Titre : | Frontières dedans/dehors : Un dialogue entre l'art, la prison et la société | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Caroline Caccavale, Auteur | Editeur : | Marseille [France] : Lieux fictifs | Année de publication : | 2013 | Importance : | 64 p | Langues : | Français Anglais | Catégories : | Culture ; International ; Prison ; Société
| Index. décimale : | B.03.7. Prison | Note de contenu : | Du 17 au 21 octobre 2011, Lieux fictifs proposait un point d’étape de Frontières dedans/dehors, aux différents partenaires, personnes détenues, personnel pénitentiaire, professionnels des différents services intervenant en détention et magistrats de surveillance impliqués. L’occasion pour nous de vous présenter ce projet de création et de coopération européenne auquel Marseille-provence 2013 participe. En 1997, Lieux fictifs fait entrer l’art à la prison des Baumettes en mettant en place des ateliers de formation et de création visuelle et sonore. En 2009, le collectif s’appuie sur ces ateliers pour lancer son projet coproduit par Marseille-Provence 2013 ainsi que l’Institut National de l’Audiovisuel, la Cie Alzhar, Cultures, publics et territoires et Système Friche Théâtre. Frontières dedans/dehors, qui fera parti de la programmation officielle de l’année Capitale, propose de faire dialoguer prison, art et société. Jusqu’à 2013 des détenus, des artistes et des habitants du territoire vont travailler ensemble au sein des ateliers ou à distance afin de réaliser deux coproductions qui seront exposées durant l’année Capitale. C’est la vidéo qui sera à l’honneur avec une adaptation cinématographique du texte de Bernard-Marie Koltès Dans la solitude des champs de coton et la réalisation de courts métrages pour Des images en mémoire, des images en miroir. Dans la solitude des champs de coton sera interprété par 27 participants sur deux décors identiques qui donneront l’illusion d’un seul lieu : l’un au centre pénitencier et le second à la Friche de la Belle de Mai. Pour ce qui est de la coproduction Des images en mémoire, des images en miroir des détenus et des étudiants doivent réaliser des courts métrages à partir d’images d’un fonds d’archives commun de l’INA. Des étudiants et prisonniers d’Oslo, Milan, Barcelone, Wuppertal et Beyrouth sont également associés à ce travail qui donnera lieu à une exposition vidéo à Marseille en 2013 d’environ cinquante courts métrages. |
Frontières dedans/dehors : Un dialogue entre l'art, la prison et la société [texte imprimé] / Caroline Caccavale, Auteur . - Marseille (Friche La Belle de MAI, Rue Jobin 41, 13331, France) : Lieux fictifs, 2013 . - 64 p. Langues : Français Anglais Catégories : | Culture ; International ; Prison ; Société
| Index. décimale : | B.03.7. Prison | Note de contenu : | Du 17 au 21 octobre 2011, Lieux fictifs proposait un point d’étape de Frontières dedans/dehors, aux différents partenaires, personnes détenues, personnel pénitentiaire, professionnels des différents services intervenant en détention et magistrats de surveillance impliqués. L’occasion pour nous de vous présenter ce projet de création et de coopération européenne auquel Marseille-provence 2013 participe. En 1997, Lieux fictifs fait entrer l’art à la prison des Baumettes en mettant en place des ateliers de formation et de création visuelle et sonore. En 2009, le collectif s’appuie sur ces ateliers pour lancer son projet coproduit par Marseille-Provence 2013 ainsi que l’Institut National de l’Audiovisuel, la Cie Alzhar, Cultures, publics et territoires et Système Friche Théâtre. Frontières dedans/dehors, qui fera parti de la programmation officielle de l’année Capitale, propose de faire dialoguer prison, art et société. Jusqu’à 2013 des détenus, des artistes et des habitants du territoire vont travailler ensemble au sein des ateliers ou à distance afin de réaliser deux coproductions qui seront exposées durant l’année Capitale. C’est la vidéo qui sera à l’honneur avec une adaptation cinématographique du texte de Bernard-Marie Koltès Dans la solitude des champs de coton et la réalisation de courts métrages pour Des images en mémoire, des images en miroir. Dans la solitude des champs de coton sera interprété par 27 participants sur deux décors identiques qui donneront l’illusion d’un seul lieu : l’un au centre pénitencier et le second à la Friche de la Belle de Mai. Pour ce qui est de la coproduction Des images en mémoire, des images en miroir des détenus et des étudiants doivent réaliser des courts métrages à partir d’images d’un fonds d’archives commun de l’INA. Des étudiants et prisonniers d’Oslo, Milan, Barcelone, Wuppertal et Beyrouth sont également associés à ce travail qui donnera lieu à une exposition vidéo à Marseille en 2013 d’environ cinquante courts métrages. |
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