| Titre : | Le travail social ou l'art de l'ordinaire | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | David Puaud, Auteur | | Editeur : | Paris [France] : Editions Fabert | | Année de publication : | 2012 | | Collection : | Temps d'arrêt / Lectures | | Importance : | 61 p | | Langues : | Français | | Catégories : | Socio culturel ; Travail
| | Index. décimale : | B.03.3. Généralités | | Note de contenu : | Depuis quelques années, les travailleurs sociaux sont confrontés à des transformations de leurs missions notamment liées aux développements de logiques d’expertises sociales.
Les mots changent, les pratiques se transforment sous la
pression de discours prescriptifs et normatifs sous tendus par
des logiques comportementalistes.
Or, la vivacité du travail social repose sur des formes multiples de microtraces d’hospitalité, d’attitudes verbales et/ou non verbales, de gestes diffus …
Ce livre développe en quoi l’« art de l’ordinaire » participe à une conception alternative de faire société en prônant une
politique du « Bien Vivre ». À l’heure du mythe de la croissance, des flux d’informations, du haut débit, le paradigme du « Bien
vivre » prône le ralentissement, l’attention aux banalités,
l’hospitalité envers autrui, l’attention à l’environnement, à
l’écologie des personnes dites «autres». |
Le travail social ou l'art de l'ordinaire [texte imprimé] / David Puaud, Auteur . - Paris (107 rue de l'Université, 75007, France) : Editions Fabert, 2012 . - 61 p. - ( Temps d'arrêt / Lectures) . Langues : Français | Catégories : | Socio culturel ; Travail
| | Index. décimale : | B.03.3. Généralités | | Note de contenu : | Depuis quelques années, les travailleurs sociaux sont confrontés à des transformations de leurs missions notamment liées aux développements de logiques d’expertises sociales.
Les mots changent, les pratiques se transforment sous la
pression de discours prescriptifs et normatifs sous tendus par
des logiques comportementalistes.
Or, la vivacité du travail social repose sur des formes multiples de microtraces d’hospitalité, d’attitudes verbales et/ou non verbales, de gestes diffus …
Ce livre développe en quoi l’« art de l’ordinaire » participe à une conception alternative de faire société en prônant une
politique du « Bien Vivre ». À l’heure du mythe de la croissance, des flux d’informations, du haut débit, le paradigme du « Bien
vivre » prône le ralentissement, l’attention aux banalités,
l’hospitalité envers autrui, l’attention à l’environnement, à
l’écologie des personnes dites «autres». |
|
