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Ce fonds documentaire multilingue regroupe des ouvrages scientifiques, des essais, des guides pratiques, des thèses, des revues, des dossiers, des publications sur supports numériques, ….
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Rites de virilité à l'adolescence / David Le Breton
Titre : Rites de virilité à l'adolescence Type de document : texte imprimé Auteurs : David Le Breton, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : YAPAKA, coordination de l'aide aux victimes de maltraitance Année de publication : 2015 Importance : 64 p Langues : Français Catégories : adolescence ; Sociologie Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Il s’agit dans cet ouvrage de s’attacher à la construction sociale du masculin dans nos sociétés où les anciens modèles de genre s’effacent. Il devient parfois malaisé d’entrer dans la peau d’un homme, particulièrement pour certains adolescents qui cumulent des difficultés affectives et sociales, sans trouver à leur côté des adultes pouvant leur donner le goût de grandir et de s’autoriser à prendre son essor. Les conduites à risque sont marquées par les connotations sociales du genre. Chez les filles, elles prennent des formes discrètes, silencieuses (troubles alimentaires, scarifications, tentatives de suicide…), là où chez les garçons elles sont exposition de soi, souvent sous le regard des pairs (suicides, violences, délinquances, provocations, défis, alcoolisation, vitesse sur les routes, toxicomanies…). Nombre de ces conduites à risque masculines relèvent de rites de virilité, des rites de l’entre-soi que les garçons effectuent sous formes de défi pour se montrer qu’ils sont à la hauteur. Cette image de soi toujours à glorifier, en quête de reconnaissance des pairs (les autres garçons) alimente maintes formes de violence dans les établissements scolaires ou ailleurs, souvent au détriment des filles, et parfois elle aboutit aux tueries scolaires ou au djihadisme comme une manière ultime d’exister dans l’incandescence quand plus rien d’autre ne les valorise. On retrouve souvent dans ces conduites l’impossibilité de s’identifier aux autres, une haine farouche qui leur tient lieu d’affiliation au monde, une fascination pour l’image et le sentiment d’atteindre une sorte d’immortalité par la virulence de leur acte. L’ouvrage est surtout centré sur les différentes formes de violences masculines. Rites de virilité à l'adolescence [texte imprimé] / David Le Breton, Auteur . - Bruxelles (Belgique) : YAPAKA, coordination de l'aide aux victimes de maltraitance, 2015 . - 64 p.
Langues : Français
Catégories : adolescence ; Sociologie Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Il s’agit dans cet ouvrage de s’attacher à la construction sociale du masculin dans nos sociétés où les anciens modèles de genre s’effacent. Il devient parfois malaisé d’entrer dans la peau d’un homme, particulièrement pour certains adolescents qui cumulent des difficultés affectives et sociales, sans trouver à leur côté des adultes pouvant leur donner le goût de grandir et de s’autoriser à prendre son essor. Les conduites à risque sont marquées par les connotations sociales du genre. Chez les filles, elles prennent des formes discrètes, silencieuses (troubles alimentaires, scarifications, tentatives de suicide…), là où chez les garçons elles sont exposition de soi, souvent sous le regard des pairs (suicides, violences, délinquances, provocations, défis, alcoolisation, vitesse sur les routes, toxicomanies…). Nombre de ces conduites à risque masculines relèvent de rites de virilité, des rites de l’entre-soi que les garçons effectuent sous formes de défi pour se montrer qu’ils sont à la hauteur. Cette image de soi toujours à glorifier, en quête de reconnaissance des pairs (les autres garçons) alimente maintes formes de violence dans les établissements scolaires ou ailleurs, souvent au détriment des filles, et parfois elle aboutit aux tueries scolaires ou au djihadisme comme une manière ultime d’exister dans l’incandescence quand plus rien d’autre ne les valorise. On retrouve souvent dans ces conduites l’impossibilité de s’identifier aux autres, une haine farouche qui leur tient lieu d’affiliation au monde, une fascination pour l’image et le sentiment d’atteindre une sorte d’immortalité par la virulence de leur acte. L’ouvrage est surtout centré sur les différentes formes de violences masculines. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0986a E.LEB.R. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Se défendre : Une philosophie de la violence Type de document : texte imprimé Auteurs : Elsa Dorlin, Auteur Editeur : Paris [France] : Editions La Découverte Année de publication : 2017 Importance : 200 p Format : 14 cm x 20,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35522-110-1 Prix : 18€ Langues : Français Catégories : Sociologie Mots-clés : 'politique','auto défense', 'légitime défense', 'subjectivité', Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : En 1685, le Code noir défendait « aux esclaves de porter aucune arme offensive ni de gros bâtons » sous peine de fouet. Au XIXe siècle, en Algérie, l’État colonial interdisait les armes aux indigènes, tout en accordant aux colons le droit de s’armer. Aujourd’hui, certaines vies comptent si peu que l’on peut tirer dans le dos d’un adolescent noir au prétexte qu’il était « menaçant ».
Une ligne de partage oppose historiquement les corps « dignes d’être défendus » à ceux qui, désarmés ou rendus indéfendables, sont laissés sans défense. Ce « désarmement » organisé des subalternes pose directement, pour tout élan de libération, la question du recours à la violence pour sa propre défense.
Des résistances esclaves au ju-jitsu des suffragistes, de l’insurrection du ghetto de Varsovie aux Black Panthers ou aux patrouilles queer, Elsa Dorlin retrace une généalogie de l’autodéfense politique. Sous l’histoire officielle de la légitime défense affleurent des « éthiques martiales de soi », pratiques ensevelies où le fait de se défendre en attaquant apparaît comme la condition de possibilité de sa survie comme de son devenir politique. Cette histoire de la violence éclaire la définition même de la subjectivité moderne, telle qu’elle est pensée dans et par les politiques de sécurité contemporaines, et implique une relecture critique de la philosophie politique, où Hobbes et Locke côtoient Frantz Fanon, Michel Foucault, Malcolm X, June Jordan ou Judith Butler.En ligne : https://www.editionsladecouverte.fr/se_defendre-9782355221101 Se défendre : Une philosophie de la violence [texte imprimé] / Elsa Dorlin, Auteur . - Paris (France) : Editions La Découverte, 2017 . - 200 p ; 14 cm x 20,5 cm.
ISBN : 978-2-35522-110-1 : 18€
Langues : Français
Catégories : Sociologie Mots-clés : 'politique','auto défense', 'légitime défense', 'subjectivité', Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : En 1685, le Code noir défendait « aux esclaves de porter aucune arme offensive ni de gros bâtons » sous peine de fouet. Au XIXe siècle, en Algérie, l’État colonial interdisait les armes aux indigènes, tout en accordant aux colons le droit de s’armer. Aujourd’hui, certaines vies comptent si peu que l’on peut tirer dans le dos d’un adolescent noir au prétexte qu’il était « menaçant ».
Une ligne de partage oppose historiquement les corps « dignes d’être défendus » à ceux qui, désarmés ou rendus indéfendables, sont laissés sans défense. Ce « désarmement » organisé des subalternes pose directement, pour tout élan de libération, la question du recours à la violence pour sa propre défense.
Des résistances esclaves au ju-jitsu des suffragistes, de l’insurrection du ghetto de Varsovie aux Black Panthers ou aux patrouilles queer, Elsa Dorlin retrace une généalogie de l’autodéfense politique. Sous l’histoire officielle de la légitime défense affleurent des « éthiques martiales de soi », pratiques ensevelies où le fait de se défendre en attaquant apparaît comme la condition de possibilité de sa survie comme de son devenir politique. Cette histoire de la violence éclaire la définition même de la subjectivité moderne, telle qu’elle est pensée dans et par les politiques de sécurité contemporaines, et implique une relecture critique de la philosophie politique, où Hobbes et Locke côtoient Frantz Fanon, Michel Foucault, Malcolm X, June Jordan ou Judith Butler.En ligne : https://www.editionsladecouverte.fr/se_defendre-9782355221101 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01289a E.DOR.D. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Le sens du social / Frank Fischbach
Titre : Le sens du social : Les puissances de la coopération Type de document : texte imprimé Auteurs : Frank Fischbach, Auteur Editeur : Lux Humanités Année de publication : 2015 Importance : 264 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-89596-202-1 Prix : 20 € Langues : Français Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Nous vivons depuis quelques décennies une privatisation et une atomisation de la société, qui instituent les individus en concurrents et leur font perdre le véritable sens du social: la coopération. En philosophie aussi, le concept de « social », auquel on préfère souvent les idées de « commun » ou de « communauté », peine aujourd’hui encore à être reconnu. Cet essai propose donc, à la suite de Dewey, de défendre « la valeur du social en tant que catégorie » de la pensée. Il s’agit d’analyser les raisons qui ont conduit à ce discrédit, puis de reconstruire un concept qui possède à la fois une fonction descriptive et une portée morale et politique. Le livre avance la thèse que le travail, en tant qu’association et coopération, est porteur d’une exigence proprement démocratique, et que cette exigence n’est autre que l’expression politique de la structure sociale. Sur cette base, devient possible une critique des dispositifs qui privent concrètement le travail de sa dimension démocratique et répriment sa logique coopérative. Le sens du social : Les puissances de la coopération [texte imprimé] / Frank Fischbach, Auteur . - [S.l.] : Lux Humanités, 2015 . - 264 p.
ISBN : 978-2-89596-202-1 : 20 €
Langues : Français
Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Nous vivons depuis quelques décennies une privatisation et une atomisation de la société, qui instituent les individus en concurrents et leur font perdre le véritable sens du social: la coopération. En philosophie aussi, le concept de « social », auquel on préfère souvent les idées de « commun » ou de « communauté », peine aujourd’hui encore à être reconnu. Cet essai propose donc, à la suite de Dewey, de défendre « la valeur du social en tant que catégorie » de la pensée. Il s’agit d’analyser les raisons qui ont conduit à ce discrédit, puis de reconstruire un concept qui possède à la fois une fonction descriptive et une portée morale et politique. Le livre avance la thèse que le travail, en tant qu’association et coopération, est porteur d’une exigence proprement démocratique, et que cette exigence n’est autre que l’expression politique de la structure sociale. Sur cette base, devient possible une critique des dispositifs qui privent concrètement le travail de sa dimension démocratique et répriment sa logique coopérative. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01057a E.FIS.L. Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Une société à la dérive : Entretiens et débats 1974-1997 Type de document : texte imprimé Auteurs : Cornelius Castoriadis, Auteur Mention d'édition : éd.en poche 2010 Editeur : Paris [France] : Editions du Seuil Année de publication : 2005 Collection : Points Essais Importance : 400 p. Présentation : biogr.,bibliogr. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7578-2151-0 Prix : €11,20 Langues : Français Catégories : Démocratie ; Société ; sociologie politique Mots-clés : 'société' 'démocratie' 'solidarité' 'coopération' 'philosophie' 'autonomie' 'éthique' 'signification imaginaire' Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Dans ce volume sont rassemblés des entretiens et des débats auxquels participa, entre 1974 et 1997, Cornelius Castoriadis - militant politique, économiste, psychanalyste et philosophe. On y verra comment deux questions pour lui " interminables ", celle de la vérité et celle de la vie en société, se sont trouvées mêlées dans sa propre histoire. Après des entretiens où sont retracées les grandes étapes de sa carrière, en particulier l'expérience de Socialisme ou Barbarie et l'élaboration de la notion de signification imaginaire, Castoriadis revient inlassablement sur la question de la démocratie - son caractère inachevé, son passé et son avenir dans le monde occidental. Il s'interroge sur les chances de la liberté et du projet d'autonomie dans un monde caractérisé par la destruction des significations, la décomposition des mécanismes de direction, le retrait de la population de la sphère politique - dans une société de hobbies et de lobbies : une " société à la dérive ". En ligne : https://www.editionspoints.com/ouvrage/une-societe-a-la-derive-cornelius-castori [...] Une société à la dérive : Entretiens et débats 1974-1997 [texte imprimé] / Cornelius Castoriadis, Auteur . - éd.en poche 2010 . - Paris (27, rue Jacob, France) : Editions du Seuil, 2005 . - 400 p. : biogr.,bibliogr.. - (Points Essais) .
ISBN : 978-2-7578-2151-0 : €11,20
Langues : Français
Catégories : Démocratie ; Société ; sociologie politique Mots-clés : 'société' 'démocratie' 'solidarité' 'coopération' 'philosophie' 'autonomie' 'éthique' 'signification imaginaire' Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Dans ce volume sont rassemblés des entretiens et des débats auxquels participa, entre 1974 et 1997, Cornelius Castoriadis - militant politique, économiste, psychanalyste et philosophe. On y verra comment deux questions pour lui " interminables ", celle de la vérité et celle de la vie en société, se sont trouvées mêlées dans sa propre histoire. Après des entretiens où sont retracées les grandes étapes de sa carrière, en particulier l'expérience de Socialisme ou Barbarie et l'élaboration de la notion de signification imaginaire, Castoriadis revient inlassablement sur la question de la démocratie - son caractère inachevé, son passé et son avenir dans le monde occidental. Il s'interroge sur les chances de la liberté et du projet d'autonomie dans un monde caractérisé par la destruction des significations, la décomposition des mécanismes de direction, le retrait de la population de la sphère politique - dans une société de hobbies et de lobbies : une " société à la dérive ". En ligne : https://www.editionspoints.com/ouvrage/une-societe-a-la-derive-cornelius-castori [...] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1951a E.CAS.S. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Spectateur et politique / Christian Ruby
Titre : Spectateur et politique : D'une conception crépusculaire à une conception affirmative de la culture ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Ruby, Auteur Editeur : Bruxelles : Edition de la Lettre volée Collection : Essais Importance : 190 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87317-436-1 Langues : Français Catégories : Art ; Politique Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Un ample désenchantement domine désormais le regard porté sur le spectateur d’art, alors qu’il a longtemps fait l’objet d’une extrême valorisation. Beaucoup l’ignorent en ne parlant de lui qu’en termes quantitatifs et méprisants : spectateur « zappant » en permanence, « formaté », « passif »,… Il est ainsi instrumentalisé dans des pensées crépusculaires de la culture qui voient dans son comportement le plus grand péril pour la démocratie. Dans cet ouvrage, il est question de considérer la figure du spectateur autrement. Ce projet est conduit à partir d’une enquête dans l’archipel du sensible, au sein duquel se croisent Gilles Deleuze, Michel Foucault, Jean-François Lyotard, Jacques Rancière. Ces amers pris dans la pensée des XXe et XXIe siècles font surgir des spectateurs résistants ou en affirmation de soi. A partir du prisme spectateur et politique, ils déstabilisent les perspectives méprisantes à son égard et dessinent les linéaments d’une ouverture sur une histoire qui pourrait commencer, dans la confrontation aux pratiques artistiques nouvelles, aux moyens de communication inédits, et aux théories politiques de l’émancipation. Les écrits de ces philosophes ont été interrogés à partir des axes suivants : quelle trajectoire de spectateur a été accomplie par chacun, et en rapport avec quelles œuvres ? Comment pensent-ils la distinction entre leur posture de spectateur d’art et les autres postures spectatoriales possibles ? Sur quelle perspective politique ancrent-ils leur conception du spectateur ? Et quelles politiques culturelles à destination du spectateur encouragent-ils ? On découvre alors comment ils entrent en polémique avec le grand récit classique du spectateur et avec les nostalgiques d’une époque qu’il convient de considérer comme résolument révolue. Spectateur et politique : D'une conception crépusculaire à une conception affirmative de la culture ? [texte imprimé] / Christian Ruby, Auteur . - Bruxelles : Edition de la Lettre volée, [s.d.] . - 190 p. - (Essais) .
ISBN : 978-2-87317-436-1
Langues : Français
Catégories : Art ; Politique Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Un ample désenchantement domine désormais le regard porté sur le spectateur d’art, alors qu’il a longtemps fait l’objet d’une extrême valorisation. Beaucoup l’ignorent en ne parlant de lui qu’en termes quantitatifs et méprisants : spectateur « zappant » en permanence, « formaté », « passif »,… Il est ainsi instrumentalisé dans des pensées crépusculaires de la culture qui voient dans son comportement le plus grand péril pour la démocratie. Dans cet ouvrage, il est question de considérer la figure du spectateur autrement. Ce projet est conduit à partir d’une enquête dans l’archipel du sensible, au sein duquel se croisent Gilles Deleuze, Michel Foucault, Jean-François Lyotard, Jacques Rancière. Ces amers pris dans la pensée des XXe et XXIe siècles font surgir des spectateurs résistants ou en affirmation de soi. A partir du prisme spectateur et politique, ils déstabilisent les perspectives méprisantes à son égard et dessinent les linéaments d’une ouverture sur une histoire qui pourrait commencer, dans la confrontation aux pratiques artistiques nouvelles, aux moyens de communication inédits, et aux théories politiques de l’émancipation. Les écrits de ces philosophes ont été interrogés à partir des axes suivants : quelle trajectoire de spectateur a été accomplie par chacun, et en rapport avec quelles œuvres ? Comment pensent-ils la distinction entre leur posture de spectateur d’art et les autres postures spectatoriales possibles ? Sur quelle perspective politique ancrent-ils leur conception du spectateur ? Et quelles politiques culturelles à destination du spectateur encouragent-ils ? On découvre alors comment ils entrent en polémique avec le grand récit classique du spectateur et avec les nostalgiques d’une époque qu’il convient de considérer comme résolument révolue. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0989a E.RUB.S. Livre Centre de doc Documentaires Disponible PermalinkUne tout autre école / Bernard Delvaux
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLa violence conjugale frappe les enfants / Christine Frisch-Desmarez
PermalinkLa violence envers les enfants, approche transculturelle / Marie Rose Moro
PermalinkLa violence des jeunes: punir ou éduquer ? / Véronique le Goaziou
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