Titre : | MA VIE s'appelle peut-être | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Paul Bloas, Auteur ; Laurence Mauriaucourt, Auteur ; Jean-Bernard Pouy, Auteur | Editeur : | Roubaix [France] : Travail et Culture | Année de publication : | 2008 | Importance : | 48 p | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-84393-116-1 | Langues : | Français | Catégories : | Artiste ; Auteur ; Culture ; Pauvreté ; Peinture ; Précarité
| Index. décimale : | B.03.6. Pauvreté | Note de contenu : | Ma vie s'appelle « peut être » est un projet qui s’est déroulé pendant un peu plus d'un an à Valenciennes dans le cadre de Valenciennes Capitale régionale de la Culture autour de la question de la précarité. Comment les personnes vivent la précarité dans leur travail, chez eux ou dans leurs relations sociales ? Comment continuent-elles de construire et d'inventer leurs vies ? Quelle place pour leurs paroles dans la cité et comment les rendre publiques ? Le travail et l'engagement de deux créateurs, plasticien et écrivain, en résidence. Paul Bloas et Jean Bernard Pouy auront été la pierre angulaire de cette aventure. Leurs rencontres avec des personnes en situation précaire, puis leur volonté à évoquer et traduire par la peinture et les mots, la fragilité, l'incertain, l'instable, l'éphémère, le manque, ont été une étape décisive de ce projet. A l’issue de cette période de résidence, cette action a fait l'objet de trois formes de restitutions : Dès septembre 2007, 70 « géants » peints par Paul Bloas habitent l'espace de la ville, certains accompagnés de courtes phrases de Jean Bernard Pouy, anti-slogans offerts à la perspicacité, l'interprétation voire l'incrédulité des passants, jeunes et vieux, habitants et travailleurs, précaires ou non. L'organisation d'une série de six lectures musicales et poétiques pendant les journées du patrimoine jalonnaient le parcours du tramway à la rencontre de ces personnages de peinture. L'édition du livre Ma vie s'appelle « peut être » en février 2008 composé du récit « épique » du collage des images par JB Pouy, de photographies des peintures de Paul Bloas en situation et d'un texte de la journaliste Laurence Mauriaucourt sur ce que « l'art fait à la cité », captation minutieuse et subjective des réactions souvent contrastées des passants découvrant ces oeuvres, elles-mêmes précaires. |
MA VIE s'appelle peut-être [texte imprimé] / Paul Bloas, Auteur ; Laurence Mauriaucourt, Auteur ; Jean-Bernard Pouy, Auteur . - Roubaix (Boulevard de Strasbourg 64, 59100, France) : Travail et Culture, 2008 . - 48 p. ISBN : 978-2-84393-116-1 Langues : Français Catégories : | Artiste ; Auteur ; Culture ; Pauvreté ; Peinture ; Précarité
| Index. décimale : | B.03.6. Pauvreté | Note de contenu : | Ma vie s'appelle « peut être » est un projet qui s’est déroulé pendant un peu plus d'un an à Valenciennes dans le cadre de Valenciennes Capitale régionale de la Culture autour de la question de la précarité. Comment les personnes vivent la précarité dans leur travail, chez eux ou dans leurs relations sociales ? Comment continuent-elles de construire et d'inventer leurs vies ? Quelle place pour leurs paroles dans la cité et comment les rendre publiques ? Le travail et l'engagement de deux créateurs, plasticien et écrivain, en résidence. Paul Bloas et Jean Bernard Pouy auront été la pierre angulaire de cette aventure. Leurs rencontres avec des personnes en situation précaire, puis leur volonté à évoquer et traduire par la peinture et les mots, la fragilité, l'incertain, l'instable, l'éphémère, le manque, ont été une étape décisive de ce projet. A l’issue de cette période de résidence, cette action a fait l'objet de trois formes de restitutions : Dès septembre 2007, 70 « géants » peints par Paul Bloas habitent l'espace de la ville, certains accompagnés de courtes phrases de Jean Bernard Pouy, anti-slogans offerts à la perspicacité, l'interprétation voire l'incrédulité des passants, jeunes et vieux, habitants et travailleurs, précaires ou non. L'organisation d'une série de six lectures musicales et poétiques pendant les journées du patrimoine jalonnaient le parcours du tramway à la rencontre de ces personnages de peinture. L'édition du livre Ma vie s'appelle « peut être » en février 2008 composé du récit « épique » du collage des images par JB Pouy, de photographies des peintures de Paul Bloas en situation et d'un texte de la journaliste Laurence Mauriaucourt sur ce que « l'art fait à la cité », captation minutieuse et subjective des réactions souvent contrastées des passants découvrant ces oeuvres, elles-mêmes précaires. |
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