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Auteur Frédéric Lordon |
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Imperium / Frédéric Lordon
Titre : Imperium : Structures et affects des corps politiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Lordon, Auteur Editeur : Paris [France] : La Fabrique éditions Importance : 368 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35872-070-0 Prix : 15 € Langues : Français Index. décimale : A.01. Ouvrages généraux de référence Note de contenu : Que faire des idéaux que sont l’internationalisme, le dépérissement de l’Etat et l’horizontalité radicale ? Les penser. Non pas sur le mode de la psalmodie mais selon leurs conditions de possibilité. Ou d’impossibilité ? C’est plutôt la thèse que ce livre défend, mais sous une modalité décisive : voir l’impossible sans désarmer de désirer l’impossible. C’est-à-dire, non pas renoncer, comme le commande le conservatisme empressé, mais faire obstinément du chemin. En sachant qu’on n’en verra pas le bout. Les hommes s’assemblent sous l’effet de forces passionnelles collectives dont Spinoza donne le principe le plus général : l’imperium – « ce droit que définit la puissance de la multitude ». Cet ouvrage entreprend de déplier méthodiquement le sens et les conséquences de cet énoncé. Pour établir que la servitude passionnelle, qui est notre condition, nous voue à la fragmentation du monde en ensembles finis distincts, à la verticalité d’où ils tirent le principe de leur consistance, et à la capture du pouvoir. Il ne s’en suit nullement que l’émancipation ait à s’effacer de notre paysage mental – au contraire ! Mais elle doit y retrouver son juste statut : celui d’une idée régulatrice, dont l’horizon est le communisme de la raison. Imperium : Structures et affects des corps politiques [texte imprimé] / Frédéric Lordon, Auteur . - Paris (Rue Rébeval 64, 75019, France) : La Fabrique éditions, [s.d.] . - 368.
ISBN : 978-2-35872-070-0 : 15 €
Langues : Français
Index. décimale : A.01. Ouvrages généraux de référence Note de contenu : Que faire des idéaux que sont l’internationalisme, le dépérissement de l’Etat et l’horizontalité radicale ? Les penser. Non pas sur le mode de la psalmodie mais selon leurs conditions de possibilité. Ou d’impossibilité ? C’est plutôt la thèse que ce livre défend, mais sous une modalité décisive : voir l’impossible sans désarmer de désirer l’impossible. C’est-à-dire, non pas renoncer, comme le commande le conservatisme empressé, mais faire obstinément du chemin. En sachant qu’on n’en verra pas le bout. Les hommes s’assemblent sous l’effet de forces passionnelles collectives dont Spinoza donne le principe le plus général : l’imperium – « ce droit que définit la puissance de la multitude ». Cet ouvrage entreprend de déplier méthodiquement le sens et les conséquences de cet énoncé. Pour établir que la servitude passionnelle, qui est notre condition, nous voue à la fragmentation du monde en ensembles finis distincts, à la verticalité d’où ils tirent le principe de leur consistance, et à la capture du pouvoir. Il ne s’en suit nullement que l’émancipation ait à s’effacer de notre paysage mental – au contraire ! Mais elle doit y retrouver son juste statut : celui d’une idée régulatrice, dont l’horizon est le communisme de la raison. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01056a A.01.LOR.I. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : D'un retournement l'autre : Comédie sérieuse sur la crise financière. En quatre actes, et en alexandrins Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Lordon, Auteur Editeur : Paris [France] : Editions du Seuil Année de publication : 2011 Collection : Points Essais num. 718 Importance : 144 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7578-3561-6 Prix : 7,50€ Langues : Français Catégories : finance ; Théâtre Mots-clés : Théâtre dette crise financière banques Index. décimale : C.03.1. Théâtre Note de contenu : Le rideau s’ouvre : messieurs les banquiers, son Altesse le président de la République française, monsieur le Premier ministre, monsieur le gouverneur de la Banque centrale et le petit peuple des conseillers de la Cour. La pièce peut commencer : lessivés par la crise des désormais célèbres « subpraïmes » (sic), les banquiers s’apprêtent à sonner à la porte de l’État pour lui demander de mettre la main au porte-monnaie… avant que le résultat de leurs acrobaties ne fasse exploser les dettes publiques et ne conduise à la rigueur pour tous – sauf pour eux.
Mais ces « élites » aveuglées par leur domination et déjà disqualifiées par l’Histoire ne voient pas qu’un retournement peut en cacher un autre. Et celui des marchés annoncer celui du peuple.
Le texte de la pièce est suivi d’un post-scriptum : « Surréalisation de la crise ».En ligne : http://www.seuil.com/ouvrage/d-un-retournement-l-autre-frederic-lordon/978275783 [...] D'un retournement l'autre : Comédie sérieuse sur la crise financière. En quatre actes, et en alexandrins [texte imprimé] / Frédéric Lordon, Auteur . - Paris (27, rue Jacob, France) : Editions du Seuil, 2011 . - 144 p.. - (Points Essais; 718) .
ISBN : 978-2-7578-3561-6 : 7,50€
Langues : Français
Catégories : finance ; Théâtre Mots-clés : Théâtre dette crise financière banques Index. décimale : C.03.1. Théâtre Note de contenu : Le rideau s’ouvre : messieurs les banquiers, son Altesse le président de la République française, monsieur le Premier ministre, monsieur le gouverneur de la Banque centrale et le petit peuple des conseillers de la Cour. La pièce peut commencer : lessivés par la crise des désormais célèbres « subpraïmes » (sic), les banquiers s’apprêtent à sonner à la porte de l’État pour lui demander de mettre la main au porte-monnaie… avant que le résultat de leurs acrobaties ne fasse exploser les dettes publiques et ne conduise à la rigueur pour tous – sauf pour eux.
Mais ces « élites » aveuglées par leur domination et déjà disqualifiées par l’Histoire ne voient pas qu’un retournement peut en cacher un autre. Et celui des marchés annoncer celui du peuple.
Le texte de la pièce est suivi d’un post-scriptum : « Surréalisation de la crise ».En ligne : http://www.seuil.com/ouvrage/d-un-retournement-l-autre-frederic-lordon/978275783 [...] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01207a C.03.1.LOR.R. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Vive la banqueroute : Comment la France a réglé ses dettes de Phillippe Le Bel au général De Gaulle Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Morel, Auteur ; François Ruffin, Auteur ; Frédéric Lordon, Auteur d'une citation ou d'extraits Editeur : Amiens [France] : Fakir Éditions Année de publication : 2013 Importance : 134 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36921-000-9 Prix : 6 euros Langues : Français Catégories : Dette ; France ; Histoire Mots-clés : Dette, banqueroute, Histoire, France Index. décimale : B.03.6. Pauvreté Résumé : En dix brefs récits, cet ouvrage raconte comment nos grands hommes (Sully, Colbert, Talleyrand, Poincaré, etc.) furent plus radicaux dans leurs actes que ne le sont aujourd’hui ATTAC ou Jean-Luc Mélenchon dans leurs discours.
Suivi de « L’irréalisme, c’est eux ! », entretien avec l’économiste Frédéric Lordon.En ligne : https://www.fakirpresse.info/L-histoire-comme-arme,573 Vive la banqueroute : Comment la France a réglé ses dettes de Phillippe Le Bel au général De Gaulle [texte imprimé] / Thomas Morel, Auteur ; François Ruffin, Auteur ; Frédéric Lordon, Auteur d'une citation ou d'extraits . - Amiens (80000, France) : Fakir Éditions, 2013 . - 134 p.
ISBN : 978-2-36921-000-9 : 6 euros
Langues : Français
Catégories : Dette ; France ; Histoire Mots-clés : Dette, banqueroute, Histoire, France Index. décimale : B.03.6. Pauvreté Résumé : En dix brefs récits, cet ouvrage raconte comment nos grands hommes (Sully, Colbert, Talleyrand, Poincaré, etc.) furent plus radicaux dans leurs actes que ne le sont aujourd’hui ATTAC ou Jean-Luc Mélenchon dans leurs discours.
Suivi de « L’irréalisme, c’est eux ! », entretien avec l’économiste Frédéric Lordon.En ligne : https://www.fakirpresse.info/L-histoire-comme-arme,573 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01222a B.03.6.MOR.V. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Vivre sans? : Institutions, police, travail, argent...Conversation avec Félix Boggio Éwanjé-Épée Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Lordon, Auteur Editeur : Paris [France] : La Fabrique éditions Année de publication : 2019 Importance : 304 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35872-171-4 Prix : 14,00 € Langues : Français Catégories : Philosophie politique ; sociologie politique Mots-clés : 'l'institution','l'antipolitique','Spinoza','Agamben','ZAD' Index. décimale : F.05 Transition et développement durable Résumé : Peut-on se passer de gouvernement, de justice, de lois et de tout ce qui veille à les appliquer? Peut-on déserter l’économie, le travail, abolir la monnaie?? Peut-on se rendre, en somme, «ingouvernables», et vivre sans institutions qui ordonnent le collectif? Alors que l’échec différé des expériences révolutionnaires et des tentatives réformistes laisse une grande partie de la gauche paralysée, que nos vies semblent plus que jamais saturées d’État et de capital, l’idée a le mérite de prendre la mesure de l’époque. Et son succès grandissant dans les cortèges de la jeunesse indique assez sa puissance d’attraction. Reste à vérifier si elle peut désigner une politique. Tel est le lieu du débat pour Frédéric Lordon qui entreprend, dans cette discussion, de mettre à jour les soubassements philosophiques des discours et de l’imaginaire du «vivre sans». Il identifie ce faisant chez Deleuze, Rancière ou Badiou, les éléments d’une atmosphère intellectuelle propice à cet imaginaire, où la politique se fait rare, singulière, se cristallise dans le devenir ou dans l’Événement, devient affaire de «virtuoses» – empruntant des voies parallèles (éthique, esthétique) pour, finalement, échapper à la politique. Une «anti-politique», donc, dont on trouve l’expression la plus achevée dans la philosophie de la destitution d’Agamben, objet d’un long développement qui est aussi pour Lordon l’occasion de redéployer sa lecture de Spinoza. Pour Agamben, destituer n’est pas seulement abattre un pouvoir, c’est faire en sorte que rien ne prenne sa place… et donc que la puissance de la multitude se retienne. Impossible, répond Lordon?: «la puissance de la multitude s’exerce nécessairement» et affecte les parties qui la composent. Parvenu à ce point de désaccord théorique, c’est tout l’horizon politique associé au «vivre sans», avec ses expérimentations concrètes, qui sont discutées. Un collectif peut-il se passer d’institutions?? Pas si on entend sous ce terme «?toute manifestation de la puissance de la multitude?». La ZAD n’est-elle pas, sous cet aspect, une institution, avec ses normes, ses manières, sa justice?? Dès lors son existence ne donne pas tant la formule d’une «vie sans» que celle d’un gouvernement commun des conduites dictées par des affects joyeux – une forme de vie, soit une certaine configuration des institutions. Pour Lordon, au risque de malmener quelques illusions, c’est encore là la meilleure alternative à l’État du capital et à sa police. Note de contenu : C’est peut-être le discours le plus dynamique dans l’imaginaire contemporain de la gauche, mais ce qui fait son pouvoir d’attraction est aussi ce qu’il a de plus problématique. Car il nous promet la « vie sans » : sans institutions, sans État, sans police, sans travail, sans argent – « ingouvernables ».
La fortune de ses énoncés recouvre parfois la profondeur de leurs soubassements philosophiques. Auxquels on peut donner la consistance d’une « antipolitique », entendue soit comme politique restreinte à des intermittences (« devenirs », « repartages du sensible »), soit comme politique réservée à des virtuoses (« sujets », « singularités quelconques »). Soit enfin comme politique de « la destitution ».
Destituer, précisément, c’est ne pas réinstituer – mais le pouvons-nous ? Ici, une vue spinoziste des institutions répond que la puissance du collectif s’exerce nécessairement et que, par « institution », il faut entendre tout effet de cette puissance. Donc que le fait institutionnel est le mode d’être même du collectif. S’il en est ainsi, chercher la formule de « la vie sans institutions » est une impasse. En matière d’institution, la question pertinente n’est pas « avec ou sans ? » – il y en aura. C’est celle de la forme à leur donner. Assurément il y a des institutions que nous pouvons détruire (le travail). D’autres que nous pouvons faire régresser (l’argent). D’autres enfin que nous pouvons métamorphoser. Pour, non pas « vivre sans », mais vivre différemment.
En ligne : https://lafabrique.fr/vivre-sans/ Vivre sans? : Institutions, police, travail, argent...Conversation avec Félix Boggio Éwanjé-Épée [texte imprimé] / Frédéric Lordon, Auteur . - Paris (Rue Rébeval 64, 75019, France) : La Fabrique éditions, 2019 . - 304 p.
ISBN : 978-2-35872-171-4 : 14,00 €
Langues : Français
Catégories : Philosophie politique ; sociologie politique Mots-clés : 'l'institution','l'antipolitique','Spinoza','Agamben','ZAD' Index. décimale : F.05 Transition et développement durable Résumé : Peut-on se passer de gouvernement, de justice, de lois et de tout ce qui veille à les appliquer? Peut-on déserter l’économie, le travail, abolir la monnaie?? Peut-on se rendre, en somme, «ingouvernables», et vivre sans institutions qui ordonnent le collectif? Alors que l’échec différé des expériences révolutionnaires et des tentatives réformistes laisse une grande partie de la gauche paralysée, que nos vies semblent plus que jamais saturées d’État et de capital, l’idée a le mérite de prendre la mesure de l’époque. Et son succès grandissant dans les cortèges de la jeunesse indique assez sa puissance d’attraction. Reste à vérifier si elle peut désigner une politique. Tel est le lieu du débat pour Frédéric Lordon qui entreprend, dans cette discussion, de mettre à jour les soubassements philosophiques des discours et de l’imaginaire du «vivre sans». Il identifie ce faisant chez Deleuze, Rancière ou Badiou, les éléments d’une atmosphère intellectuelle propice à cet imaginaire, où la politique se fait rare, singulière, se cristallise dans le devenir ou dans l’Événement, devient affaire de «virtuoses» – empruntant des voies parallèles (éthique, esthétique) pour, finalement, échapper à la politique. Une «anti-politique», donc, dont on trouve l’expression la plus achevée dans la philosophie de la destitution d’Agamben, objet d’un long développement qui est aussi pour Lordon l’occasion de redéployer sa lecture de Spinoza. Pour Agamben, destituer n’est pas seulement abattre un pouvoir, c’est faire en sorte que rien ne prenne sa place… et donc que la puissance de la multitude se retienne. Impossible, répond Lordon?: «la puissance de la multitude s’exerce nécessairement» et affecte les parties qui la composent. Parvenu à ce point de désaccord théorique, c’est tout l’horizon politique associé au «vivre sans», avec ses expérimentations concrètes, qui sont discutées. Un collectif peut-il se passer d’institutions?? Pas si on entend sous ce terme «?toute manifestation de la puissance de la multitude?». La ZAD n’est-elle pas, sous cet aspect, une institution, avec ses normes, ses manières, sa justice?? Dès lors son existence ne donne pas tant la formule d’une «vie sans» que celle d’un gouvernement commun des conduites dictées par des affects joyeux – une forme de vie, soit une certaine configuration des institutions. Pour Lordon, au risque de malmener quelques illusions, c’est encore là la meilleure alternative à l’État du capital et à sa police. Note de contenu : C’est peut-être le discours le plus dynamique dans l’imaginaire contemporain de la gauche, mais ce qui fait son pouvoir d’attraction est aussi ce qu’il a de plus problématique. Car il nous promet la « vie sans » : sans institutions, sans État, sans police, sans travail, sans argent – « ingouvernables ».
La fortune de ses énoncés recouvre parfois la profondeur de leurs soubassements philosophiques. Auxquels on peut donner la consistance d’une « antipolitique », entendue soit comme politique restreinte à des intermittences (« devenirs », « repartages du sensible »), soit comme politique réservée à des virtuoses (« sujets », « singularités quelconques »). Soit enfin comme politique de « la destitution ».
Destituer, précisément, c’est ne pas réinstituer – mais le pouvons-nous ? Ici, une vue spinoziste des institutions répond que la puissance du collectif s’exerce nécessairement et que, par « institution », il faut entendre tout effet de cette puissance. Donc que le fait institutionnel est le mode d’être même du collectif. S’il en est ainsi, chercher la formule de « la vie sans institutions » est une impasse. En matière d’institution, la question pertinente n’est pas « avec ou sans ? » – il y en aura. C’est celle de la forme à leur donner. Assurément il y a des institutions que nous pouvons détruire (le travail). D’autres que nous pouvons faire régresser (l’argent). D’autres enfin que nous pouvons métamorphoser. Pour, non pas « vivre sans », mais vivre différemment.
En ligne : https://lafabrique.fr/vivre-sans/ Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1807a F.05. LOR.V. Livre Centre de doc Documentaires Disponible