Titre : | Musiciens et intermédiaires professionels | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Pierre Jeanray, Auteur | Editeur : | Bruxelles [Belgique] : Conseil de la Musique en Communauté française Wallonie-Bruxelles | Année de publication : | 2009 | Importance : | 49 p | Langues : | Français | Catégories : | Musique
| Index. décimale : | C.03.3.2. Musique non-classique | Résumé : | Une activité professionnelle s'exerce toujours dans le cadre d'échanges et de relations avec autrui. Les musiciens, en recherche d'engagements, mais aussi de publics, ne dérogent pas à cette règle. Bien au contraire, les métiers de la musique s'organisent la plupart du temps avec l'intervention de nombreux opérateurs.
Le premier d'entre eux est bien sûr l'employeur ou le commanditaire artistique, c'est-à -dire l'organisateur de concerts, de festivals, le responsable d'un orchestre ou encore le gérant d'un studio d'enregistrements. Plutôt que de contacter directement le musicien, il arrive fréquemment que ces commanditaires travaillent avec d'autres intervenants, servant d'intermédiaires avec l'artiste. Qui sont ces différents agents, tourneurs, imprésarios, managers et autres opérateurs propres aux métiers musicaux et artistiques ? Quel est le rôle exact de ces différents intermédiaires ? Quelles seront leurs prérogatives par rapport au musicien et quels aspects de l'activité de ce dernier prendront-ils en charge ? Et puis il y a cette nuée d'associations qui gravitent autour des scènes musicales. Ces Asbl, qui seraient propres à un ou l'autre musicien, et puis celles qui permettraient au musicien de se faire engager "plus facilement" par des employeurs artistiques. Quelle est l'utilité, - mais aussi la légalité ! -, de telles associations? Récemment, sont par ailleurs apparus des Bureaux sociaux pour artistes. Quel est le rôle et la place de ceux-ci ? Y a-t-il là création d'intermédiaires supplémentaires ? Quelles sont les spécificités de ces derniers par rapport aux associations déjà existantes?
C'est qu'il est parfois difficile pour le musicien de s'y retrouver entre ces différents intervenants qui proposent une prise en charge, plus ou moins importante, de la gestion de leurs activités professionnelles. L'objectif du propos sera d'apprécier la place et les fonctions réelles de ces intermédiaires, et de comprendre quelles aides et plus-values effectives ils apportent aux musiciens dans la gestion de leur carrière professionnelle. Outre leur cadre d'intervention et l'utilité réelle de ces opérateurs, seront également examinées les conséquences en découlant pour les musiciens, entre autres, les contraintes et obligations que de telles interventions feraient naître à leur charge.
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Musiciens et intermédiaires professionels [texte imprimé] / Pierre Jeanray, Auteur . - Bruxelles (1000, Belgique) : Conseil de la Musique en Communauté française Wallonie-Bruxelles, 2009 . - 49 p. Langues : Français Catégories : | Musique
| Index. décimale : | C.03.3.2. Musique non-classique | Résumé : | Une activité professionnelle s'exerce toujours dans le cadre d'échanges et de relations avec autrui. Les musiciens, en recherche d'engagements, mais aussi de publics, ne dérogent pas à cette règle. Bien au contraire, les métiers de la musique s'organisent la plupart du temps avec l'intervention de nombreux opérateurs.
Le premier d'entre eux est bien sûr l'employeur ou le commanditaire artistique, c'est-à -dire l'organisateur de concerts, de festivals, le responsable d'un orchestre ou encore le gérant d'un studio d'enregistrements. Plutôt que de contacter directement le musicien, il arrive fréquemment que ces commanditaires travaillent avec d'autres intervenants, servant d'intermédiaires avec l'artiste. Qui sont ces différents agents, tourneurs, imprésarios, managers et autres opérateurs propres aux métiers musicaux et artistiques ? Quel est le rôle exact de ces différents intermédiaires ? Quelles seront leurs prérogatives par rapport au musicien et quels aspects de l'activité de ce dernier prendront-ils en charge ? Et puis il y a cette nuée d'associations qui gravitent autour des scènes musicales. Ces Asbl, qui seraient propres à un ou l'autre musicien, et puis celles qui permettraient au musicien de se faire engager "plus facilement" par des employeurs artistiques. Quelle est l'utilité, - mais aussi la légalité ! -, de telles associations? Récemment, sont par ailleurs apparus des Bureaux sociaux pour artistes. Quel est le rôle et la place de ceux-ci ? Y a-t-il là création d'intermédiaires supplémentaires ? Quelles sont les spécificités de ces derniers par rapport aux associations déjà existantes?
C'est qu'il est parfois difficile pour le musicien de s'y retrouver entre ces différents intervenants qui proposent une prise en charge, plus ou moins importante, de la gestion de leurs activités professionnelles. L'objectif du propos sera d'apprécier la place et les fonctions réelles de ces intermédiaires, et de comprendre quelles aides et plus-values effectives ils apportent aux musiciens dans la gestion de leur carrière professionnelle. Outre leur cadre d'intervention et l'utilité réelle de ces opérateurs, seront également examinées les conséquences en découlant pour les musiciens, entre autres, les contraintes et obligations que de telles interventions feraient naître à leur charge.
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