérances. Soyons contagieux de ces valeurs, allumons les grands phares et battons-nous pour que nos destins ne se fracassent pas sur les falaises de leurs possibilités.En ligne : https://www.livre-moi.be/fr/collectif/291-ceci-n-est-pas-une-crise.html Ceci n'est pas une crise [texte imprimé] / Collectif, Auteur ; Pierre Kroll, Préfacier, etc. . - Tournai (7500, Belgique) : La Renaissance du Livre, 2015 . - 128 p.
ISBN : 978-2-507-05329-1 : 11,90 €
La Fondation « CECI N’EST PAS UNE CRISE » est une fondation d'utilité publique et sans but lucratif. Elle se définit comme étant un laboratoire d'idées, un espace de débats, une force de propositions.
Auteurs: Philippe Busquin, Grégor Chapelle, Bruno Colmant, Eric De Beukelaer, Eric Domb, Monica Frassoni, Jan Goossens, Pierre Kroll, Jean-Pascal Labille, Philippe Lallemand, Philippe Maystadt, Louis Michel, Marielle Papy, Benoît Scheuer, Dan Sobovitz, Hilde Vernaillen, Eric Winnen.
Langues : Français
Catégories : Citoyennete ; Société ; Solidarité Mots-clés : 'crise' 'mutation' 'identité' 'futur' 'solidarité' 'l'espoir' Index. décimale : F.05.1. Mouvements et initiatives citoyennes Note de contenu : C’est l’histoire de rencontres de femmes et d’hommes venant d’horizons divers, qui ont posé le même constat : « Ceci n’est pas une crise. » Nous vivons, en effet, une prodigieuse mutation sociétale, nous sommes à une bifurcation historique. Mutation sur les plans géopolitique, économique, numérique et digital, biotechnologique, écologique et, enfin, sociologique. L’individu se découvre seul dans un monde fragmenté ; ne pouvant plus s’appuyer sur les institutions qui ne prescrivent plus les rôles, il doit chercher par lui-même ses identités.
Habité par ce sentiment persistant de vide et d’insécurité identitaire, l’individu risque de se replier sur sa « tribu » et de ne plus adhérer à un contrat social – le spectre du communautarisme n’est pas loin.
« Les nuits sont enceintes et nul ne sait le jour qui naîtra », dit un proverbe turc…
Le futur est un mouvement et il nous appartient de l’orienter vers le progrès pour tous. Il ne s’agit plus de retrouver, mais d’inventer. De mettre en lumière l’importance du « savoir-être et du savoir-faire ensemble » pour que chacun puisse devenir unique. Nous avons la faculté et la liberté de nous donner un autre cap. La volonté, la persévérance, l’envie et le goût de l’autre peuvent donner naissance à de grandes espérances. Soyons contagieux de ces valeurs, allumons les grands phares et battons-nous pour que nos destins ne se fracassent pas sur les falaises de leurs possibilités.En ligne : https://www.livre-moi.be/fr/collectif/291-ceci-n-est-pas-une-crise.html Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1936a F.05.1.COL.C. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Culture et citoyenneté / Accès au savoir
Titre : Culture et citoyenneté : Les grandes mutations et les trajets de la culture Type de document : texte imprimé Auteurs : Accès au savoir, Auteur Editeur : Liège : L. Pire Electronique Année de publication : 2002 Importance : 31 p Langues : Français Catégories : Citoyennete ; Colloque ; Culture Index. décimale : B.01. Culture et citoyenneté Note de contenu : Notre environnement évolue, et l'on sait combien cette évolution est en pleine accélération, combien elle peut prendre des tours et détours parfois déroutants, alarmants. Les angles d'approche les plus significatifs de cette évolution, dans son rapport avec la culture, ont été abordés par le colloque "Culture et Société" et repris dans les actes. Culture et citoyenneté : Les grandes mutations et les trajets de la culture [texte imprimé] / Accès au savoir, Auteur . - Liège : L. Pire Electronique, 2002 . - 31 p.
Langues : Français
Catégories : Citoyennete ; Colloque ; Culture Index. décimale : B.01. Culture et citoyenneté Note de contenu : Notre environnement évolue, et l'on sait combien cette évolution est en pleine accélération, combien elle peut prendre des tours et détours parfois déroutants, alarmants. Les angles d'approche les plus significatifs de cette évolution, dans son rapport avec la culture, ont été abordés par le colloque "Culture et Société" et repris dans les actes. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0746a B.01. ACC Livre Centre de doc Documentaires Disponible Culture et démocratie / Guy Hermet
PermalinkLa démocratie, c'est pas que des mots! / Annoncer la couleur
PermalinkLa démocratie, c'est pas que des mots! / Annoncer la couleur
PermalinkDérapages / Roland de Bodt
PermalinkDunkerque Opener. Art & Espace public / Collectif
PermalinkEen veerkrachtige samenleving / Jef Peeters
PermalinkPermalinkJournal de l'Alpha 193 - Parcours d'accueil des primoarrivants / Collectif
PermalinkLe lien civil en crise / Carole Gayet-Viaud
PermalinkMémento de la citoyenneté en Communauté française / Démocratie ou Barbarie. Coordination pédagogique
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