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Le catalogue répertorie plus de 3000 ressources liées aux champs d’actions thématiques des quatre organisations partenaires, parmi lesquels : sociologie de l’art et de la culture, politiques culturelles, mouvement coopératif, entrepreneuriat solidaire, économie sociale.
Une partie des ressources dite « vive » est directement accessible dans le centre de documentation, une autre partie est archivée.
Ce fonds documentaire multilingue regroupe des ouvrages scientifiques, des essais, des guides pratiques, des thèses, des revues, des dossiers, des publications sur supports numériques, ….
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La Revue Nouvelle, 9. Pour la démocratie, prendre au sérieux le populisme / Van Campenhoudt Luc
Titre de série : La Revue Nouvelle, 9 Titre : Pour la démocratie, prendre au sérieux le populisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Van Campenhoudt Luc, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : La Revue Nouvelle Année de publication : 2012 Importance : 98 p Langues : Français Catégories : Analyse ; Démocratie Index. décimale : B.01.1. Démocratie Note de contenu : édito
Les trois victimes de l’affaire Martin: Luc Van Campenhoudt
le mois
Les nostalgiques du sang et les pigeons du décalogue: Dan Kaminski
On ne connait pas le dossier: Joëlle Kwaschin
Louvain-la-Neuve a quarante ans. Des utopies bâtisseuses aux confrontations refondatrices: Paul Thielen
Kokopelli : faut-il libéraliser le marché des semences ?:Paul Nihoul
Du flash trading au robot pricing : l’innovation d’Amazon: Roberto Fernandez
Une trilogie de la crise grecque: Paul Palsterman
Silvio Berlusconi : retour gagnant ?: Giuseppe Santoliquido
Une fois de plus, c’est la « guerre » au Kivu: Jean-Claude Willame
Bahman Ahmadi Amouee : un prisonnier d’opinion iranien emblématique: Pierre Vanrie; Pierre Goubert, historien (1915-2012); Jean-Pierre Nandrin.
billet humeur
Immigration. La logique de crise et le rôle de l’idéologie:
Thomas Dechamps
dossier
Pour la démocratie, prendre au sérieux le populisme
Luc Van Campenhoudt
La démocratie et le populisme dans l’arène politique :
Albert Bastenier
En vérité, je vous le dis !: Marcel Sel
Le populisme italien : de Giulio Andreotti à Beppe Grillo
Giuseppe Santoliquido
Le Caïman, plus qu’un pamphlet: Béatrice Chapaux
un livre
Participer, essai sur les formes démocratiques de la participation, de Joëlle Zask, Ludivine Damay, Hervé Pourtois.
articles
La vie des scientifiques: Lise Thiry
Québec. Le printemps érable: Philippe Barré
Vite faire ses courses: Jacques Vandenschrick
La Revue Nouvelle, 9. Pour la démocratie, prendre au sérieux le populisme [texte imprimé] / Van Campenhoudt Luc, Auteur . - Bruxelles (1050, Belgique) : La Revue Nouvelle, 2012 . - 98 p.
Langues : Français
Catégories : Analyse ; Démocratie Index. décimale : B.01.1. Démocratie Note de contenu : édito
Les trois victimes de l’affaire Martin: Luc Van Campenhoudt
le mois
Les nostalgiques du sang et les pigeons du décalogue: Dan Kaminski
On ne connait pas le dossier: Joëlle Kwaschin
Louvain-la-Neuve a quarante ans. Des utopies bâtisseuses aux confrontations refondatrices: Paul Thielen
Kokopelli : faut-il libéraliser le marché des semences ?:Paul Nihoul
Du flash trading au robot pricing : l’innovation d’Amazon: Roberto Fernandez
Une trilogie de la crise grecque: Paul Palsterman
Silvio Berlusconi : retour gagnant ?: Giuseppe Santoliquido
Une fois de plus, c’est la « guerre » au Kivu: Jean-Claude Willame
Bahman Ahmadi Amouee : un prisonnier d’opinion iranien emblématique: Pierre Vanrie; Pierre Goubert, historien (1915-2012); Jean-Pierre Nandrin.
billet humeur
Immigration. La logique de crise et le rôle de l’idéologie:
Thomas Dechamps
dossier
Pour la démocratie, prendre au sérieux le populisme
Luc Van Campenhoudt
La démocratie et le populisme dans l’arène politique :
Albert Bastenier
En vérité, je vous le dis !: Marcel Sel
Le populisme italien : de Giulio Andreotti à Beppe Grillo
Giuseppe Santoliquido
Le Caïman, plus qu’un pamphlet: Béatrice Chapaux
un livre
Participer, essai sur les formes démocratiques de la participation, de Joëlle Zask, Ludivine Damay, Hervé Pourtois.
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La vie des scientifiques: Lise Thiry
Québec. Le printemps érable: Philippe Barré
Vite faire ses courses: Jacques Vandenschrick
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1536a B.01.1. LUC.P. Livre Centre de doc Documentaires Disponible La richesse autrement / Orianne Faisander
Titre : La richesse autrement Type de document : texte imprimé Auteurs : Orianne Faisander, Auteur Editeur : Paris [France] : Alternatives économiques Année de publication : 2011 Importance : 160 p ISBN/ISSN/EAN : 12911704 Langues : Français Catégories : Analyse ; Economie sociale ; France ; Rapport Index. décimale : F.03. Economie sociale Note de contenu : Qu'est-ce que la richesse ? Comment mesurer le progrès ? Ces questions sont désormais régulièrement posées. Et il ne se passe pas de mois sans que l'on ne nous annonce une ou plusieurs initiatives proposant d'autres indicateurs au-delà du produit intérieur brut (PIB). Ainsi, à la fin de l'année 2010, le Conseil d'analyse économique français et son homologue allemand ont fourni, à la suite du rapport Stiglitz de 2009, une liste - très contestable - d'indicateurs pour évaluer dans chaque pays « la performance économique, le bien-être et la soutenabilité ». Ce foisonnement est sans doute un succès pour ceux qui, dès les années 1990, ont montré que la focalisation sur le PIB et la croissance nous fourvoyait. Mais ces tentatives sont diverses. Certaines restent dans la logique comptable dominante, d'autres s'en écartent résolument. Il importe d'en éclairer les enjeux. Il importe aussi de valoriser les contributions des organisations de la société civile, notamment dans les territoires et pour tout ce qui concerne les entreprises ou l'économie sociale est solidaire. Avant d'élaborer d'autres indicateurs, il faut permettre à la société de délibérer sur ce qu'elle considère être ses richesses, ses biens communs. Cette étape est primordiale : il faut qualifier avant de quantifier, en se méfiant des excès de la culture du chiffre. Et il faut y associer les citoyens ou les parties prenantes : c'est la grande condition pour une appropriation collective et une légitimation. C'est pour à la fois rappeler les graves insuffisances du PIB comme indicateur de référence de nos sociétés et promouvoir le caractère nécessairement démocratique et collectif du choix d'indicateurs alternatifs que le collectif Fair (Forum pour d'autres indicateurs de richesse) s'est constitué au début de 2008, au moment de la mise en place de la commission Stiglitz. Il aurait très bien pu s'appeler « Forum citoyen pour penser la richesse autrement », car les indicateurs ne sont pas, pour ce collectif, des finalités. Ce sont seulement des outils au service d'autres politiques, pour peu que celles-ci aient préalablement fait l'objet d'un débat public. De nouvelles boussoles pour aider à changer de cap, ce qui suppose bien d'autres innovations, concernant notamment la finance et la monnaie. Ce numéro, construit comme une contribution au débat, a pour ambition de fournir des repères citoyens pour que ces questions sortent des tours d'ivoire des économistes et des statisticiens, dont le rôle, certes important, devrait se limiter à fournir au débat démocratique des analyses de bonne qualité. Un monde plus solidaire a besoin d'autres représentations des richesses et d'autres façons de les mesurer, sur un mode de pleine participation. La richesse autrement [texte imprimé] / Orianne Faisander, Auteur . - Paris (Rue du Sentier, 28, 75002, France) : Alternatives économiques, 2011 . - 160 p.
ISSN : 12911704
Langues : Français
Catégories : Analyse ; Economie sociale ; France ; Rapport Index. décimale : F.03. Economie sociale Note de contenu : Qu'est-ce que la richesse ? Comment mesurer le progrès ? Ces questions sont désormais régulièrement posées. Et il ne se passe pas de mois sans que l'on ne nous annonce une ou plusieurs initiatives proposant d'autres indicateurs au-delà du produit intérieur brut (PIB). Ainsi, à la fin de l'année 2010, le Conseil d'analyse économique français et son homologue allemand ont fourni, à la suite du rapport Stiglitz de 2009, une liste - très contestable - d'indicateurs pour évaluer dans chaque pays « la performance économique, le bien-être et la soutenabilité ». Ce foisonnement est sans doute un succès pour ceux qui, dès les années 1990, ont montré que la focalisation sur le PIB et la croissance nous fourvoyait. Mais ces tentatives sont diverses. Certaines restent dans la logique comptable dominante, d'autres s'en écartent résolument. Il importe d'en éclairer les enjeux. Il importe aussi de valoriser les contributions des organisations de la société civile, notamment dans les territoires et pour tout ce qui concerne les entreprises ou l'économie sociale est solidaire. Avant d'élaborer d'autres indicateurs, il faut permettre à la société de délibérer sur ce qu'elle considère être ses richesses, ses biens communs. Cette étape est primordiale : il faut qualifier avant de quantifier, en se méfiant des excès de la culture du chiffre. Et il faut y associer les citoyens ou les parties prenantes : c'est la grande condition pour une appropriation collective et une légitimation. C'est pour à la fois rappeler les graves insuffisances du PIB comme indicateur de référence de nos sociétés et promouvoir le caractère nécessairement démocratique et collectif du choix d'indicateurs alternatifs que le collectif Fair (Forum pour d'autres indicateurs de richesse) s'est constitué au début de 2008, au moment de la mise en place de la commission Stiglitz. Il aurait très bien pu s'appeler « Forum citoyen pour penser la richesse autrement », car les indicateurs ne sont pas, pour ce collectif, des finalités. Ce sont seulement des outils au service d'autres politiques, pour peu que celles-ci aient préalablement fait l'objet d'un débat public. De nouvelles boussoles pour aider à changer de cap, ce qui suppose bien d'autres innovations, concernant notamment la finance et la monnaie. Ce numéro, construit comme une contribution au débat, a pour ambition de fournir des repères citoyens pour que ces questions sortent des tours d'ivoire des économistes et des statisticiens, dont le rôle, certes important, devrait se limiter à fournir au débat démocratique des analyses de bonne qualité. Un monde plus solidaire a besoin d'autres représentations des richesses et d'autres façons de les mesurer, sur un mode de pleine participation. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1667a F.03. FAI.R. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Richtgagen für den Freien Darstellenden Bereich in Österreich / Sabine Kock
Titre : Richtgagen für den Freien Darstellenden Bereich in Österreich Type de document : texte imprimé Auteurs : Sabine Kock, Auteur ; Tristan Jorde, Auteur Editeur : Wien [Osterreich] : IG Freie Theaterarbeit Année de publication : 2010 Langues : Catégories : Analyse ; Théâtre Mots-clés : Autriche théâtre libre performances Index. décimale : C.03.1. Théâtre Note de contenu : Seit ihrer Gründung vor zwanzig Jahren ringt die IG Freie Theaterarbeit um eine Position zu Mindestlöhnen und Richtgagen: Schreibt man sie fest, werden all diejenigen diskreditiert, die sie nicht bekommen und trotzdem arbeiten. Schreibt man sie zu niedrig fest, gibt es womöglich eine Anpassung nach unten, selbst da, wo bislang akzeptable Beträge gezahlt wurden. Setzt man sie zu hoch an, gelten sie als unrealistische Fiktion. Nun haben wir uns also getraut.
Die vorliegende Broschüre stellt den Versuch dar, kostenwahre Ansätze für Projekte und Gagen, z. B. bei Gastspielen im Freien Darstellenden Bereich in Österreich zu erstellen, von denen
KünstlerInnen ihre Existenz bestreiten können.
Anlass für diesen Schritt gab das Vorbild der Schweizer KollegInnen vom Berufsverband der Freien Theaterschaffenden ACT, die bereits 2007 eine Richtgagenbroschüre erstellt haben und
zwar mit einigem Erfolg:
Die Situation hat sich seitdem merkbar verbessert. Freie Theater-, Tanz- und Performanceschaffende haben eine bessere Verhandlungsposition gegenüber VeranstalterInnen und FördergeberInnen, die vorgeschlagenen Richtwerte sprechen sich herum und gelten mittlerweile in der Schweiz als Standards.Richtgagen für den Freien Darstellenden Bereich in Österreich [texte imprimé] / Sabine Kock, Auteur ; Tristan Jorde, Auteur . - Wien (Gumpendorferstrasse, 63b, 1060, Osterreich) : IG Freie Theaterarbeit, 2010.
Langues :
Catégories : Analyse ; Théâtre Mots-clés : Autriche théâtre libre performances Index. décimale : C.03.1. Théâtre Note de contenu : Seit ihrer Gründung vor zwanzig Jahren ringt die IG Freie Theaterarbeit um eine Position zu Mindestlöhnen und Richtgagen: Schreibt man sie fest, werden all diejenigen diskreditiert, die sie nicht bekommen und trotzdem arbeiten. Schreibt man sie zu niedrig fest, gibt es womöglich eine Anpassung nach unten, selbst da, wo bislang akzeptable Beträge gezahlt wurden. Setzt man sie zu hoch an, gelten sie als unrealistische Fiktion. Nun haben wir uns also getraut.
Die vorliegende Broschüre stellt den Versuch dar, kostenwahre Ansätze für Projekte und Gagen, z. B. bei Gastspielen im Freien Darstellenden Bereich in Österreich zu erstellen, von denen
KünstlerInnen ihre Existenz bestreiten können.
Anlass für diesen Schritt gab das Vorbild der Schweizer KollegInnen vom Berufsverband der Freien Theaterschaffenden ACT, die bereits 2007 eine Richtgagenbroschüre erstellt haben und
zwar mit einigem Erfolg:
Die Situation hat sich seitdem merkbar verbessert. Freie Theater-, Tanz- und Performanceschaffende haben eine bessere Verhandlungsposition gegenüber VeranstalterInnen und FördergeberInnen, die vorgeschlagenen Richtwerte sprechen sich herum und gelten mittlerweile in der Schweiz als Standards.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1143a C.03.1. KOC Livre Centre de doc Documentaires Disponible Le rôle de la culture dans la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale / Collectif
[périodique] Voir les bulletins disponibles Rechercher dans ce périodique
Titre : Le rôle de la culture dans la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : Ministère de la Fédération Wallonie- Bruxelles Année de publication : 2010 Langues : Français Catégories : Analyse ; Education permanente Mots-clés : 'culture' 'pauvreté' 'exclusion sociale' 'accès' 'éducation' 'formation' Index. décimale : B.03. Culture et solidarité Note de contenu : La contribution à la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale est le sujet d'un colloque organisé les 18 et 19 octobre 2010 au Botanique à Bruxelles par le Service général de la Jeunesse et de l'Education permanente de l'Administration générale de la Culture. Ce colloque s'inscrivait également dans le thème de l'année européenne 2010 consacrée à la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale. Ce colloque a réuni de nombreux intervenants et participants venus de différents pays européens
- La Culture pour une Europe inclusive - Jan Truszczynski
- Stratégie Europe 2020 - Laszlo Andor
- Politique culturelle et lutte contre l'exclusion sociale - France Lebon
- Le droit de participer à la vie culturelle, premier facteur de liberté
- Et la culture de conflit ? Edouard Delruelle
- Mesure de l'accès, de l'offre et de la participation - Annamarie Laaksonen
- La problématique de l'accès à la culture - Peter Inkei
- Les activités culturelles socialement engagées - Lola Young
- La lutte contre la pauvreté et l'exclusion - Jean Hurstel[périodique] Voir les bulletins disponibles Rechercher dans ce périodique Le rôle de la culture dans la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - Bruxelles (Boulevard Léopold II, 44, 1080, Belgique) : Ministère de la Fédération Wallonie- Bruxelles, 2010.
Langues : Français
Catégories : Analyse ; Education permanente Mots-clés : 'culture' 'pauvreté' 'exclusion sociale' 'accès' 'éducation' 'formation' Index. décimale : B.03. Culture et solidarité Note de contenu : La contribution à la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale est le sujet d'un colloque organisé les 18 et 19 octobre 2010 au Botanique à Bruxelles par le Service général de la Jeunesse et de l'Education permanente de l'Administration générale de la Culture. Ce colloque s'inscrivait également dans le thème de l'année européenne 2010 consacrée à la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale. Ce colloque a réuni de nombreux intervenants et participants venus de différents pays européens
- La Culture pour une Europe inclusive - Jan Truszczynski
- Stratégie Europe 2020 - Laszlo Andor
- Politique culturelle et lutte contre l'exclusion sociale - France Lebon
- Le droit de participer à la vie culturelle, premier facteur de liberté
- Et la culture de conflit ? Edouard Delruelle
- Mesure de l'accès, de l'offre et de la participation - Annamarie Laaksonen
- La problématique de l'accès à la culture - Peter Inkei
- Les activités culturelles socialement engagées - Lola Young
- La lutte contre la pauvreté et l'exclusion - Jean HurstelLa salariat dans le secteur culturel en 2009 : flexibilité et pluriactivité / Frédérique Patureau
Titre : La salariat dans le secteur culturel en 2009 : flexibilité et pluriactivité Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédérique Patureau, Auteur ; Marie Gouyon, Auteur Editeur : Paris [France] : Ministère de la culture et de la communication Année de publication : 2012 Importance : 16 p Présentation : accompagné de tableaux Langues : Français Catégories : Analyse ; France Mots-clés : Statistiques pratiques culturelles Index. décimale : E.01.3. Analyse des acteurs culturels Note de contenu : En 2009, 26 millions de personnes étaient salariées au moins une heure en France et, parmi elles, 697 000 intervenaient dans le secteur culturel pour un volume de 557 millions d’heures, soit 800 heures annuelles en moyenne par salarié. Le salariat dans le secteur culturel (qui rassemble les trois quarts environ des actifs intervenant dans ce secteur) se caractérise par une grande flexibilité : des temps de travail courts et des rémunérations très dispersées, et un usage répandu de la pluriactivité. Les salariés sont jeunes, ce sont plutôt des hommes, ils travaillent majoritairement en Île-de-France. Les différentes activités du secteur culturel ont été regroupées en cinq grands domaines, selon une double logique de proximité des activités et de physionomie d’emploi (durée des contrats, pérennité des emplois). L’analyse présente les caractéristiques générales de l’emploi salarié en 2009 pour chacun de ces domaines : le spectacle, l’édition, l’architecture et le patrimoine, l’enseignement artistique et de loisirs et la création visuelle.
Comparé à l’ensemble du salariat en France, celui du secteur culturel se singularise nettement : les emplois y sont plus flexibles, les contrats plus souvent à durée limitée, les rémunérations plus dispersées. Les employeurs sont plus souvent de taille modeste et implantés en région parisienne. Le salariat y est plus jeune et masculin. Une analyse approfondie révèle cependant que ces caractéristiques globales tiennent principalement à certains domaines d’activité culturels (le spectacle, l’enseignement artistique et de loisirs) où la grande flexibilité de l’emploi, les faibles volumes individuels d’activité, la rotation (turn over) des salariés sont la règle. Dans d’autres domaines culturels (l’édition, l’architecture, le patrimoine), la physionomie du salariat s’écarte peu de celle observée dans l’en semble de l’économie (prépondérance du CDI et du travail à temps plein). Dans les domaines où l’emploi est le plus flexible, la pluriactivité est particulièrement répandue : les salariés travaillent alors pour plusieurs activités culturelles (par exemple, en combinant des emplois dans le spectacle vivant et dans la création visuelle), mais surtout interviennent à la fois dans le champ culturel et à l’extérieur de celui-ci.
In 2009, 26 million people were paid for at least one hour’s work in France,La salariat dans le secteur culturel en 2009 : flexibilité et pluriactivité [texte imprimé] / Frédérique Patureau, Auteur ; Marie Gouyon, Auteur . - Paris (75000, France) : Ministère de la culture et de la communication, 2012 . - 16 p : accompagné de tableaux.
Langues : Français
Catégories : Analyse ; France Mots-clés : Statistiques pratiques culturelles Index. décimale : E.01.3. Analyse des acteurs culturels Note de contenu : En 2009, 26 millions de personnes étaient salariées au moins une heure en France et, parmi elles, 697 000 intervenaient dans le secteur culturel pour un volume de 557 millions d’heures, soit 800 heures annuelles en moyenne par salarié. Le salariat dans le secteur culturel (qui rassemble les trois quarts environ des actifs intervenant dans ce secteur) se caractérise par une grande flexibilité : des temps de travail courts et des rémunérations très dispersées, et un usage répandu de la pluriactivité. Les salariés sont jeunes, ce sont plutôt des hommes, ils travaillent majoritairement en Île-de-France. Les différentes activités du secteur culturel ont été regroupées en cinq grands domaines, selon une double logique de proximité des activités et de physionomie d’emploi (durée des contrats, pérennité des emplois). L’analyse présente les caractéristiques générales de l’emploi salarié en 2009 pour chacun de ces domaines : le spectacle, l’édition, l’architecture et le patrimoine, l’enseignement artistique et de loisirs et la création visuelle.
Comparé à l’ensemble du salariat en France, celui du secteur culturel se singularise nettement : les emplois y sont plus flexibles, les contrats plus souvent à durée limitée, les rémunérations plus dispersées. Les employeurs sont plus souvent de taille modeste et implantés en région parisienne. Le salariat y est plus jeune et masculin. Une analyse approfondie révèle cependant que ces caractéristiques globales tiennent principalement à certains domaines d’activité culturels (le spectacle, l’enseignement artistique et de loisirs) où la grande flexibilité de l’emploi, les faibles volumes individuels d’activité, la rotation (turn over) des salariés sont la règle. Dans d’autres domaines culturels (l’édition, l’architecture, le patrimoine), la physionomie du salariat s’écarte peu de celle observée dans l’en semble de l’économie (prépondérance du CDI et du travail à temps plein). Dans les domaines où l’emploi est le plus flexible, la pluriactivité est particulièrement répandue : les salariés travaillent alors pour plusieurs activités culturelles (par exemple, en combinant des emplois dans le spectacle vivant et dans la création visuelle), mais surtout interviennent à la fois dans le champ culturel et à l’extérieur de celui-ci.
In 2009, 26 million people were paid for at least one hour’s work in France,Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1441a E.01.3. PAT Livre Centre de doc Documentaires Disponible Sectorfoto 2012 Audiovisuelle sector / vlaamse Overheid / Department Werk en Sociale Economie
PermalinkSocio-économie des services / Jean Gadrey
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PermalinkLa statue d'artiste / François Croix
PermalinkTentative budgétaire de la Culture à Bruxelles / Christos Doulkeridis
PermalinkTerritoires et ressources des compagnies en France / Daniel Urrutiaguer
PermalinkTerritoires et ressources des compagnies en France (complet) / Daniel Urrutiaguer
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