Titre : | Une vie pour sculpter | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Roger Langevin, Auteur | Editeur : | Québec [Canada] : Les Editions GID | Année de publication : | 2011 | Importance : | 294 p | ISBN/ISSN/EAN : | 2900000203532 | Langues : | Français | Catégories : | Art plastique ; Sculpture
| Mots-clés : | Trajectoire d'artiste | Index. décimale : | C.04.1. Sculpture | Note de contenu : | n'a qu'une vie pour sculpter», dit le réputé Roger Langevin, qu'on connaît déjà pour plusieurs de ses nombreuses œuvres monumentales; un peu partout à travers le Québec, mais beaucoup moins pour sa plume d'auteur.
Et c'est qu'il se révèle dans l'ouvrage: «Une vie pour sculpter», un recueil de 300 pages; abondamment illustré, qu'il a commencé à rédiger dans le cadre d'un travail de doctorat, alors qu'il était étudiant à l'Université de Provence (1993-1994),
et qu'il a poursuivi à l'UQAR, en 1994-1995. Luc-Bernard Duquette, professeur d'art à l'UQAR, avait alors ouvert un poste d'artiste invité auquel il répondit. «Je connaissais Luc-Bernard depuis ma première année aux Beaux-Arts de Montréal en 1959», relate Roger Langevin, qui demeure un des rares artistes à avoir vécu de ses sculptures et avoir fait carrière dans son art. Cet ouvrage, comme il le dit, est un peu sa vie d'artiste qu'il a utilisée comme sujet d'étude.
Tout pour la sculpture
Aventurier ou téméraire, en 1975, à l'âge de 35 ans, il abandonne une carrière assurée de professeur d'arts plastiques au secondaire, pour se consacrer uniquement à la sculpture. Et il en vivra, avec famille et enfants.
Dans «Une vie pour sculpter», Roger Langevin se raconte, mais livre aussi sa passion sans bornes, voire sa rage pour la sculpture, à travers des gens, des amis, des événements, des objets et de ses propres inventions qui l'ont guidé et aidé dans sa démarche artistique. Faut l'entendre raconter les péripéties entourant sa sculpture de son père spirituel, Félix Leclerc, au Parc Lafontaine, à Montréal. «On n'a qu'une vue pour sculpter, rappelle Roger Langevin qui rêve toujours à son parc de sculptures, aux abords de la Rivière Rimouski, un ambitieux parc de 20 sculptures, sur 10 ans. «Il est prévisible que l'espace me soit alloué, encore faut-il que le temps m'en soit donné», dit-il. |
Une vie pour sculpter [texte imprimé] / Roger Langevin, Auteur . - Québec (7460, boulevard Wilfrid-Hamel, G2G 1C1, Canada) : Les Editions GID, 2011 . - 294 p. ISSN : 2900000203532 Langues : Français Catégories : | Art plastique ; Sculpture
| Mots-clés : | Trajectoire d'artiste | Index. décimale : | C.04.1. Sculpture | Note de contenu : | n'a qu'une vie pour sculpter», dit le réputé Roger Langevin, qu'on connaît déjà pour plusieurs de ses nombreuses œuvres monumentales; un peu partout à travers le Québec, mais beaucoup moins pour sa plume d'auteur.
Et c'est qu'il se révèle dans l'ouvrage: «Une vie pour sculpter», un recueil de 300 pages; abondamment illustré, qu'il a commencé à rédiger dans le cadre d'un travail de doctorat, alors qu'il était étudiant à l'Université de Provence (1993-1994),
et qu'il a poursuivi à l'UQAR, en 1994-1995. Luc-Bernard Duquette, professeur d'art à l'UQAR, avait alors ouvert un poste d'artiste invité auquel il répondit. «Je connaissais Luc-Bernard depuis ma première année aux Beaux-Arts de Montréal en 1959», relate Roger Langevin, qui demeure un des rares artistes à avoir vécu de ses sculptures et avoir fait carrière dans son art. Cet ouvrage, comme il le dit, est un peu sa vie d'artiste qu'il a utilisée comme sujet d'étude.
Tout pour la sculpture
Aventurier ou téméraire, en 1975, à l'âge de 35 ans, il abandonne une carrière assurée de professeur d'arts plastiques au secondaire, pour se consacrer uniquement à la sculpture. Et il en vivra, avec famille et enfants.
Dans «Une vie pour sculpter», Roger Langevin se raconte, mais livre aussi sa passion sans bornes, voire sa rage pour la sculpture, à travers des gens, des amis, des événements, des objets et de ses propres inventions qui l'ont guidé et aidé dans sa démarche artistique. Faut l'entendre raconter les péripéties entourant sa sculpture de son père spirituel, Félix Leclerc, au Parc Lafontaine, à Montréal. «On n'a qu'une vue pour sculpter, rappelle Roger Langevin qui rêve toujours à son parc de sculptures, aux abords de la Rivière Rimouski, un ambitieux parc de 20 sculptures, sur 10 ans. «Il est prévisible que l'espace me soit alloué, encore faut-il que le temps m'en soit donné», dit-il. |
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