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Détail de l'éditeur
Jean-Pierre Marquet
localisé à :
ANGERS
Adresse :
Rue Béranger 12
49100 ANGERS FRANCE |
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Autofictions 01 / Jean-Pierre Marquet
Titre : Autofictions 01 : 01 : 12 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Marquet, Auteur Editeur : ANGERS [FRANCE] : Jean-Pierre Marquet Année de publication : 2013 Importance : 144 p ISBN/ISSN/EAN : 2000000020396 Langues : Français Catégories : Art plastique ; Artiste ; France Mots-clés : 'Collection SMartbe' Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : VU DE LOIN, CELA POURRAIT RESSEMBLER à de la bande dessinée rapportée sur des cimaises. A du dessin et collages que revisiteraient ou compléteraient textes, exclamations, titres à l’emporte-pièce. A de l’art graphique apostrophé par des déclinaisons picturales. Et pourtant, en somme comme en détail, ce n’est ni ceci, ni cela, l’une comme l’autre de ces mises en bouche péchant automatiquement par leur subordination à des paramètres esthétiques dont Jean-Pierre Marquet n’a que faire, même s’il est un érudit en matière d’arts plastiques et, qui plus est, un inspecteur en arts plastiques des collèges et lycées de sa région. Sa partition, multipliée par des dizaines et, mieux, des douzaines de séries de planches déclinées, chacune, par douze, est une sorte d’art en soi. Une expression très personnelle et qui, même vue de loin, aguiche aussitôt le regard, le surprend, l’engage à s’approcher, à détailler, à ne surtout pas se satisfaire du seul premier coup d’œil. Voici une œuvre qui se mérite et, donc, s’explore, forme et fond se jumelant avec bonheur pour nous engager dans une mise en perspective qui, en bout de course, mais en bout de course seulement, aura délivré des secrets. Des secrets qui mettent autant en joue votre plaisir de lire que celui de voir, de savoir autant que de vous dérider. Chez Marquet, il y a un peu de tout cela mais pas, vulgairement dit, façon salmigondis. Pas du tout ! Il y a de tout cela qui, mis bout à bout, image après image, réflexion après réflexion, collage après collage, réjouit à la fois votre conscience et votre adhésion à ce quelque chose de passionnant qui, visuellement, trouve sa raison dans une image qui parle aux sens et dans un ensemble texte/dessin/collages qui agite l’intellect, certains sujets pouvant s’avérer plus légers, plus souriants, plus intériorisés. Ces feuillets, ces histoires, ces séries de propos et couleurs sur des thèmes très variés sont, en quelque sorte, les histoires et images que Marquet se raconte à lui-même, à temps et à heures, sorte de journal de bord d’un homme que dévore la manie, salutaire, de codifier ses fantasmes, ses lubies, ses souvenirs, ses références, ses petits bonheurs et ses grands malheurs au rythme de feuillets qui, déclinés par douze, pourraient aussi bien être les douze coups de minuit que les douze mois d’une année. Il y a de l’absurde dans cette option répétitive de séries qui, loin de se donner le chic de treize à la douzaine, se braquent sur le chiffre 12, parce que c’est ainsi qu’il le sent. Pour cette saison, qu’on lui souhaite festive, de ses 25 ans de galerie, Alain de Wasseige est tombé sur cette perle rare (et bon marché, une idée pour vos cadeaux de Noël !), dont chaque pièce est unique, œuvre en soi qui, d’ailleurs vit fort bien extirpée de sa série. Du noir et blanc des débuts, Marquet est progressivement passé à la couleur et les deux variantes ont leurs attraits, l’artiste maniant le crayon, le collage, les couleurs, le texte et les sentences avec un sens rare de la connivence des diverses facettes entre elles. Avec un sens inné des harmonies de tons et de rythmes, de partage ajusté entre dessin, peinture et texte. Tout est à lire et à déguster entre les lignes, entre les assemblages peu ou prou éloquents. On vous y colle Beuys et Warhol ou Duchamp, Marilyn, Presley, Nabokov ou Wittgenstein. Les titres sont, en eux-mêmes, des morceaux de style : "Je planche sur le rock", "Je livre", "La force des fragiles"… Un livre, plaisir pour se retrouver chez soi avec Marquet, accompagne habilement la démonstration très contemporaine d’un artiste sans prétention, mais juste et vrai avec lui-même et, donc, avec les autres. Clin d’œil de bonne guerre, une vitrine de Jacques Lennep fait écho aux tribulations graphiques de Marquet. Lennep a déposé là quelques-uns de ses "Devoirs quotidiens"… Voici, pour vous, un monde éclaté qui prendra tout son sens lorsque vous vous éclaterez avec lui ! Autofictions 01 : 01 : 12 [texte imprimé] / Jean-Pierre Marquet, Auteur . - ANGERS (Rue Béranger 12, 49100, FRANCE) : Jean-Pierre Marquet, 2013 . - 144 p.
ISSN : 2000000020396
Langues : Français
Catégories : Art plastique ; Artiste ; France Mots-clés : 'Collection SMartbe' Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : VU DE LOIN, CELA POURRAIT RESSEMBLER à de la bande dessinée rapportée sur des cimaises. A du dessin et collages que revisiteraient ou compléteraient textes, exclamations, titres à l’emporte-pièce. A de l’art graphique apostrophé par des déclinaisons picturales. Et pourtant, en somme comme en détail, ce n’est ni ceci, ni cela, l’une comme l’autre de ces mises en bouche péchant automatiquement par leur subordination à des paramètres esthétiques dont Jean-Pierre Marquet n’a que faire, même s’il est un érudit en matière d’arts plastiques et, qui plus est, un inspecteur en arts plastiques des collèges et lycées de sa région. Sa partition, multipliée par des dizaines et, mieux, des douzaines de séries de planches déclinées, chacune, par douze, est une sorte d’art en soi. Une expression très personnelle et qui, même vue de loin, aguiche aussitôt le regard, le surprend, l’engage à s’approcher, à détailler, à ne surtout pas se satisfaire du seul premier coup d’œil. Voici une œuvre qui se mérite et, donc, s’explore, forme et fond se jumelant avec bonheur pour nous engager dans une mise en perspective qui, en bout de course, mais en bout de course seulement, aura délivré des secrets. Des secrets qui mettent autant en joue votre plaisir de lire que celui de voir, de savoir autant que de vous dérider. Chez Marquet, il y a un peu de tout cela mais pas, vulgairement dit, façon salmigondis. Pas du tout ! Il y a de tout cela qui, mis bout à bout, image après image, réflexion après réflexion, collage après collage, réjouit à la fois votre conscience et votre adhésion à ce quelque chose de passionnant qui, visuellement, trouve sa raison dans une image qui parle aux sens et dans un ensemble texte/dessin/collages qui agite l’intellect, certains sujets pouvant s’avérer plus légers, plus souriants, plus intériorisés. Ces feuillets, ces histoires, ces séries de propos et couleurs sur des thèmes très variés sont, en quelque sorte, les histoires et images que Marquet se raconte à lui-même, à temps et à heures, sorte de journal de bord d’un homme que dévore la manie, salutaire, de codifier ses fantasmes, ses lubies, ses souvenirs, ses références, ses petits bonheurs et ses grands malheurs au rythme de feuillets qui, déclinés par douze, pourraient aussi bien être les douze coups de minuit que les douze mois d’une année. Il y a de l’absurde dans cette option répétitive de séries qui, loin de se donner le chic de treize à la douzaine, se braquent sur le chiffre 12, parce que c’est ainsi qu’il le sent. Pour cette saison, qu’on lui souhaite festive, de ses 25 ans de galerie, Alain de Wasseige est tombé sur cette perle rare (et bon marché, une idée pour vos cadeaux de Noël !), dont chaque pièce est unique, œuvre en soi qui, d’ailleurs vit fort bien extirpée de sa série. Du noir et blanc des débuts, Marquet est progressivement passé à la couleur et les deux variantes ont leurs attraits, l’artiste maniant le crayon, le collage, les couleurs, le texte et les sentences avec un sens rare de la connivence des diverses facettes entre elles. Avec un sens inné des harmonies de tons et de rythmes, de partage ajusté entre dessin, peinture et texte. Tout est à lire et à déguster entre les lignes, entre les assemblages peu ou prou éloquents. On vous y colle Beuys et Warhol ou Duchamp, Marilyn, Presley, Nabokov ou Wittgenstein. Les titres sont, en eux-mêmes, des morceaux de style : "Je planche sur le rock", "Je livre", "La force des fragiles"… Un livre, plaisir pour se retrouver chez soi avec Marquet, accompagne habilement la démonstration très contemporaine d’un artiste sans prétention, mais juste et vrai avec lui-même et, donc, avec les autres. Clin d’œil de bonne guerre, une vitrine de Jacques Lennep fait écho aux tribulations graphiques de Marquet. Lennep a déposé là quelques-uns de ses "Devoirs quotidiens"… Voici, pour vous, un monde éclaté qui prendra tout son sens lorsque vous vous éclaterez avec lui ! Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1640a C.04. MAR.A. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Autofictions 02 : Juliet Art Magazine / Jean-Pierre Marquet
Titre : Autofictions 02 : Juliet Art Magazine : 02 : 12 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Marquet, Auteur Editeur : ANGERS [FRANCE] : Jean-Pierre Marquet Année de publication : 2007 Importance : 144 p ISBN/ISSN/EAN : 2000000020402 Langues : Français Catégories : Art plastique ; Artiste ; France Mots-clés : 'Collection SMartbe' Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : VU DE LOIN, CELA POURRAIT RESSEMBLER à de la bande dessinée rapportée sur des cimaises. A du dessin et collages que revisiteraient ou compléteraient textes, exclamations, titres à l’emporte-pièce. A de l’art graphique apostrophé par des déclinaisons picturales. Et pourtant, en somme comme en détail, ce n’est ni ceci, ni cela, l’une comme l’autre de ces mises en bouche péchant automatiquement par leur subordination à des paramètres esthétiques dont Jean-Pierre Marquet n’a que faire, même s’il est un érudit en matière d’arts plastiques et, qui plus est, un inspecteur en arts plastiques des collèges et lycées de sa région. Sa partition, multipliée par des dizaines et, mieux, des douzaines de séries de planches déclinées, chacune, par douze, est une sorte d’art en soi. Une expression très personnelle et qui, même vue de loin, aguiche aussitôt le regard, le surprend, l’engage à s’approcher, à détailler, à ne surtout pas se satisfaire du seul premier coup d’œil. Voici une œuvre qui se mérite et, donc, s’explore, forme et fond se jumelant avec bonheur pour nous engager dans une mise en perspective qui, en bout de course, mais en bout de course seulement, aura délivré des secrets. Des secrets qui mettent autant en joue votre plaisir de lire que celui de voir, de savoir autant que de vous dérider. Chez Marquet, il y a un peu de tout cela mais pas, vulgairement dit, façon salmigondis. Pas du tout ! Il y a de tout cela qui, mis bout à bout, image après image, réflexion après réflexion, collage après collage, réjouit à la fois votre conscience et votre adhésion à ce quelque chose de passionnant qui, visuellement, trouve sa raison dans une image qui parle aux sens et dans un ensemble texte/dessin/collages qui agite l’intellect, certains sujets pouvant s’avérer plus légers, plus souriants, plus intériorisés. Ces feuillets, ces histoires, ces séries de propos et couleurs sur des thèmes très variés sont, en quelque sorte, les histoires et images que Marquet se raconte à lui-même, à temps et à heures, sorte de journal de bord d’un homme que dévore la manie, salutaire, de codifier ses fantasmes, ses lubies, ses souvenirs, ses références, ses petits bonheurs et ses grands malheurs au rythme de feuillets qui, déclinés par douze, pourraient aussi bien être les douze coups de minuit que les douze mois d’une année. Il y a de l’absurde dans cette option répétitive de séries qui, loin de se donner le chic de treize à la douzaine, se braquent sur le chiffre 12, parce que c’est ainsi qu’il le sent. Pour cette saison, qu’on lui souhaite festive, de ses 25 ans de galerie, Alain de Wasseige est tombé sur cette perle rare (et bon marché, une idée pour vos cadeaux de Noël !), dont chaque pièce est unique, œuvre en soi qui, d’ailleurs vit fort bien extirpée de sa série. Du noir et blanc des débuts, Marquet est progressivement passé à la couleur et les deux variantes ont leurs attraits, l’artiste maniant le crayon, le collage, les couleurs, le texte et les sentences avec un sens rare de la connivence des diverses facettes entre elles. Avec un sens inné des harmonies de tons et de rythmes, de partage ajusté entre dessin, peinture et texte. Tout est à lire et à déguster entre les lignes, entre les assemblages peu ou prou éloquents. On vous y colle Beuys et Warhol ou Duchamp, Marilyn, Presley, Nabokov ou Wittgenstein. Les titres sont, en eux-mêmes, des morceaux de style : "Je planche sur le rock", "Je livre", "La force des fragiles"… Un livre, plaisir pour se retrouver chez soi avec Marquet, accompagne habilement la démonstration très contemporaine d’un artiste sans prétention, mais juste et vrai avec lui-même et, donc, avec les autres. Clin d’œil de bonne guerre, une vitrine de Jacques Lennep fait écho aux tribulations graphiques de Marquet. Lennep a déposé là quelques-uns de ses "Devoirs quotidiens"… Voici, pour vous, un monde éclaté qui prendra tout son sens lorsque vous vous éclaterez avec lui ! Autofictions 02 : Juliet Art Magazine : 02 : 12 [texte imprimé] / Jean-Pierre Marquet, Auteur . - ANGERS (Rue Béranger 12, 49100, FRANCE) : Jean-Pierre Marquet, 2007 . - 144 p.
ISSN : 2000000020402
Langues : Français
Catégories : Art plastique ; Artiste ; France Mots-clés : 'Collection SMartbe' Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : VU DE LOIN, CELA POURRAIT RESSEMBLER à de la bande dessinée rapportée sur des cimaises. A du dessin et collages que revisiteraient ou compléteraient textes, exclamations, titres à l’emporte-pièce. A de l’art graphique apostrophé par des déclinaisons picturales. Et pourtant, en somme comme en détail, ce n’est ni ceci, ni cela, l’une comme l’autre de ces mises en bouche péchant automatiquement par leur subordination à des paramètres esthétiques dont Jean-Pierre Marquet n’a que faire, même s’il est un érudit en matière d’arts plastiques et, qui plus est, un inspecteur en arts plastiques des collèges et lycées de sa région. Sa partition, multipliée par des dizaines et, mieux, des douzaines de séries de planches déclinées, chacune, par douze, est une sorte d’art en soi. Une expression très personnelle et qui, même vue de loin, aguiche aussitôt le regard, le surprend, l’engage à s’approcher, à détailler, à ne surtout pas se satisfaire du seul premier coup d’œil. Voici une œuvre qui se mérite et, donc, s’explore, forme et fond se jumelant avec bonheur pour nous engager dans une mise en perspective qui, en bout de course, mais en bout de course seulement, aura délivré des secrets. Des secrets qui mettent autant en joue votre plaisir de lire que celui de voir, de savoir autant que de vous dérider. Chez Marquet, il y a un peu de tout cela mais pas, vulgairement dit, façon salmigondis. Pas du tout ! Il y a de tout cela qui, mis bout à bout, image après image, réflexion après réflexion, collage après collage, réjouit à la fois votre conscience et votre adhésion à ce quelque chose de passionnant qui, visuellement, trouve sa raison dans une image qui parle aux sens et dans un ensemble texte/dessin/collages qui agite l’intellect, certains sujets pouvant s’avérer plus légers, plus souriants, plus intériorisés. Ces feuillets, ces histoires, ces séries de propos et couleurs sur des thèmes très variés sont, en quelque sorte, les histoires et images que Marquet se raconte à lui-même, à temps et à heures, sorte de journal de bord d’un homme que dévore la manie, salutaire, de codifier ses fantasmes, ses lubies, ses souvenirs, ses références, ses petits bonheurs et ses grands malheurs au rythme de feuillets qui, déclinés par douze, pourraient aussi bien être les douze coups de minuit que les douze mois d’une année. Il y a de l’absurde dans cette option répétitive de séries qui, loin de se donner le chic de treize à la douzaine, se braquent sur le chiffre 12, parce que c’est ainsi qu’il le sent. Pour cette saison, qu’on lui souhaite festive, de ses 25 ans de galerie, Alain de Wasseige est tombé sur cette perle rare (et bon marché, une idée pour vos cadeaux de Noël !), dont chaque pièce est unique, œuvre en soi qui, d’ailleurs vit fort bien extirpée de sa série. Du noir et blanc des débuts, Marquet est progressivement passé à la couleur et les deux variantes ont leurs attraits, l’artiste maniant le crayon, le collage, les couleurs, le texte et les sentences avec un sens rare de la connivence des diverses facettes entre elles. Avec un sens inné des harmonies de tons et de rythmes, de partage ajusté entre dessin, peinture et texte. Tout est à lire et à déguster entre les lignes, entre les assemblages peu ou prou éloquents. On vous y colle Beuys et Warhol ou Duchamp, Marilyn, Presley, Nabokov ou Wittgenstein. Les titres sont, en eux-mêmes, des morceaux de style : "Je planche sur le rock", "Je livre", "La force des fragiles"… Un livre, plaisir pour se retrouver chez soi avec Marquet, accompagne habilement la démonstration très contemporaine d’un artiste sans prétention, mais juste et vrai avec lui-même et, donc, avec les autres. Clin d’œil de bonne guerre, une vitrine de Jacques Lennep fait écho aux tribulations graphiques de Marquet. Lennep a déposé là quelques-uns de ses "Devoirs quotidiens"… Voici, pour vous, un monde éclaté qui prendra tout son sens lorsque vous vous éclaterez avec lui ! Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1641a C.04. MAR.A. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Autofictions 03 : L.A.D.W. / Jean-Pierre Marquet
Titre : Autofictions 03 : L.A.D.W. : 03 : 12 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Marquet, Auteur Editeur : ANGERS [FRANCE] : Jean-Pierre Marquet Année de publication : 2006 Importance : 144 p ISBN/ISSN/EAN : 2000000020419 Langues : Français Catégories : Art plastique ; Artiste ; France Mots-clés : 'Collection SMart' Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : VU DE LOIN, CELA POURRAIT RESSEMBLER à de la bande dessinée rapportée sur des cimaises. A du dessin et collages que revisiteraient ou compléteraient textes, exclamations, titres à l’emporte-pièce. A de l’art graphique apostrophé par des déclinaisons picturales. Et pourtant, en somme comme en détail, ce n’est ni ceci, ni cela, l’une comme l’autre de ces mises en bouche péchant automatiquement par leur subordination à des paramètres esthétiques dont Jean-Pierre Marquet n’a que faire, même s’il est un érudit en matière d’arts plastiques et, qui plus est, un inspecteur en arts plastiques des collèges et lycées de sa région. Sa partition, multipliée par des dizaines et, mieux, des douzaines de séries de planches déclinées, chacune, par douze, est une sorte d’art en soi. Une expression très personnelle et qui, même vue de loin, aguiche aussitôt le regard, le surprend, l’engage à s’approcher, à détailler, à ne surtout pas se satisfaire du seul premier coup d’œil. Voici une œuvre qui se mérite et, donc, s’explore, forme et fond se jumelant avec bonheur pour nous engager dans une mise en perspective qui, en bout de course, mais en bout de course seulement, aura délivré des secrets. Des secrets qui mettent autant en joue votre plaisir de lire que celui de voir, de savoir autant que de vous dérider. Chez Marquet, il y a un peu de tout cela mais pas, vulgairement dit, façon salmigondis. Pas du tout ! Il y a de tout cela qui, mis bout à bout, image après image, réflexion après réflexion, collage après collage, réjouit à la fois votre conscience et votre adhésion à ce quelque chose de passionnant qui, visuellement, trouve sa raison dans une image qui parle aux sens et dans un ensemble texte/dessin/collages qui agite l’intellect, certains sujets pouvant s’avérer plus légers, plus souriants, plus intériorisés. Ces feuillets, ces histoires, ces séries de propos et couleurs sur des thèmes très variés sont, en quelque sorte, les histoires et images que Marquet se raconte à lui-même, à temps et à heures, sorte de journal de bord d’un homme que dévore la manie, salutaire, de codifier ses fantasmes, ses lubies, ses souvenirs, ses références, ses petits bonheurs et ses grands malheurs au rythme de feuillets qui, déclinés par douze, pourraient aussi bien être les douze coups de minuit que les douze mois d’une année. Il y a de l’absurde dans cette option répétitive de séries qui, loin de se donner le chic de treize à la douzaine, se braquent sur le chiffre 12, parce que c’est ainsi qu’il le sent. Pour cette saison, qu’on lui souhaite festive, de ses 25 ans de galerie, Alain de Wasseige est tombé sur cette perle rare (et bon marché, une idée pour vos cadeaux de Noël !), dont chaque pièce est unique, œuvre en soi qui, d’ailleurs vit fort bien extirpée de sa série. Du noir et blanc des débuts, Marquet est progressivement passé à la couleur et les deux variantes ont leurs attraits, l’artiste maniant le crayon, le collage, les couleurs, le texte et les sentences avec un sens rare de la connivence des diverses facettes entre elles. Avec un sens inné des harmonies de tons et de rythmes, de partage ajusté entre dessin, peinture et texte. Tout est à lire et à déguster entre les lignes, entre les assemblages peu ou prou éloquents. On vous y colle Beuys et Warhol ou Duchamp, Marilyn, Presley, Nabokov ou Wittgenstein. Les titres sont, en eux-mêmes, des morceaux de style : "Je planche sur le rock", "Je livre", "La force des fragiles"… Un livre, plaisir pour se retrouver chez soi avec Marquet, accompagne habilement la démonstration très contemporaine d’un artiste sans prétention, mais juste et vrai avec lui-même et, donc, avec les autres. Clin d’œil de bonne guerre, une vitrine de Jacques Lennep fait écho aux tribulations graphiques de Marquet. Lennep a déposé là quelques-uns de ses "Devoirs quotidiens"… Voici, pour vous, un monde éclaté qui prendra tout son sens lorsque vous vous éclaterez avec lui ! Autofictions 03 : L.A.D.W. : 03 : 12 [texte imprimé] / Jean-Pierre Marquet, Auteur . - ANGERS (Rue Béranger 12, 49100, FRANCE) : Jean-Pierre Marquet, 2006 . - 144 p.
ISSN : 2000000020419
Langues : Français
Catégories : Art plastique ; Artiste ; France Mots-clés : 'Collection SMart' Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : VU DE LOIN, CELA POURRAIT RESSEMBLER à de la bande dessinée rapportée sur des cimaises. A du dessin et collages que revisiteraient ou compléteraient textes, exclamations, titres à l’emporte-pièce. A de l’art graphique apostrophé par des déclinaisons picturales. Et pourtant, en somme comme en détail, ce n’est ni ceci, ni cela, l’une comme l’autre de ces mises en bouche péchant automatiquement par leur subordination à des paramètres esthétiques dont Jean-Pierre Marquet n’a que faire, même s’il est un érudit en matière d’arts plastiques et, qui plus est, un inspecteur en arts plastiques des collèges et lycées de sa région. Sa partition, multipliée par des dizaines et, mieux, des douzaines de séries de planches déclinées, chacune, par douze, est une sorte d’art en soi. Une expression très personnelle et qui, même vue de loin, aguiche aussitôt le regard, le surprend, l’engage à s’approcher, à détailler, à ne surtout pas se satisfaire du seul premier coup d’œil. Voici une œuvre qui se mérite et, donc, s’explore, forme et fond se jumelant avec bonheur pour nous engager dans une mise en perspective qui, en bout de course, mais en bout de course seulement, aura délivré des secrets. Des secrets qui mettent autant en joue votre plaisir de lire que celui de voir, de savoir autant que de vous dérider. Chez Marquet, il y a un peu de tout cela mais pas, vulgairement dit, façon salmigondis. Pas du tout ! Il y a de tout cela qui, mis bout à bout, image après image, réflexion après réflexion, collage après collage, réjouit à la fois votre conscience et votre adhésion à ce quelque chose de passionnant qui, visuellement, trouve sa raison dans une image qui parle aux sens et dans un ensemble texte/dessin/collages qui agite l’intellect, certains sujets pouvant s’avérer plus légers, plus souriants, plus intériorisés. Ces feuillets, ces histoires, ces séries de propos et couleurs sur des thèmes très variés sont, en quelque sorte, les histoires et images que Marquet se raconte à lui-même, à temps et à heures, sorte de journal de bord d’un homme que dévore la manie, salutaire, de codifier ses fantasmes, ses lubies, ses souvenirs, ses références, ses petits bonheurs et ses grands malheurs au rythme de feuillets qui, déclinés par douze, pourraient aussi bien être les douze coups de minuit que les douze mois d’une année. Il y a de l’absurde dans cette option répétitive de séries qui, loin de se donner le chic de treize à la douzaine, se braquent sur le chiffre 12, parce que c’est ainsi qu’il le sent. Pour cette saison, qu’on lui souhaite festive, de ses 25 ans de galerie, Alain de Wasseige est tombé sur cette perle rare (et bon marché, une idée pour vos cadeaux de Noël !), dont chaque pièce est unique, œuvre en soi qui, d’ailleurs vit fort bien extirpée de sa série. Du noir et blanc des débuts, Marquet est progressivement passé à la couleur et les deux variantes ont leurs attraits, l’artiste maniant le crayon, le collage, les couleurs, le texte et les sentences avec un sens rare de la connivence des diverses facettes entre elles. Avec un sens inné des harmonies de tons et de rythmes, de partage ajusté entre dessin, peinture et texte. Tout est à lire et à déguster entre les lignes, entre les assemblages peu ou prou éloquents. On vous y colle Beuys et Warhol ou Duchamp, Marilyn, Presley, Nabokov ou Wittgenstein. Les titres sont, en eux-mêmes, des morceaux de style : "Je planche sur le rock", "Je livre", "La force des fragiles"… Un livre, plaisir pour se retrouver chez soi avec Marquet, accompagne habilement la démonstration très contemporaine d’un artiste sans prétention, mais juste et vrai avec lui-même et, donc, avec les autres. Clin d’œil de bonne guerre, une vitrine de Jacques Lennep fait écho aux tribulations graphiques de Marquet. Lennep a déposé là quelques-uns de ses "Devoirs quotidiens"… Voici, pour vous, un monde éclaté qui prendra tout son sens lorsque vous vous éclaterez avec lui ! Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1642a C.04. MAR.A. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Autofictions 04 : Noir / Jean-Pierre Marquet
Titre : Autofictions 04 : Noir : 04 : 12 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Marquet, Auteur Editeur : ANGERS [FRANCE] : Jean-Pierre Marquet Année de publication : 2006 Importance : 144 p ISBN/ISSN/EAN : 2000000020426 Langues : Français Catégories : Art plastique ; Artiste ; France Mots-clés : 'Collection Smart' Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : VU DE LOIN, CELA POURRAIT RESSEMBLER à de la bande dessinée rapportée sur des cimaises. A du dessin et collages que revisiteraient ou compléteraient textes, exclamations, titres à l’emporte-pièce. A de l’art graphique apostrophé par des déclinaisons picturales. Et pourtant, en somme comme en détail, ce n’est ni ceci, ni cela, l’une comme l’autre de ces mises en bouche péchant automatiquement par leur subordination à des paramètres esthétiques dont Jean-Pierre Marquet n’a que faire, même s’il est un érudit en matière d’arts plastiques et, qui plus est, un inspecteur en arts plastiques des collèges et lycées de sa région. Sa partition, multipliée par des dizaines et, mieux, des douzaines de séries de planches déclinées, chacune, par douze, est une sorte d’art en soi. Une expression très personnelle et qui, même vue de loin, aguiche aussitôt le regard, le surprend, l’engage à s’approcher, à détailler, à ne surtout pas se satisfaire du seul premier coup d’œil. Voici une œuvre qui se mérite et, donc, s’explore, forme et fond se jumelant avec bonheur pour nous engager dans une mise en perspective qui, en bout de course, mais en bout de course seulement, aura délivré des secrets. Des secrets qui mettent autant en joue votre plaisir de lire que celui de voir, de savoir autant que de vous dérider. Chez Marquet, il y a un peu de tout cela mais pas, vulgairement dit, façon salmigondis. Pas du tout ! Il y a de tout cela qui, mis bout à bout, image après image, réflexion après réflexion, collage après collage, réjouit à la fois votre conscience et votre adhésion à ce quelque chose de passionnant qui, visuellement, trouve sa raison dans une image qui parle aux sens et dans un ensemble texte/dessin/collages qui agite l’intellect, certains sujets pouvant s’avérer plus légers, plus souriants, plus intériorisés. Ces feuillets, ces histoires, ces séries de propos et couleurs sur des thèmes très variés sont, en quelque sorte, les histoires et images que Marquet se raconte à lui-même, à temps et à heures, sorte de journal de bord d’un homme que dévore la manie, salutaire, de codifier ses fantasmes, ses lubies, ses souvenirs, ses références, ses petits bonheurs et ses grands malheurs au rythme de feuillets qui, déclinés par douze, pourraient aussi bien être les douze coups de minuit que les douze mois d’une année. Il y a de l’absurde dans cette option répétitive de séries qui, loin de se donner le chic de treize à la douzaine, se braquent sur le chiffre 12, parce que c’est ainsi qu’il le sent. Pour cette saison, qu’on lui souhaite festive, de ses 25 ans de galerie, Alain de Wasseige est tombé sur cette perle rare (et bon marché, une idée pour vos cadeaux de Noël !), dont chaque pièce est unique, œuvre en soi qui, d’ailleurs vit fort bien extirpée de sa série. Du noir et blanc des débuts, Marquet est progressivement passé à la couleur et les deux variantes ont leurs attraits, l’artiste maniant le crayon, le collage, les couleurs, le texte et les sentences avec un sens rare de la connivence des diverses facettes entre elles. Avec un sens inné des harmonies de tons et de rythmes, de partage ajusté entre dessin, peinture et texte. Tout est à lire et à déguster entre les lignes, entre les assemblages peu ou prou éloquents. On vous y colle Beuys et Warhol ou Duchamp, Marilyn, Presley, Nabokov ou Wittgenstein. Les titres sont, en eux-mêmes, des morceaux de style : "Je planche sur le rock", "Je livre", "La force des fragiles"… Un livre, plaisir pour se retrouver chez soi avec Marquet, accompagne habilement la démonstration très contemporaine d’un artiste sans prétention, mais juste et vrai avec lui-même et, donc, avec les autres. Clin d’œil de bonne guerre, une vitrine de Jacques Lennep fait écho aux tribulations graphiques de Marquet. Lennep a déposé là quelques-uns de ses "Devoirs quotidiens"… Voici, pour vous, un monde éclaté qui prendra tout son sens lorsque vous vous éclaterez avec lui ! Autofictions 04 : Noir : 04 : 12 [texte imprimé] / Jean-Pierre Marquet, Auteur . - ANGERS (Rue Béranger 12, 49100, FRANCE) : Jean-Pierre Marquet, 2006 . - 144 p.
ISSN : 2000000020426
Langues : Français
Catégories : Art plastique ; Artiste ; France Mots-clés : 'Collection Smart' Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : VU DE LOIN, CELA POURRAIT RESSEMBLER à de la bande dessinée rapportée sur des cimaises. A du dessin et collages que revisiteraient ou compléteraient textes, exclamations, titres à l’emporte-pièce. A de l’art graphique apostrophé par des déclinaisons picturales. Et pourtant, en somme comme en détail, ce n’est ni ceci, ni cela, l’une comme l’autre de ces mises en bouche péchant automatiquement par leur subordination à des paramètres esthétiques dont Jean-Pierre Marquet n’a que faire, même s’il est un érudit en matière d’arts plastiques et, qui plus est, un inspecteur en arts plastiques des collèges et lycées de sa région. Sa partition, multipliée par des dizaines et, mieux, des douzaines de séries de planches déclinées, chacune, par douze, est une sorte d’art en soi. Une expression très personnelle et qui, même vue de loin, aguiche aussitôt le regard, le surprend, l’engage à s’approcher, à détailler, à ne surtout pas se satisfaire du seul premier coup d’œil. Voici une œuvre qui se mérite et, donc, s’explore, forme et fond se jumelant avec bonheur pour nous engager dans une mise en perspective qui, en bout de course, mais en bout de course seulement, aura délivré des secrets. Des secrets qui mettent autant en joue votre plaisir de lire que celui de voir, de savoir autant que de vous dérider. Chez Marquet, il y a un peu de tout cela mais pas, vulgairement dit, façon salmigondis. Pas du tout ! Il y a de tout cela qui, mis bout à bout, image après image, réflexion après réflexion, collage après collage, réjouit à la fois votre conscience et votre adhésion à ce quelque chose de passionnant qui, visuellement, trouve sa raison dans une image qui parle aux sens et dans un ensemble texte/dessin/collages qui agite l’intellect, certains sujets pouvant s’avérer plus légers, plus souriants, plus intériorisés. Ces feuillets, ces histoires, ces séries de propos et couleurs sur des thèmes très variés sont, en quelque sorte, les histoires et images que Marquet se raconte à lui-même, à temps et à heures, sorte de journal de bord d’un homme que dévore la manie, salutaire, de codifier ses fantasmes, ses lubies, ses souvenirs, ses références, ses petits bonheurs et ses grands malheurs au rythme de feuillets qui, déclinés par douze, pourraient aussi bien être les douze coups de minuit que les douze mois d’une année. Il y a de l’absurde dans cette option répétitive de séries qui, loin de se donner le chic de treize à la douzaine, se braquent sur le chiffre 12, parce que c’est ainsi qu’il le sent. Pour cette saison, qu’on lui souhaite festive, de ses 25 ans de galerie, Alain de Wasseige est tombé sur cette perle rare (et bon marché, une idée pour vos cadeaux de Noël !), dont chaque pièce est unique, œuvre en soi qui, d’ailleurs vit fort bien extirpée de sa série. Du noir et blanc des débuts, Marquet est progressivement passé à la couleur et les deux variantes ont leurs attraits, l’artiste maniant le crayon, le collage, les couleurs, le texte et les sentences avec un sens rare de la connivence des diverses facettes entre elles. Avec un sens inné des harmonies de tons et de rythmes, de partage ajusté entre dessin, peinture et texte. Tout est à lire et à déguster entre les lignes, entre les assemblages peu ou prou éloquents. On vous y colle Beuys et Warhol ou Duchamp, Marilyn, Presley, Nabokov ou Wittgenstein. Les titres sont, en eux-mêmes, des morceaux de style : "Je planche sur le rock", "Je livre", "La force des fragiles"… Un livre, plaisir pour se retrouver chez soi avec Marquet, accompagne habilement la démonstration très contemporaine d’un artiste sans prétention, mais juste et vrai avec lui-même et, donc, avec les autres. Clin d’œil de bonne guerre, une vitrine de Jacques Lennep fait écho aux tribulations graphiques de Marquet. Lennep a déposé là quelques-uns de ses "Devoirs quotidiens"… Voici, pour vous, un monde éclaté qui prendra tout son sens lorsque vous vous éclaterez avec lui ! Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1643a C.04. MAR.A. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Autofictions 05 : Amuseum / Jean-Pierre Marquet
Titre : Autofictions 05 : Amuseum : 05 : 12 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Marquet, Auteur Editeur : ANGERS [FRANCE] : Jean-Pierre Marquet Année de publication : 2007 Importance : 144 p ISBN/ISSN/EAN : 2000000020433 Langues : Français Catégories : Art plastique ; Artiste ; France Mots-clés : 'Collection SMart' Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : VU DE LOIN, CELA POURRAIT RESSEMBLER à de la bande dessinée rapportée sur des cimaises. A du dessin et collages que revisiteraient ou compléteraient textes, exclamations, titres à l’emporte-pièce. A de l’art graphique apostrophé par des déclinaisons picturales. Et pourtant, en somme comme en détail, ce n’est ni ceci, ni cela, l’une comme l’autre de ces mises en bouche péchant automatiquement par leur subordination à des paramètres esthétiques dont Jean-Pierre Marquet n’a que faire, même s’il est un érudit en matière d’arts plastiques et, qui plus est, un inspecteur en arts plastiques des collèges et lycées de sa région. Sa partition, multipliée par des dizaines et, mieux, des douzaines de séries de planches déclinées, chacune, par douze, est une sorte d’art en soi. Une expression très personnelle et qui, même vue de loin, aguiche aussitôt le regard, le surprend, l’engage à s’approcher, à détailler, à ne surtout pas se satisfaire du seul premier coup d’œil. Voici une œuvre qui se mérite et, donc, s’explore, forme et fond se jumelant avec bonheur pour nous engager dans une mise en perspective qui, en bout de course, mais en bout de course seulement, aura délivré des secrets. Des secrets qui mettent autant en joue votre plaisir de lire que celui de voir, de savoir autant que de vous dérider. Chez Marquet, il y a un peu de tout cela mais pas, vulgairement dit, façon salmigondis. Pas du tout ! Il y a de tout cela qui, mis bout à bout, image après image, réflexion après réflexion, collage après collage, réjouit à la fois votre conscience et votre adhésion à ce quelque chose de passionnant qui, visuellement, trouve sa raison dans une image qui parle aux sens et dans un ensemble texte/dessin/collages qui agite l’intellect, certains sujets pouvant s’avérer plus légers, plus souriants, plus intériorisés. Ces feuillets, ces histoires, ces séries de propos et couleurs sur des thèmes très variés sont, en quelque sorte, les histoires et images que Marquet se raconte à lui-même, à temps et à heures, sorte de journal de bord d’un homme que dévore la manie, salutaire, de codifier ses fantasmes, ses lubies, ses souvenirs, ses références, ses petits bonheurs et ses grands malheurs au rythme de feuillets qui, déclinés par douze, pourraient aussi bien être les douze coups de minuit que les douze mois d’une année. Il y a de l’absurde dans cette option répétitive de séries qui, loin de se donner le chic de treize à la douzaine, se braquent sur le chiffre 12, parce que c’est ainsi qu’il le sent. Pour cette saison, qu’on lui souhaite festive, de ses 25 ans de galerie, Alain de Wasseige est tombé sur cette perle rare (et bon marché, une idée pour vos cadeaux de Noël !), dont chaque pièce est unique, œuvre en soi qui, d’ailleurs vit fort bien extirpée de sa série. Du noir et blanc des débuts, Marquet est progressivement passé à la couleur et les deux variantes ont leurs attraits, l’artiste maniant le crayon, le collage, les couleurs, le texte et les sentences avec un sens rare de la connivence des diverses facettes entre elles. Avec un sens inné des harmonies de tons et de rythmes, de partage ajusté entre dessin, peinture et texte. Tout est à lire et à déguster entre les lignes, entre les assemblages peu ou prou éloquents. On vous y colle Beuys et Warhol ou Duchamp, Marilyn, Presley, Nabokov ou Wittgenstein. Les titres sont, en eux-mêmes, des morceaux de style : "Je planche sur le rock", "Je livre", "La force des fragiles"… Un livre, plaisir pour se retrouver chez soi avec Marquet, accompagne habilement la démonstration très contemporaine d’un artiste sans prétention, mais juste et vrai avec lui-même et, donc, avec les autres. Clin d’œil de bonne guerre, une vitrine de Jacques Lennep fait écho aux tribulations graphiques de Marquet. Lennep a déposé là quelques-uns de ses "Devoirs quotidiens"… Voici, pour vous, un monde éclaté qui prendra tout son sens lorsque vous vous éclaterez avec lui ! Autofictions 05 : Amuseum : 05 : 12 [texte imprimé] / Jean-Pierre Marquet, Auteur . - ANGERS (Rue Béranger 12, 49100, FRANCE) : Jean-Pierre Marquet, 2007 . - 144 p.
ISSN : 2000000020433
Langues : Français
Catégories : Art plastique ; Artiste ; France Mots-clés : 'Collection SMart' Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : VU DE LOIN, CELA POURRAIT RESSEMBLER à de la bande dessinée rapportée sur des cimaises. A du dessin et collages que revisiteraient ou compléteraient textes, exclamations, titres à l’emporte-pièce. A de l’art graphique apostrophé par des déclinaisons picturales. Et pourtant, en somme comme en détail, ce n’est ni ceci, ni cela, l’une comme l’autre de ces mises en bouche péchant automatiquement par leur subordination à des paramètres esthétiques dont Jean-Pierre Marquet n’a que faire, même s’il est un érudit en matière d’arts plastiques et, qui plus est, un inspecteur en arts plastiques des collèges et lycées de sa région. Sa partition, multipliée par des dizaines et, mieux, des douzaines de séries de planches déclinées, chacune, par douze, est une sorte d’art en soi. Une expression très personnelle et qui, même vue de loin, aguiche aussitôt le regard, le surprend, l’engage à s’approcher, à détailler, à ne surtout pas se satisfaire du seul premier coup d’œil. Voici une œuvre qui se mérite et, donc, s’explore, forme et fond se jumelant avec bonheur pour nous engager dans une mise en perspective qui, en bout de course, mais en bout de course seulement, aura délivré des secrets. Des secrets qui mettent autant en joue votre plaisir de lire que celui de voir, de savoir autant que de vous dérider. Chez Marquet, il y a un peu de tout cela mais pas, vulgairement dit, façon salmigondis. Pas du tout ! Il y a de tout cela qui, mis bout à bout, image après image, réflexion après réflexion, collage après collage, réjouit à la fois votre conscience et votre adhésion à ce quelque chose de passionnant qui, visuellement, trouve sa raison dans une image qui parle aux sens et dans un ensemble texte/dessin/collages qui agite l’intellect, certains sujets pouvant s’avérer plus légers, plus souriants, plus intériorisés. Ces feuillets, ces histoires, ces séries de propos et couleurs sur des thèmes très variés sont, en quelque sorte, les histoires et images que Marquet se raconte à lui-même, à temps et à heures, sorte de journal de bord d’un homme que dévore la manie, salutaire, de codifier ses fantasmes, ses lubies, ses souvenirs, ses références, ses petits bonheurs et ses grands malheurs au rythme de feuillets qui, déclinés par douze, pourraient aussi bien être les douze coups de minuit que les douze mois d’une année. Il y a de l’absurde dans cette option répétitive de séries qui, loin de se donner le chic de treize à la douzaine, se braquent sur le chiffre 12, parce que c’est ainsi qu’il le sent. Pour cette saison, qu’on lui souhaite festive, de ses 25 ans de galerie, Alain de Wasseige est tombé sur cette perle rare (et bon marché, une idée pour vos cadeaux de Noël !), dont chaque pièce est unique, œuvre en soi qui, d’ailleurs vit fort bien extirpée de sa série. Du noir et blanc des débuts, Marquet est progressivement passé à la couleur et les deux variantes ont leurs attraits, l’artiste maniant le crayon, le collage, les couleurs, le texte et les sentences avec un sens rare de la connivence des diverses facettes entre elles. Avec un sens inné des harmonies de tons et de rythmes, de partage ajusté entre dessin, peinture et texte. Tout est à lire et à déguster entre les lignes, entre les assemblages peu ou prou éloquents. On vous y colle Beuys et Warhol ou Duchamp, Marilyn, Presley, Nabokov ou Wittgenstein. Les titres sont, en eux-mêmes, des morceaux de style : "Je planche sur le rock", "Je livre", "La force des fragiles"… Un livre, plaisir pour se retrouver chez soi avec Marquet, accompagne habilement la démonstration très contemporaine d’un artiste sans prétention, mais juste et vrai avec lui-même et, donc, avec les autres. Clin d’œil de bonne guerre, une vitrine de Jacques Lennep fait écho aux tribulations graphiques de Marquet. Lennep a déposé là quelques-uns de ses "Devoirs quotidiens"… Voici, pour vous, un monde éclaté qui prendra tout son sens lorsque vous vous éclaterez avec lui ! Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1644a C.04. MAR.A. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Autofictions 06 : Anti & moi / Jean-Pierre Marquet
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