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Ce fonds documentaire multilingue regroupe des ouvrages scientifiques, des essais, des guides pratiques, des thèses, des revues, des dossiers, des publications sur supports numériques, ….
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Titre : La ville rouge Type de document : texte imprimé Auteurs : Michael Matthys, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : Frémok/FRMK Année de publication : 2009 Importance : 160 p. Présentation : ill. en coul. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35065-022-7 Prix : 28€ Langues : Français Catégories : Art graphique ; Collection SMartBe Mots-clés : 'collection Portraits d'Artistes','BD' Index. décimale : C.04.2. Dessin, peinture, estampage et lithographie Note de contenu : « Je suis si sûr d’être vivant. Impossible que je meure, je suis tellement sûr d’être vivant. Je suis fort, je vais leur montrer, personne ne pourra plus m’approcher, ils me laisseront passer, ils s’inclineront, ils seront obligés de le faire... Ils auront tous peur de moi ! Cette ville m’appartient ! »
Il y a peut-être un dieu dans la ville rouge. Ou un avorton minable. Il y a en tout cas une conscience qui visite, qui habite la ville. C’est avec du sang de boeuf récupéré dans les abattoirs de Charleroi que Michaël Matthys a brossé cette fresque sauvage et amoureuse.
La Ville Rouge, c'est Charleroi. Ces planches ont été exposées au centre Pompidou dans le cadre de l'exposition BD Reporters, ainsi qu'à la foire d'art contemporain de Bruxelles, ArtBrussels, avec la galerie Jacques Cerami.
"[…] Cent vingt planches [désormais 156] à lire et à décrypter d’un trait d’abord, selon le principe de l’image arrêtée ensuite. Matthys, depuis qu’il la scrute au-dedans, au-dehors, depuis qu’il s’époumone à en parcourir le ring [équivalent de nos périphériques et rocades] sens dessus dessous, développe une vision panoramique, toujours galopante, d’une ville qui le libère et l’étouffe tout en même temps.
Ça saigne, je vous le disais. Mais ça saigne, comme saigne un cœur aux abois de lendemains qui filent toujours plus vite, sans cesse plus incertains. Visions fulgurantes, d’apocalypses ou de rêve, selon le moment, métro, passants, places et monuments, Constantin Meunier et le Marsupilami, un homme qui marche et un qui court, des visages flous et d’autres qui s’écrasent dans l’anonymat, comme des voitures sur un ring…"En ligne : https://www.fremok.org/site.php?type=P&id=103 La ville rouge [texte imprimé] / Michael Matthys, Auteur . - Bruxelles (1070, Belgique) : Frémok/FRMK, 2009 . - 160 p. : ill. en coul.
ISBN : 978-2-35065-022-7 : 28€
Langues : Français
Catégories : Art graphique ; Collection SMartBe Mots-clés : 'collection Portraits d'Artistes','BD' Index. décimale : C.04.2. Dessin, peinture, estampage et lithographie Note de contenu : « Je suis si sûr d’être vivant. Impossible que je meure, je suis tellement sûr d’être vivant. Je suis fort, je vais leur montrer, personne ne pourra plus m’approcher, ils me laisseront passer, ils s’inclineront, ils seront obligés de le faire... Ils auront tous peur de moi ! Cette ville m’appartient ! »
Il y a peut-être un dieu dans la ville rouge. Ou un avorton minable. Il y a en tout cas une conscience qui visite, qui habite la ville. C’est avec du sang de boeuf récupéré dans les abattoirs de Charleroi que Michaël Matthys a brossé cette fresque sauvage et amoureuse.
La Ville Rouge, c'est Charleroi. Ces planches ont été exposées au centre Pompidou dans le cadre de l'exposition BD Reporters, ainsi qu'à la foire d'art contemporain de Bruxelles, ArtBrussels, avec la galerie Jacques Cerami.
"[…] Cent vingt planches [désormais 156] à lire et à décrypter d’un trait d’abord, selon le principe de l’image arrêtée ensuite. Matthys, depuis qu’il la scrute au-dedans, au-dehors, depuis qu’il s’époumone à en parcourir le ring [équivalent de nos périphériques et rocades] sens dessus dessous, développe une vision panoramique, toujours galopante, d’une ville qui le libère et l’étouffe tout en même temps.
Ça saigne, je vous le disais. Mais ça saigne, comme saigne un cœur aux abois de lendemains qui filent toujours plus vite, sans cesse plus incertains. Visions fulgurantes, d’apocalypses ou de rêve, selon le moment, métro, passants, places et monuments, Constantin Meunier et le Marsupilami, un homme qui marche et un qui court, des visages flous et d’autres qui s’écrasent dans l’anonymat, comme des voitures sur un ring…"En ligne : https://www.fremok.org/site.php?type=P&id=103 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 862a C.04.2.MAT.V. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Moloch Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : Michael Matthys, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : Frémok/FRMK Année de publication : 2003 Importance : 100 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-930204-42-0 Prix : 22€ Langues : Français Catégories : Art graphique ; Collection SMartBe ; Dessin Mots-clés : 'collection Portraits d'Artistes' 'BD' Index. décimale : C.04.2. Dessin, peinture, estampage et lithographie Résumé : Entré dans l'usine de Cockerill Sambre, le regard nous entraine au sein du vacarme et de la poussière. Dans le molosse de feu et d'acier, nous suivons avec un brin de détachement la visite de Michael Matthys tandis que notre Å“il ivre est submergé d'hallucinations industrielles. Note de contenu : Michael Matthys a obtenu les autorisations nécessaires pour circuler dans l’usine dans l'usine de Cockerill Sambre, prendre des photos et en faire un bande dessinée. La visite commence. Et aussitôt s’affirme l’impossibilité de raconter une histoire, aussitôt la présence monumentale, vertigineuse et submergente du lieu lui vole la vedette.
Moloch est une représentation, une immersion, un exercice de mémoire et d’archive des hauts-fourneaux de la sidérurgie du bassin carolorégien, la région industrielle qui se trouve au sud-ouest de Bruxelles. La sidérurgie est, après le charbon, la seconde grande activité industrielle wallonne à subir les déboires de l’incessante révolution du capitalisme mondial.
C’est dans l’usine de Cockerill Sambre que nous entrons comme dans le labyrinthe du Minotaure, là où les hommes, travailleurs de la poussière, de la chaleur et de la limaille semblent être à la merci du monstre aux intestins de feu et d’acier.
Le jour se lève, sur le ring de Charleroi, la voiture de l’auteur quitte l’autoroute et emprunte le chemin de l’usine. Son guide l’attend. Michael Matthys a obtenu les autorisations nécessaires pour circuler dans l’usine, prendre des photos et en faire un bande dessinée. La visite commence.
Et aussitôt s’affirme l’impossibilité de raconter une histoire, aussitôt la présence monumentale, vertigineuse et submergente du lieu lui vole la vedette.
Il n’y aura donc que cette usine, ses machineries comme autant d’organes au travail, et ses quelques ouvriers que l’on croise comme des figurants d’un dispositif titanesque. Le narrateur se trouve perdu là comme un néophyte égaré dans quelque mystère d’Eleusis.
Le lecteur traverse l’espace, comme en apnée, la narration ne cesse de gagner en fluidité, la matière, elle, ne cesse d’exiger que l’on s’arrête. La narration joue le rôle de la machine quand la matière impose son regard critique. L’aspect photographique du dessin est démonté par le lent travail de l’acide qui attaque la plaque, la ronge d’une matière dense, moirée, sombre. Elle alourdit et ralentit par sa présence la lecture et la narration.
C’est de la taille-douce que provient cet étrange sentiment qui conduit nos pas dans ce dédale. C’est avec le cuivre que Matthys fait parler l’acier, c’est avec l’acide que se propage la lourde fumée, c’est avec la pointe du graveur que se dessine la précise et complexe mécanique de la grande machine.
Plongez comme le métal dans le perchlorure, entrez en fusion. Soyez rongés... Bienvenue à Moloch.
Des fenêtres de sa précédente demeure, Michael Matthys voyait les cheminées d’usines de Charleroi. Il leur trouvait une certaine beauté et il en a fait un livre. Ce carolorégien ravi par les usines s’est fait remarquer à l’académie de Tournai par des lithographies dans lesquelles il brossait une jungle charbonneuse, brumeuse comme son pays natal. Il vit à présent dans une riante vallée non loin de Thuin et de la Sambre, il fomente là quelque livre au sang de bœuf et continue d’attaquer à l’acide les plaques de cuivre qu’il marque de son empreinte indélébile.En ligne : https://www.fremok.org/site.php?type=P&id=102 Moloch [document graphique à deux dimensions] / Michael Matthys, Auteur . - Bruxelles (1070, Belgique) : Frémok/FRMK, 2003 . - 100 p.
ISBN : 978-2-930204-42-0 : 22€
Langues : Français
Catégories : Art graphique ; Collection SMartBe ; Dessin Mots-clés : 'collection Portraits d'Artistes' 'BD' Index. décimale : C.04.2. Dessin, peinture, estampage et lithographie Résumé : Entré dans l'usine de Cockerill Sambre, le regard nous entraine au sein du vacarme et de la poussière. Dans le molosse de feu et d'acier, nous suivons avec un brin de détachement la visite de Michael Matthys tandis que notre Å“il ivre est submergé d'hallucinations industrielles. Note de contenu : Michael Matthys a obtenu les autorisations nécessaires pour circuler dans l’usine dans l'usine de Cockerill Sambre, prendre des photos et en faire un bande dessinée. La visite commence. Et aussitôt s’affirme l’impossibilité de raconter une histoire, aussitôt la présence monumentale, vertigineuse et submergente du lieu lui vole la vedette.
Moloch est une représentation, une immersion, un exercice de mémoire et d’archive des hauts-fourneaux de la sidérurgie du bassin carolorégien, la région industrielle qui se trouve au sud-ouest de Bruxelles. La sidérurgie est, après le charbon, la seconde grande activité industrielle wallonne à subir les déboires de l’incessante révolution du capitalisme mondial.
C’est dans l’usine de Cockerill Sambre que nous entrons comme dans le labyrinthe du Minotaure, là où les hommes, travailleurs de la poussière, de la chaleur et de la limaille semblent être à la merci du monstre aux intestins de feu et d’acier.
Le jour se lève, sur le ring de Charleroi, la voiture de l’auteur quitte l’autoroute et emprunte le chemin de l’usine. Son guide l’attend. Michael Matthys a obtenu les autorisations nécessaires pour circuler dans l’usine, prendre des photos et en faire un bande dessinée. La visite commence.
Et aussitôt s’affirme l’impossibilité de raconter une histoire, aussitôt la présence monumentale, vertigineuse et submergente du lieu lui vole la vedette.
Il n’y aura donc que cette usine, ses machineries comme autant d’organes au travail, et ses quelques ouvriers que l’on croise comme des figurants d’un dispositif titanesque. Le narrateur se trouve perdu là comme un néophyte égaré dans quelque mystère d’Eleusis.
Le lecteur traverse l’espace, comme en apnée, la narration ne cesse de gagner en fluidité, la matière, elle, ne cesse d’exiger que l’on s’arrête. La narration joue le rôle de la machine quand la matière impose son regard critique. L’aspect photographique du dessin est démonté par le lent travail de l’acide qui attaque la plaque, la ronge d’une matière dense, moirée, sombre. Elle alourdit et ralentit par sa présence la lecture et la narration.
C’est de la taille-douce que provient cet étrange sentiment qui conduit nos pas dans ce dédale. C’est avec le cuivre que Matthys fait parler l’acier, c’est avec l’acide que se propage la lourde fumée, c’est avec la pointe du graveur que se dessine la précise et complexe mécanique de la grande machine.
Plongez comme le métal dans le perchlorure, entrez en fusion. Soyez rongés... Bienvenue à Moloch.
Des fenêtres de sa précédente demeure, Michael Matthys voyait les cheminées d’usines de Charleroi. Il leur trouvait une certaine beauté et il en a fait un livre. Ce carolorégien ravi par les usines s’est fait remarquer à l’académie de Tournai par des lithographies dans lesquelles il brossait une jungle charbonneuse, brumeuse comme son pays natal. Il vit à présent dans une riante vallée non loin de Thuin et de la Sambre, il fomente là quelque livre au sang de bœuf et continue d’attaquer à l’acide les plaques de cuivre qu’il marque de son empreinte indélébile.En ligne : https://www.fremok.org/site.php?type=P&id=102 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 864a C.O4.2.MAT.M. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Black Book Black Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : Olivier Deprez, Graveur sur bois ; Miles O'Shea, Artiste Editeur : Bruxelles [Belgique] : Frémok/FRMK Collection : Collection Flore Importance : 32 p. Présentation : gravures sur bois ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35065-023-4 Prix : 9 € Langues : Français Anglais Catégories : Art graphique ; Artothèque SMartBe ; Collection SMartBe Mots-clés : 'blackbook' 'collection SMartBe' 'artothèque' Index. décimale : C.05. Arts graphiques et arts décoratifs Note de contenu : Le projet du BlackBookBlack est issu d’une rencontre entre deux artistes qui partagent un goût commun pour les films de Buster Keaton, les livres de Samuel Beckett et une certaine conception du non-sens. Ce sont quelques bribes de la biographie de Miles O’Shea qui ont déclenché la création des gravures sur bois qui composent le livre. On pourrait résumer l’histoire du BlackBookBlack comme la rencontre d’un individu avec l’art et ensuite la rencontre de cet individu devenu artiste avec une technique artistique : la gravure sur bois. Le tout ramené à sa plus simple expression sous la forme de la fascination de la couleur noire, puit de l'imaginaire. Un premier petit diamant brut, cailloux noir plutôt que blanc sur le chemin d'un ambitieux questionnement artistique. En ligne : http://www.fremok.org/site.php?type=P&id=232 Black Book Black [document graphique à deux dimensions] / Olivier Deprez, Graveur sur bois ; Miles O'Shea, Artiste . - Bruxelles (1070, Belgique) : Frémok/FRMK, [s.d.] . - 32 p. : gravures sur bois. - (Collection Flore) .
ISBN : 978-2-35065-023-4 : 9 €
Langues : Français Anglais
Catégories : Art graphique ; Artothèque SMartBe ; Collection SMartBe Mots-clés : 'blackbook' 'collection SMartBe' 'artothèque' Index. décimale : C.05. Arts graphiques et arts décoratifs Note de contenu : Le projet du BlackBookBlack est issu d’une rencontre entre deux artistes qui partagent un goût commun pour les films de Buster Keaton, les livres de Samuel Beckett et une certaine conception du non-sens. Ce sont quelques bribes de la biographie de Miles O’Shea qui ont déclenché la création des gravures sur bois qui composent le livre. On pourrait résumer l’histoire du BlackBookBlack comme la rencontre d’un individu avec l’art et ensuite la rencontre de cet individu devenu artiste avec une technique artistique : la gravure sur bois. Le tout ramené à sa plus simple expression sous la forme de la fascination de la couleur noire, puit de l'imaginaire. Un premier petit diamant brut, cailloux noir plutôt que blanc sur le chemin d'un ambitieux questionnement artistique. En ligne : http://www.fremok.org/site.php?type=P&id=232 Réservation
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