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Titre : Intermittents et précaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Antonella Corsani, Auteur ; Maurizio Lazzarato, Auteur Editeur : Paris [France] : Éditions Amsterdam Année de publication : 2008 Importance : 231 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-021-5 Langues : Français Catégories : Droit social ; Intermittent ; recherche ; Travail Mots-clés : 'Précarité' ' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Note de contenu : Depuis 1992, les Coordinations des intermittents du spectacle se sont construites autour d’un constat et d’une revendication : la discontinuité de l’emploi qui caractérise le secteur du spectacle concerne un nombre grandissant de travailleurs et pas uniquement les artistes et les techniciens du cinéma, du théâtre, de la télévision, du cirque, de la danse, etc. Pour combattre la précarisation et la paupérisation de couches de plus en plus importantes de la population, le régime de l’intermittence doit être élargi à tous les travailleurs soumis à la flexibilité de l’emploi.
Mais c’est avec le mouvement social qui a marqué la scène politique de juin 2003 à avril 2007 que, pour la première fois, le mot « précaire » fait son entrée dans l’espace public. Les intermittents en lutte assument, jusque dans le nom qu’ils se donnent, le fait d’être à la fois « intermittents » et « précaires».
La Coordination des Intermittents et Précaires a ainsi porté à un niveau supérieur le conflit en le déplaçant sur un terrain politique.
En démontrant que le travail déborde l’emploi, que le temps de chômage est aussi un temps d’activité, que ces activités restent invisibles à l’entreprise et aux institutions, les intermittents se battent pour des « nouveaux droits sociaux », pour la continuité des droits et du revenu en situation de discontinuité de l’emploi, plutôt que pour l’emploi à plein temps.
Ce livre retrace la genèse, les développements et les résultat d’une recherche qui a été le fruit d’une coopération et d’une coproduction entre « savants » et « profanes », entre des chercheurs universitaires et les militants des collectifs et des coordinations.En ligne : http://www.editionsamsterdam.fr/intermittents-et-precaires/ Intermittents et précaires [texte imprimé] / Antonella Corsani, Auteur ; Maurizio Lazzarato, Auteur . - Paris (13-15 rue Henri-Regnault, 7014, France) : Éditions Amsterdam, 2008 . - 231 p.
ISBN : 978-2-35480-021-5
Langues : Français
Catégories : Droit social ; Intermittent ; recherche ; Travail Mots-clés : 'Précarité' ' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Note de contenu : Depuis 1992, les Coordinations des intermittents du spectacle se sont construites autour d’un constat et d’une revendication : la discontinuité de l’emploi qui caractérise le secteur du spectacle concerne un nombre grandissant de travailleurs et pas uniquement les artistes et les techniciens du cinéma, du théâtre, de la télévision, du cirque, de la danse, etc. Pour combattre la précarisation et la paupérisation de couches de plus en plus importantes de la population, le régime de l’intermittence doit être élargi à tous les travailleurs soumis à la flexibilité de l’emploi.
Mais c’est avec le mouvement social qui a marqué la scène politique de juin 2003 à avril 2007 que, pour la première fois, le mot « précaire » fait son entrée dans l’espace public. Les intermittents en lutte assument, jusque dans le nom qu’ils se donnent, le fait d’être à la fois « intermittents » et « précaires».
La Coordination des Intermittents et Précaires a ainsi porté à un niveau supérieur le conflit en le déplaçant sur un terrain politique.
En démontrant que le travail déborde l’emploi, que le temps de chômage est aussi un temps d’activité, que ces activités restent invisibles à l’entreprise et aux institutions, les intermittents se battent pour des « nouveaux droits sociaux », pour la continuité des droits et du revenu en situation de discontinuité de l’emploi, plutôt que pour l’emploi à plein temps.
Ce livre retrace la genèse, les développements et les résultat d’une recherche qui a été le fruit d’une coopération et d’une coproduction entre « savants » et « profanes », entre des chercheurs universitaires et les militants des collectifs et des coordinations.En ligne : http://www.editionsamsterdam.fr/intermittents-et-precaires/ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13a E.03.COR.I. Livre Centre de doc Documentaires Disponible 13b E.03.COR.I. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : La fabrique de l’homme endetté : Essai sur la condition néolibérale Type de document : texte imprimé Auteurs : Maurizio Lazzarato, Auteur Editeur : Paris [France] : Éditions Amsterdam Année de publication : 2011 Importance : 128 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-096-3 Prix : 10 euros Langues : Français Catégories : Dette ; Economie ; Essai ; Philosophie Mots-clés : Dette, néolibéralisme, capitalisme, essai, philosophie Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Résumé : La dette, tant privée que publique, semble aujourd’hui une préoccupation majeure des « responsables » économiques et politiques. Dans La Fabrique de l’homme endetté, Maurizio Lazzarato montre cependant que, loin d’être une menace pour l’économie capitaliste, elle se situe au cœur même du projet néolibéral. À travers la lecture d’un texte méconnu de Marx, mais aussi à travers la relecture d’écrits de Nietzsche, Deleuze, Guattari ou encore Foucault, l’auteur démontre que la dette, loin de n’être qu’une réalité économique, est avant tout une construction politique, et que la relation créancier/débiteur est le rapport social fondamental de nos sociétés. La dette n’est pas d’abord un dispositif économique, mais une technique sécuritaire de gouvernement et de contrôle des subjectivités individuelles et collectives, visant à réduire l’incertitude du temps et des comportements des gouvernés. Selon la logique « folle » du néolibéralisme – qui prétend substituer le crédit aux salaires et aux droits sociaux, avec les effets désastreux que la crise des subprimes a illustrés de façon dramatique –, nous devenons toujours davantage les débiteurs de l’État, des assurances privées et, plus généralement, des entreprises, et nous sommes incités et contraints, pour honorer nos engagements, à devenir les « entrepreneurs » de nos vies, de notre « capital humain » ; c’est ainsi tout notre horizon matériel, mental et affectif qui se trouve reconfiguré et bouleversé. Comment sortir de cette situation impossible ? Comment échapper à la condition néolibérale de l’homme endetté ? Si l’on suit Maurizio Lazzarato dans ses analyses, selon lesquelles la dette est avant tout un instrument de contrôle politique et l’expression de rapports de pouvoir, force est de reconnaître qu’il n’y pas d’issues simplement techniques, économiques ou financières. Il nous faut remettre en question radicalement le rapport social fondamental qui structure le capitalisme : le système de la dette. En ligne : http://www.editionsamsterdam.fr/la-fabrique-de-lhomme-endette/ La fabrique de l’homme endetté : Essai sur la condition néolibérale [texte imprimé] / Maurizio Lazzarato, Auteur . - Paris (13-15 rue Henri-Regnault, 7014, France) : Éditions Amsterdam, 2011 . - 128 p.
ISBN : 978-2-35480-096-3 : 10 euros
Langues : Français
Catégories : Dette ; Economie ; Essai ; Philosophie Mots-clés : Dette, néolibéralisme, capitalisme, essai, philosophie Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Résumé : La dette, tant privée que publique, semble aujourd’hui une préoccupation majeure des « responsables » économiques et politiques. Dans La Fabrique de l’homme endetté, Maurizio Lazzarato montre cependant que, loin d’être une menace pour l’économie capitaliste, elle se situe au cœur même du projet néolibéral. À travers la lecture d’un texte méconnu de Marx, mais aussi à travers la relecture d’écrits de Nietzsche, Deleuze, Guattari ou encore Foucault, l’auteur démontre que la dette, loin de n’être qu’une réalité économique, est avant tout une construction politique, et que la relation créancier/débiteur est le rapport social fondamental de nos sociétés. La dette n’est pas d’abord un dispositif économique, mais une technique sécuritaire de gouvernement et de contrôle des subjectivités individuelles et collectives, visant à réduire l’incertitude du temps et des comportements des gouvernés. Selon la logique « folle » du néolibéralisme – qui prétend substituer le crédit aux salaires et aux droits sociaux, avec les effets désastreux que la crise des subprimes a illustrés de façon dramatique –, nous devenons toujours davantage les débiteurs de l’État, des assurances privées et, plus généralement, des entreprises, et nous sommes incités et contraints, pour honorer nos engagements, à devenir les « entrepreneurs » de nos vies, de notre « capital humain » ; c’est ainsi tout notre horizon matériel, mental et affectif qui se trouve reconfiguré et bouleversé. Comment sortir de cette situation impossible ? Comment échapper à la condition néolibérale de l’homme endetté ? Si l’on suit Maurizio Lazzarato dans ses analyses, selon lesquelles la dette est avant tout un instrument de contrôle politique et l’expression de rapports de pouvoir, force est de reconnaître qu’il n’y pas d’issues simplement techniques, économiques ou financières. Il nous faut remettre en question radicalement le rapport social fondamental qui structure le capitalisme : le système de la dette. En ligne : http://www.editionsamsterdam.fr/la-fabrique-de-lhomme-endette/ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01221a E.LAZ.F. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Le capitalisme contre le droit à la ville : Néolibéralisme, urbanisation, résistances Type de document : texte imprimé Auteurs : David Harvey, Auteur ; Cyril Le Roy, Traducteur ; Nicolas Vieillescazes, Traducteur Editeur : Paris [France] : Éditions Amsterdam Année de publication : 2011 Importance : 96p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-095-6 Prix : 10€ Langues : Français Catégories : Sociologie Mots-clés : 'droit','ville','urbanisation','collectif', Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Que peut bien vouloir dire « droit à la ville » ? Cette interrogation est indissociable d’une multitude d’autres questions. Quelle ville voulons-nous ? Quel genre de personnes voulons-nous être ? À quelles relations sociales aspirons-nous ? Quelle vie quotidienne trouvons-nous désirable ? Quelles valeurs esthétiques défendons-nous ? Quel rapport à la nature souhaitons-nous promouvoir ? Quelles technologies jugeons-nous appropriées ? Le droit à la ville ne se réduit ainsi pas à un droit d’accès individuel aux ressources incarnées par la ville : c’est un droit à nous changer nous-mêmes en changeant la ville de façon à la rendre plus conforme à nos désirs les plus fondamentaux. C’est aussi un droit plus collectif qu’individuel, puisque, pour changer la ville, il faut nécessairement exercer un pouvoir collectif sur les processus d’urbanisation. Il importe dans cette perspective de décrire et d’analyser la manière dont, au cours de l’histoire, nous avons été façonnés et refaçonnés par un processus d’urbanisation toujours plus effréné et étendu, animé par de puissantes forces sociales et ponctué de violentes phases de restructurations urbaines par « destruction créative », ainsi que par les résistances et les révoltes que ces restructurations suscitaient. On saisira alors toute l’actualité de la thèse d’Henri Lefebvre : le processus urbain étant essentiel à la survie du capitalisme, le droit à la ville, autrement dit le contrôle collectif de l’emploi des surplus dans les processus d’urbanisation, doit devenir l’un des principaux points de focalisation des luttes politiques et de la lutte des classes. (Cet essai est une version développée et enrichie d’un article publié dans La Revue Internationale des Livres et des Idées n° 9, janvier-février 2009.)
En ligne : http://www.editionsamsterdam.fr/le-capitalisme-contre-le-droit-a-la-ville/ Le capitalisme contre le droit à la ville : Néolibéralisme, urbanisation, résistances [texte imprimé] / David Harvey, Auteur ; Cyril Le Roy, Traducteur ; Nicolas Vieillescazes, Traducteur . - Paris (13-15 rue Henri-Regnault, 7014, France) : Éditions Amsterdam, 2011 . - 96p.
ISBN : 978-2-35480-095-6 : 10€
Langues : Français
Catégories : Sociologie Mots-clés : 'droit','ville','urbanisation','collectif', Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Que peut bien vouloir dire « droit à la ville » ? Cette interrogation est indissociable d’une multitude d’autres questions. Quelle ville voulons-nous ? Quel genre de personnes voulons-nous être ? À quelles relations sociales aspirons-nous ? Quelle vie quotidienne trouvons-nous désirable ? Quelles valeurs esthétiques défendons-nous ? Quel rapport à la nature souhaitons-nous promouvoir ? Quelles technologies jugeons-nous appropriées ? Le droit à la ville ne se réduit ainsi pas à un droit d’accès individuel aux ressources incarnées par la ville : c’est un droit à nous changer nous-mêmes en changeant la ville de façon à la rendre plus conforme à nos désirs les plus fondamentaux. C’est aussi un droit plus collectif qu’individuel, puisque, pour changer la ville, il faut nécessairement exercer un pouvoir collectif sur les processus d’urbanisation. Il importe dans cette perspective de décrire et d’analyser la manière dont, au cours de l’histoire, nous avons été façonnés et refaçonnés par un processus d’urbanisation toujours plus effréné et étendu, animé par de puissantes forces sociales et ponctué de violentes phases de restructurations urbaines par « destruction créative », ainsi que par les résistances et les révoltes que ces restructurations suscitaient. On saisira alors toute l’actualité de la thèse d’Henri Lefebvre : le processus urbain étant essentiel à la survie du capitalisme, le droit à la ville, autrement dit le contrôle collectif de l’emploi des surplus dans les processus d’urbanisation, doit devenir l’un des principaux points de focalisation des luttes politiques et de la lutte des classes. (Cet essai est une version développée et enrichie d’un article publié dans La Revue Internationale des Livres et des Idées n° 9, janvier-février 2009.)
En ligne : http://www.editionsamsterdam.fr/le-capitalisme-contre-le-droit-a-la-ville/ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01280a E.HAR.C. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : La colonisation du quotidien : Dans les laboratoires du capitalisme de plateforme Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Cingolani, Auteur Editeur : Paris [France] : Éditions Amsterdam Année de publication : 2021 Importance : 220 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-227-1 Prix : 18 € Langues : Français Catégories : Economie Mots-clés : 'mutations' 'plate forme' 'externalisation' 'auto entreprenariat' 'production' 'travail' 'rapport marchand' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Note de contenu : Le capitalisme ne fait plus : il fait faire. Initié dans la seconde moitié du xxe siècle, un vaste mouvement d’externalisation de la main-d’œuvre s’est emparé de pans entiers de l’économie mondiale, bouleversant les processus de production et les conditions de travail. À la généralisation de la sous-traitance a succédé celle de l’auto-entreprenariat, nouveau masque de la subordination. Assimilé à un jeu, le travail lui-même se trouve désormais occulté, dénié, tandis que le rapport marchand colonise une à une les sphères de la vie sociale et de l’intimité. Nourri par les récentes mutations technologiques, ce mouvement se cristallise particulièrement dans l’essor de l’économie de la plateforme, dont les principaux acteurs, d’Amazon à Deliveroo en passant par Uber, nous sont devenus familiers en une décennie à peine.
Patrick Cingolani nous invite à une plongée vertigineuse dans ces nouveaux laboratoires de la production, où la plus grande précarité côtoie le travail gratuit, où les aspirations à l’autonomie sont détournées au profit d’une minorité et où la surveillance se massifie de manière inédite. Il montre que la logique du compte ne saurait être vaincue sur son propre terrain, et nous invite à renouer avec un imaginaire utopique.
En ligne : http://www.editionsamsterdam.fr/la-colonisation-du-quotidien/ La colonisation du quotidien : Dans les laboratoires du capitalisme de plateforme [texte imprimé] / Patrick Cingolani, Auteur . - Paris (13-15 rue Henri-Regnault, 7014, France) : Éditions Amsterdam, 2021 . - 220 p.
ISBN : 978-2-35480-227-1 : 18 €
Langues : Français
Catégories : Economie Mots-clés : 'mutations' 'plate forme' 'externalisation' 'auto entreprenariat' 'production' 'travail' 'rapport marchand' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Note de contenu : Le capitalisme ne fait plus : il fait faire. Initié dans la seconde moitié du xxe siècle, un vaste mouvement d’externalisation de la main-d’œuvre s’est emparé de pans entiers de l’économie mondiale, bouleversant les processus de production et les conditions de travail. À la généralisation de la sous-traitance a succédé celle de l’auto-entreprenariat, nouveau masque de la subordination. Assimilé à un jeu, le travail lui-même se trouve désormais occulté, dénié, tandis que le rapport marchand colonise une à une les sphères de la vie sociale et de l’intimité. Nourri par les récentes mutations technologiques, ce mouvement se cristallise particulièrement dans l’essor de l’économie de la plateforme, dont les principaux acteurs, d’Amazon à Deliveroo en passant par Uber, nous sont devenus familiers en une décennie à peine.
Patrick Cingolani nous invite à une plongée vertigineuse dans ces nouveaux laboratoires de la production, où la plus grande précarité côtoie le travail gratuit, où les aspirations à l’autonomie sont détournées au profit d’une minorité et où la surveillance se massifie de manière inédite. Il montre que la logique du compte ne saurait être vaincue sur son propre terrain, et nous invite à renouer avec un imaginaire utopique.
En ligne : http://www.editionsamsterdam.fr/la-colonisation-du-quotidien/ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01305a E.03.CIN.C. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Gentrifications Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Chabrol, Auteur ; Anaïs Collet, Auteur ; Jean Pierre Lévy, Préfacier, etc. Editeur : Paris [France] : Éditions Amsterdam Année de publication : 2016 Importance : 306 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-145-8 Prix : 23 € Langues : Français Catégories : Sociologie Mots-clés : 'gentrification' 'gentrifieur' 'espace urbain' 'transformation' 'diversité' 'lieux' 'population différente' Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Hipsters, bobos, yuppies, gentrifieurs… Les termes ne manquent pas pour qualifier les nouvelles populations qui s’approprient les quartiers centraux anciens de certaines métropoles au détriment des habitants populaires. Mais cette profusion empêche de comprendre le phénomène : comment dépasser les oppositions binaires entre gentrifieurs et gentrifiés ? Quels sont les moteurs, les logiques et les enjeux de la gentrification ? Est-elle vraiment inéluctable ? Ancrée dans des contextes précis – historiques et géographiques, économiques et politiques –, elle s’incarne dans des bâtiments, des commerces, des groupes sociaux, des pratiques et des esthétiques propres aux lieux dans lesquels elle se déroule. Pour cette raison, elle est irréductible à une mécanique simple et identique d’une ville à l’autre, d’un quartier à l’autre. À travers l’exploration de la diversité des formes, des lieux et des acteurs de la gentrification dans une dizaine de villes européennes (parmi lesquelles Paris, Montreuil, Lyon, Grenoble, Roubaix, Barcelone, Lisbonne, Sheffield) cet ouvrage se propose donc de définir l’« ADN » de la gentrification : un rapport social d’appropriation de l’espace urbain, mettant aux prises des acteurs et des groupes inégalement dotés.
En ligne : http://www.editionsamsterdam.fr/gentrifications/ Gentrifications [texte imprimé] / Marie Chabrol, Auteur ; Anaïs Collet, Auteur ; Jean Pierre Lévy, Préfacier, etc. . - Paris (13-15 rue Henri-Regnault, 7014, France) : Éditions Amsterdam, 2016 . - 306 p.
ISBN : 978-2-35480-145-8 : 23 €
Langues : Français
Catégories : Sociologie Mots-clés : 'gentrification' 'gentrifieur' 'espace urbain' 'transformation' 'diversité' 'lieux' 'population différente' Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Hipsters, bobos, yuppies, gentrifieurs… Les termes ne manquent pas pour qualifier les nouvelles populations qui s’approprient les quartiers centraux anciens de certaines métropoles au détriment des habitants populaires. Mais cette profusion empêche de comprendre le phénomène : comment dépasser les oppositions binaires entre gentrifieurs et gentrifiés ? Quels sont les moteurs, les logiques et les enjeux de la gentrification ? Est-elle vraiment inéluctable ? Ancrée dans des contextes précis – historiques et géographiques, économiques et politiques –, elle s’incarne dans des bâtiments, des commerces, des groupes sociaux, des pratiques et des esthétiques propres aux lieux dans lesquels elle se déroule. Pour cette raison, elle est irréductible à une mécanique simple et identique d’une ville à l’autre, d’un quartier à l’autre. À travers l’exploration de la diversité des formes, des lieux et des acteurs de la gentrification dans une dizaine de villes européennes (parmi lesquelles Paris, Montreuil, Lyon, Grenoble, Roubaix, Barcelone, Lisbonne, Sheffield) cet ouvrage se propose donc de définir l’« ADN » de la gentrification : un rapport social d’appropriation de l’espace urbain, mettant aux prises des acteurs et des groupes inégalement dotés.
En ligne : http://www.editionsamsterdam.fr/gentrifications/ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01315a E.CHA.G. Livre Centre de doc Documentaires Disponible PermalinkPermalink