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Une partie des ressources dite « vive » est directement accessible dans le centre de documentation, une autre partie est archivée.
Ce fonds documentaire multilingue regroupe des ouvrages scientifiques, des essais, des guides pratiques, des thèses, des revues, des dossiers, des publications sur supports numériques, ….
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Titre : Le commun comme mode de production Type de document : texte imprimé Auteurs : Alfonso Giuliani, Auteur ; Carlo Vercellone, Auteur ; Francesco Brancaccio, Auteur Editeur : Paris [Belgique] : Editions de l'éclat Année de publication : 2021 Collection : "premier secours" Importance : 360 p. Présentation : ill.,bibliogr.,tabl. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84162-479-9 Prix : € 22,- Langues : Français Catégories : communs ; Droit d'auteur ; Economie Mots-clés : 'transformation sociale' 'plateformes' 'mode de production' 'économie' 'Pensée critique' 'philosophie' ' politique' Index. décimale : F.00 Généralités - Théories économiques Note de contenu : Jusqu’à une époque récente, public et privé apparaissaient comme les deux pôles exclusifs de l’organisation économique et sociale et des formes de propriété. Tout se résumait à l’ancienne question de l’arbitrage entre « plus de marché » ou « plus d’État ». Puis le commun et les biens communs ont fait à nouveau irruption dans l’espace public et ont remis en cause une donne qui semblait immuable. Pourtant la problématique du commun s’est développée à travers une pluralité d’approches théoriques et d’interprétations très différentes du rôle qu’il pourrait jouer dans un processus de transformation sociale. Dans cette perspective, cet ouvrage propose une thèse novatrice. Le commun n’est pas un simple tiers intrus entre public et privé, ni un pur principe politique. Il doit être pensé comme un véritable « mode de production » susceptible de constituer une alternative à l’hégémonie de la logique de l’État comme à celle de l’économie capitaliste de marché. En mobilisant l’économie politique, le droit, l’histoire, la sociologie, la philosophie, les sciences de l’information et de la communication, les auteurs montrent que le commun contient ces potentialités, sans manquer d’analyser les faiblesses et les contradictions auxquelles se heurte son développement, jusque dans la nouvelle économie du net où, face au pouvoir des plateformes, s’amorce la possibilité d’un renversement de perspective. En ligne : https://www.lyber-eclat.net/livres/le-commun-comme-mode-de-production/ Le commun comme mode de production [texte imprimé] / Alfonso Giuliani, Auteur ; Carlo Vercellone, Auteur ; Francesco Brancaccio, Auteur . - Paris (4, avenue Hoche, 75008, Belgique) : Editions de l'éclat, 2021 . - 360 p. : ill.,bibliogr.,tabl.. - ("premier secours") .
ISBN : 978-2-84162-479-9 : € 22,-
Langues : Français
Catégories : communs ; Droit d'auteur ; Economie Mots-clés : 'transformation sociale' 'plateformes' 'mode de production' 'économie' 'Pensée critique' 'philosophie' ' politique' Index. décimale : F.00 Généralités - Théories économiques Note de contenu : Jusqu’à une époque récente, public et privé apparaissaient comme les deux pôles exclusifs de l’organisation économique et sociale et des formes de propriété. Tout se résumait à l’ancienne question de l’arbitrage entre « plus de marché » ou « plus d’État ». Puis le commun et les biens communs ont fait à nouveau irruption dans l’espace public et ont remis en cause une donne qui semblait immuable. Pourtant la problématique du commun s’est développée à travers une pluralité d’approches théoriques et d’interprétations très différentes du rôle qu’il pourrait jouer dans un processus de transformation sociale. Dans cette perspective, cet ouvrage propose une thèse novatrice. Le commun n’est pas un simple tiers intrus entre public et privé, ni un pur principe politique. Il doit être pensé comme un véritable « mode de production » susceptible de constituer une alternative à l’hégémonie de la logique de l’État comme à celle de l’économie capitaliste de marché. En mobilisant l’économie politique, le droit, l’histoire, la sociologie, la philosophie, les sciences de l’information et de la communication, les auteurs montrent que le commun contient ces potentialités, sans manquer d’analyser les faiblesses et les contradictions auxquelles se heurte son développement, jusque dans la nouvelle économie du net où, face au pouvoir des plateformes, s’amorce la possibilité d’un renversement de perspective. En ligne : https://www.lyber-eclat.net/livres/le-commun-comme-mode-de-production/ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1892a F.00.GIU.C. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Documents numériques
Le commun comme mode de productionURL
Titre : Au-delà de la proporiété : Pour une économie des communs Type de document : texte imprimé Auteurs : Benoît Borrits, Auteur ; Pierre Dardot, Préfacier, etc. Editeur : Paris [France] : Editions La Découverte Année de publication : 2018 Collection : L 'horizon des possibles Importance : 247 p. Présentation : ann. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-9881-5 Prix : 21,70 € Langues : Français Catégories : communs ; économie collaborative Mots-clés : 'Collectivisme' 'Propriété' 'Mouvement coopératif' 'droit social","système financier" Index. décimale : F.05 Transition et développement durable Note de contenu : À partir d’une enquête sur le mouvement coopératif, les diverses approches de la propriété collective au XIXe siècle, l’étatisation soviétique, la socialisation espagnole de 1936 et la tentative de correction autogestionnaire des communistes yougoslaves, ce livre propose de penser un au-delà à la propriété productive, qu’elle soit privée/capitaliste ou collective. Il montre que, jusqu’ici, deux grandes formes de propriété collective ont été expérimentées : la coopérative et l’étatisation des moyens de production. Dans la première, le capital, même second, tend à reprendre le dessus en cas de succès de l’entreprise. Dans la seconde, elle induit une concentration du pouvoir excluant ceux au nom de qui elle a été réalisée. Ces échecs sont inhérents à la notion même de propriété : excluante et centralisatrice par nature. Même collective, une propriété reste un instrument d’oppression.
Le XXe siècle a été porteur d’innovations qui permettent d’envisager la disparition de la notion de propriété productive : les cotisations sociales, car elles contestent le régime de la propriété par l’imposition de règles de distribution des revenus, et le financement des actifs des entreprises par endettement, car il ouvre la voie à la disparition des fonds propres. Le prolongement de ces innovations permet de relativiser la notion même de propriété et d’envisager que travailleurs et usagers d’une unité de production puissent avoir sur elle un droit de codirection. L’unité productive devient ainsi un commun à côté d’autres communs assurant des tâches de financement des actifs, de mutualisation des investissements, de redistribution et de péréquation des revenus. C’est l’articulation de ces différents communs qui permet d’envisager la disparition totale de la propriété productive.En ligne : https://editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Au_del___de_la_propri__t__-97827 [...] Au-delà de la proporiété : Pour une économie des communs [texte imprimé] / Benoît Borrits, Auteur ; Pierre Dardot, Préfacier, etc. . - Paris (France) : Editions La Découverte, 2018 . - 247 p. : ann.. - (L 'horizon des possibles) .
ISBN : 978-2-7071-9881-5 : 21,70 €
Langues : Français
Catégories : communs ; économie collaborative Mots-clés : 'Collectivisme' 'Propriété' 'Mouvement coopératif' 'droit social","système financier" Index. décimale : F.05 Transition et développement durable Note de contenu : À partir d’une enquête sur le mouvement coopératif, les diverses approches de la propriété collective au XIXe siècle, l’étatisation soviétique, la socialisation espagnole de 1936 et la tentative de correction autogestionnaire des communistes yougoslaves, ce livre propose de penser un au-delà à la propriété productive, qu’elle soit privée/capitaliste ou collective. Il montre que, jusqu’ici, deux grandes formes de propriété collective ont été expérimentées : la coopérative et l’étatisation des moyens de production. Dans la première, le capital, même second, tend à reprendre le dessus en cas de succès de l’entreprise. Dans la seconde, elle induit une concentration du pouvoir excluant ceux au nom de qui elle a été réalisée. Ces échecs sont inhérents à la notion même de propriété : excluante et centralisatrice par nature. Même collective, une propriété reste un instrument d’oppression.
Le XXe siècle a été porteur d’innovations qui permettent d’envisager la disparition de la notion de propriété productive : les cotisations sociales, car elles contestent le régime de la propriété par l’imposition de règles de distribution des revenus, et le financement des actifs des entreprises par endettement, car il ouvre la voie à la disparition des fonds propres. Le prolongement de ces innovations permet de relativiser la notion même de propriété et d’envisager que travailleurs et usagers d’une unité de production puissent avoir sur elle un droit de codirection. L’unité productive devient ainsi un commun à côté d’autres communs assurant des tâches de financement des actifs, de mutualisation des investissements, de redistribution et de péréquation des revenus. C’est l’articulation de ces différents communs qui permet d’envisager la disparition totale de la propriété productive.En ligne : https://editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Au_del___de_la_propri__t__-97827 [...] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1752a F.05. BOR.A. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Le fait associatif dans l’Occident médiéval : De l’émergence des communs à la suprématie des marchés Type de document : texte imprimé Auteurs : Draperi Jean-François, Auteur ; Catherine Vincent, Préfacier, etc. Editeur : Paris [France] : Le bord de l'eau Année de publication : 2021 Collection : L’histoire des brèches Importance : 400 p. Présentation : ill.,bibliogr.,tabl.,annex. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35687-820-5 Prix : € 26,- Langues : Français Catégories : Association ; communs ; coopérative ; économie collaborative Mots-clés : 'économie sociale et solidaire' 'le Moyen Âge' 'l'Occident' 'l'histoire' 'métier' 'ghildes' 'capitalisme' 'marché' Index. décimale : F.03.2 Le mouvement coopératif Note de contenu : Les associations dominent l’économie du Moyen Âge central : monastères, paroisses, ghildes, confréries, communes, fondent la renaissance du XIIe siècle. Acter le fait associatif médiéval invite à poser l’hypothèse selon laquelle les associations et l’économie sociale ne sont pas une invention de la société contemporaine, mais plutôt une découverte. L’économie sociale n’est pas née en réaction au capitalisme, mais l’économie capitaliste est née de la transformation des associations de métiers et la prise de pouvoir des marchands et des banquiers sur les communs et les communes aux XIIIe et XIVe siècles. L’origine partagée des associations et des communs, permet de renouer les liens oubliés des solidarités contemporaines avec les solidarités traditionnelles.
Enraciner le fait associatif dans une histoire millénaire invite enfin à penser l’« associatisme », défini comme le mouvement associatif de longue durée. Les formes de l’associatisme évoluent au cours de l’histoire. Au Moyen Âge il prend la forme de l’association communautaire ; pendant la période contemporaine il prend celle de l’association coopérative.
L’associatisme médiéval questionne l’économie sociale contemporaine et son rapport avec l’économie dominante. Alors que le fait associatif médiéval était en harmonie avec les valeurs fondamentales de la société médiévale, l’économie sociale et coopérative est en opposition avec la concurrence généralisée qui anime l’économie dominante contemporaine. Ceci explique d’une part que l’associatisme médiéval ait intégré de nombreuses régulations macro-économiques et d’autre part que l’économie sociale coopérative se soit rétractée sur la forme entrepreneuriale.En ligne : https://www.editionsbdl.com/produit/le-fait-associatif-dans-loccident-medieval/ Le fait associatif dans l’Occident médiéval : De l’émergence des communs à la suprématie des marchés [texte imprimé] / Draperi Jean-François, Auteur ; Catherine Vincent, Préfacier, etc. . - Paris (France) : Le bord de l'eau, 2021 . - 400 p. : ill.,bibliogr.,tabl.,annex.. - (L’histoire des brèches) .
ISBN : 978-2-35687-820-5 : € 26,-
Langues : Français
Catégories : Association ; communs ; coopérative ; économie collaborative Mots-clés : 'économie sociale et solidaire' 'le Moyen Âge' 'l'Occident' 'l'histoire' 'métier' 'ghildes' 'capitalisme' 'marché' Index. décimale : F.03.2 Le mouvement coopératif Note de contenu : Les associations dominent l’économie du Moyen Âge central : monastères, paroisses, ghildes, confréries, communes, fondent la renaissance du XIIe siècle. Acter le fait associatif médiéval invite à poser l’hypothèse selon laquelle les associations et l’économie sociale ne sont pas une invention de la société contemporaine, mais plutôt une découverte. L’économie sociale n’est pas née en réaction au capitalisme, mais l’économie capitaliste est née de la transformation des associations de métiers et la prise de pouvoir des marchands et des banquiers sur les communs et les communes aux XIIIe et XIVe siècles. L’origine partagée des associations et des communs, permet de renouer les liens oubliés des solidarités contemporaines avec les solidarités traditionnelles.
Enraciner le fait associatif dans une histoire millénaire invite enfin à penser l’« associatisme », défini comme le mouvement associatif de longue durée. Les formes de l’associatisme évoluent au cours de l’histoire. Au Moyen Âge il prend la forme de l’association communautaire ; pendant la période contemporaine il prend celle de l’association coopérative.
L’associatisme médiéval questionne l’économie sociale contemporaine et son rapport avec l’économie dominante. Alors que le fait associatif médiéval était en harmonie avec les valeurs fondamentales de la société médiévale, l’économie sociale et coopérative est en opposition avec la concurrence généralisée qui anime l’économie dominante contemporaine. Ceci explique d’une part que l’associatisme médiéval ait intégré de nombreuses régulations macro-économiques et d’autre part que l’économie sociale coopérative se soit rétractée sur la forme entrepreneuriale.En ligne : https://www.editionsbdl.com/produit/le-fait-associatif-dans-loccident-medieval/ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1893a F.03.2.DRA.F. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Propriété et communs : Idées reçues et propositions Type de document : texte imprimé Auteurs : Mouvement Utopia, Auteur ; Benjamin Coriat, Préfacier, etc. Editeur : Paris [France] : les Éditions Utopia Année de publication : 2017 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-919160-25-9 Note générale : Entre le privé et le public, nous assistons un peu partout dans le monde à une renaissance des communs. En réalité ils n’ont jamais disparu et on estime que près de deux milliards de personnes appliquent le principe de communs pour des biens et services de leur vie quotidienne. Le concept de commun, qui demande la coexistence d’une ressource définie, d’une communauté déterminée et d’un mode de gouvernance collectif, renvoie à la prise de conscience des limites d’une régulation par le marché ou par le public.
Cette renaissance des communs a été dynamisée par l’apparition des communs informationnels (logiciels libres, Wikipédia, licences Creative Commons...) luttant contre les abus de la propriété intellectuelle, mais aussi grâce à la prise de conscience des dangers de la privatisation du monde et du vivant par les transnationales ou les plus riches, générant conflits, inégalités et destructions écologiques. Elle a aussi été dynamisée par les échecs du tout étatique, à la gestion souvent lourde et bureaucratique.
À travers dix idées reçues, ce livre interroge les communs et repose la question taboue de la propriété et de l’héritage, donc des rapports de pouvoir. Car toute extension du domaine des communs entraîne la remise en cause des pouvoirs donnés aux propriétaires, qu’ils soient privés ou publics.Langues : Français Catégories : communs Mots-clés : 'communs','propriété','héritage' Index. décimale : F.05.1. Mouvements et initiatives citoyennes En ligne : http://www.editions-utopia.org/portfolio-view/propriete-et-communs-idees-recues- [...] Propriété et communs : Idées reçues et propositions [texte imprimé] / Mouvement Utopia, Auteur ; Benjamin Coriat, Préfacier, etc. . - Paris (75020, France) : les Éditions Utopia, 2017.
ISBN : 978-2-919160-25-9
Entre le privé et le public, nous assistons un peu partout dans le monde à une renaissance des communs. En réalité ils n’ont jamais disparu et on estime que près de deux milliards de personnes appliquent le principe de communs pour des biens et services de leur vie quotidienne. Le concept de commun, qui demande la coexistence d’une ressource définie, d’une communauté déterminée et d’un mode de gouvernance collectif, renvoie à la prise de conscience des limites d’une régulation par le marché ou par le public.
Cette renaissance des communs a été dynamisée par l’apparition des communs informationnels (logiciels libres, Wikipédia, licences Creative Commons...) luttant contre les abus de la propriété intellectuelle, mais aussi grâce à la prise de conscience des dangers de la privatisation du monde et du vivant par les transnationales ou les plus riches, générant conflits, inégalités et destructions écologiques. Elle a aussi été dynamisée par les échecs du tout étatique, à la gestion souvent lourde et bureaucratique.
À travers dix idées reçues, ce livre interroge les communs et repose la question taboue de la propriété et de l’héritage, donc des rapports de pouvoir. Car toute extension du domaine des communs entraîne la remise en cause des pouvoirs donnés aux propriétaires, qu’ils soient privés ou publics.
Langues : Français
Catégories : communs Mots-clés : 'communs','propriété','héritage' Index. décimale : F.05.1. Mouvements et initiatives citoyennes En ligne : http://www.editions-utopia.org/portfolio-view/propriete-et-communs-idees-recues- [...] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2117a F.05.1.MOU.P. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Réenchanter le monde : Le féminisme et politique des communs Type de document : texte imprimé Auteurs : Silvia Federici, Auteur Editeur : Genève [Suisse] : Éditions Entremonde Année de publication : 2022 Collection : Rupture Importance : 304 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-940426-63-8 Prix : € 20,- Note générale : Une articulation novatrice de l’actuelle offensive capitaliste contre la paysannerie mondiale et contre les femmes. Langues : Français Catégories : Analyse ; Capitalisme ; communs ; Féminisme Mots-clés : 'reproÂducÂtion sociale' 'Capitalisme' 'Féminisme' 'communs' 'écologie' 'enclosure' Index. décimale : F.05 Transition et développement durable Note de contenu : Silvia Federici présente une histoire critique de la politique des communs dans une perspective féministe.
De son vécu au Nigeria et de ses rencontres avec des militantes d’Amérique latine et du monde entier, Federici révèle les luttes quotidiennes des femmes contre la spoliation de leur terre, de leur logement et nourriture. De ses recherches historiques, elle compare les enclosures, qui ont permis la naissance du capitalisme par la destruction des communs et la prolétarisation des populations rurales, aux « nouvelles enclosures » au cœur de la phase actuelle d’accumulation capitaliste mondiale. Cet ouvrage soutient que les luttes autour de la reproduction sociale sont cruciales à la fois pour notre survie économique que pour la construction d’un monde libéré des hiérarchies et des divisions que le capital a implantées dans le corps du prolétariat international.
Federici considère que les communs ne doivent pas être compris comme des îlots de partage dans un océan de relations d’exploitation, mais plutôt comme des espaces autonomes à partir desquels défier l’organisation capitaliste de la vie et du travail.En ligne : https://entremonde.net/reenchanter-le-monde Réenchanter le monde : Le féminisme et politique des communs [texte imprimé] / Silvia Federici, Auteur . - Genève (Suisse) : Éditions Entremonde, 2022 . - 304 p.. - (Rupture) .
ISBN : 978-2-940426-63-8 : € 20,-
Une articulation novatrice de l’actuelle offensive capitaliste contre la paysannerie mondiale et contre les femmes.
Langues : Français
Catégories : Analyse ; Capitalisme ; communs ; Féminisme Mots-clés : 'reproÂducÂtion sociale' 'Capitalisme' 'Féminisme' 'communs' 'écologie' 'enclosure' Index. décimale : F.05 Transition et développement durable Note de contenu : Silvia Federici présente une histoire critique de la politique des communs dans une perspective féministe.
De son vécu au Nigeria et de ses rencontres avec des militantes d’Amérique latine et du monde entier, Federici révèle les luttes quotidiennes des femmes contre la spoliation de leur terre, de leur logement et nourriture. De ses recherches historiques, elle compare les enclosures, qui ont permis la naissance du capitalisme par la destruction des communs et la prolétarisation des populations rurales, aux « nouvelles enclosures » au cœur de la phase actuelle d’accumulation capitaliste mondiale. Cet ouvrage soutient que les luttes autour de la reproduction sociale sont cruciales à la fois pour notre survie économique que pour la construction d’un monde libéré des hiérarchies et des divisions que le capital a implantées dans le corps du prolétariat international.
Federici considère que les communs ne doivent pas être compris comme des îlots de partage dans un océan de relations d’exploitation, mais plutôt comme des espaces autonomes à partir desquels défier l’organisation capitaliste de la vie et du travail.En ligne : https://entremonde.net/reenchanter-le-monde Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1984a F.05.FED.R. Livre Centre de doc Documentaires Disponible PermalinkPermalinkPermalinkPermalink