Artension / Pierre Souchaud

Public ISBD [périodique]  Voir les bulletins disponibles Rechercher dans ce périodique  Titre : Artension Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Souchaud, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Lyon [France] : Artension Editions ISBN/ISSN/EAN : 0294-3107 Langues : Français Catégories : Art plastique [périodique]  Voir les bulletins disponibles Rechercher dans ce périodique Artension [texte imprimé] / Pierre Souchaud, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Lyon (France) : Artension Editions. ISSN : 0294-3107 Langues : Français Catégories : Art plastique

Des artistes en ville. / Tatiana Debroux 

Public ISBD Titre : Des artistes en ville. : Géographie rétrospective des plasticiens à Bruxelles (1833-2008) Volume 1/2 Type de document : texte imprimé Auteurs : Tatiana Debroux, Auteur Editeur : Université Libre de Bruxelles Année de publication : 2012 Importance : 178 p Langues : Français Catégories : Art plastique ; Artiste ; Belgique ; Bruxelles ; Urbanisation Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : Thèse présentée en vue de l'obtention du grade légal de Docteure en Sciences Géographies Promoteur : Jean-Michel Decroly Décembre 2012 Cette thèse est consacrée à l’évolution de l’inscription spatiale des artistes plasticiens dans la ville : elle entend questionner le caractère pionnier de celle-ci en relation avec les transformations du tissu urbain ainsi que le rôle prescripteur des artistes auprès d’autres groupes sociaux, tels qu’ils se trouvent décrits dans la littérature. L’originalité du travail réside dans le traitement empirique de la question posée, prenant comme cas d’étude le territoire de l’actuelle Région bruxelloise. En étendant l’interrogation de la position pionnière des artistes sur le plan temporel et spatial et en réalisant un travail de cartographie, j’envisage sous un jour nouveau les logiques spatiales (rôle de précurseurs) mais aussi culturelles (rôle de prescripteurs) dans lesquelles les artistes s’inscrivent, dans le cadre des dynamiques urbaines actuelles et passées. Ce faisant, je réalise une cartographie originale et inédite de la création artistique à Bruxelles, présentée dans le premier tableau de ma thèse. Le travail empirique repose sur plusieurs choix méthodologiques importants : en considérant une longue période d’analyse temporelle, il est possible d’envisager d’autres dynamiques urbaines que les seuls phénomènes de gentrification par lesquels les géographes traitent de la présence des artistes en ville. Je privilégie également une petite échelle d’analyse (le territoire régional), n’envisageant que dans un second temps, en fonction des concentrations d’artistes mises en évidence, des analyses approfondies à plus grande échelle (des quartiers d’artistes). Les données récoltées localisent les plasticiens à leur lieu de résidence : puisées dans des sources variées ayant pour point commun de recenser de nombreux individus, elles permettent de constituer une géographie des artistes en tant que groupe, selon une approche destinée à révéler les logiques collectives de l’évolution de leur présence au sein de l’espace urbain et de ses dynamiques historiques et actuelles. Dans une perspective plus large, non mécaniste et ancrée dans l’analyse des disparités territoriales de l’espace urbain, je m’intéresse dans le second tableau de ma thèse au développement des grandes concentrations d’artistes bruxelloises, à leur structuration interne et à la cohabitation des créateurs et d’autres groupes sociaux − bourgeoisie cultivée ou “nouvelle classe moyenne précaire”. Une série de facteurs sont mis en évidence pour appréhender la géographie observée : de nature matérielle ou symbolique, ils expliquent le développement et la reproduction des certains quartiers d’artistes ou, au contraire, des logiques d’évitement ou d’affaiblissement dans d’autres espaces. Les résultats obtenus m’amènent au final à réfuter l’affirmation selon laquelle les artistes occuperaient une position spatiale pionnière dans le développement des dynamiques urbaines, en raison notamment de la temporalité de leur répartition et des permanences spatiales mises en évidence à Bruxelles. Il semble clair toutefois qu’ils peuvent jouer un rôle prescripteur auprès d’autres habitants dont ils influencent les pratiques, y compris en matière de choix résidentiels, selon des logiques propres aux différentes époques analysées. En raison de ce potentiel prescripteur précisément, il est possible de comprendre l’intérêt développé aujourd’hui par les pouvoirs publics pour la présence des artistes et l’instrumentalisation de celle-ci, expliquant le succès du recours à la métaphore pionnière dans le cadre des entreprises de redéveloppement urbain. En ligne : http://theses.ulb.ac.be/ETD-db/collection/available/ULBetd-03192013-173927/unres [...] Des artistes en ville. : Géographie rétrospective des plasticiens à Bruxelles (1833-2008) Volume 1/2 [texte imprimé] / Tatiana Debroux, Auteur . - [S.l.] : Université Libre de Bruxelles, 2012 . - 178 p. Langues : Français Catégories : Art plastique ; Artiste ; Belgique ; Bruxelles ; Urbanisation Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : Thèse présentée en vue de l'obtention du grade légal de Docteure en Sciences Géographies Promoteur : Jean-Michel Decroly Décembre 2012 Cette thèse est consacrée à l’évolution de l’inscription spatiale des artistes plasticiens dans la ville : elle entend questionner le caractère pionnier de celle-ci en relation avec les transformations du tissu urbain ainsi que le rôle prescripteur des artistes auprès d’autres groupes sociaux, tels qu’ils se trouvent décrits dans la littérature. L’originalité du travail réside dans le traitement empirique de la question posée, prenant comme cas d’étude le territoire de l’actuelle Région bruxelloise. En étendant l’interrogation de la position pionnière des artistes sur le plan temporel et spatial et en réalisant un travail de cartographie, j’envisage sous un jour nouveau les logiques spatiales (rôle de précurseurs) mais aussi culturelles (rôle de prescripteurs) dans lesquelles les artistes s’inscrivent, dans le cadre des dynamiques urbaines actuelles et passées. Ce faisant, je réalise une cartographie originale et inédite de la création artistique à Bruxelles, présentée dans le premier tableau de ma thèse. Le travail empirique repose sur plusieurs choix méthodologiques importants : en considérant une longue période d’analyse temporelle, il est possible d’envisager d’autres dynamiques urbaines que les seuls phénomènes de gentrification par lesquels les géographes traitent de la présence des artistes en ville. Je privilégie également une petite échelle d’analyse (le territoire régional), n’envisageant que dans un second temps, en fonction des concentrations d’artistes mises en évidence, des analyses approfondies à plus grande échelle (des quartiers d’artistes). Les données récoltées localisent les plasticiens à leur lieu de résidence : puisées dans des sources variées ayant pour point commun de recenser de nombreux individus, elles permettent de constituer une géographie des artistes en tant que groupe, selon une approche destinée à révéler les logiques collectives de l’évolution de leur présence au sein de l’espace urbain et de ses dynamiques historiques et actuelles. Dans une perspective plus large, non mécaniste et ancrée dans l’analyse des disparités territoriales de l’espace urbain, je m’intéresse dans le second tableau de ma thèse au développement des grandes concentrations d’artistes bruxelloises, à leur structuration interne et à la cohabitation des créateurs et d’autres groupes sociaux − bourgeoisie cultivée ou “nouvelle classe moyenne précaire”. Une série de facteurs sont mis en évidence pour appréhender la géographie observée : de nature matérielle ou symbolique, ils expliquent le développement et la reproduction des certains quartiers d’artistes ou, au contraire, des logiques d’évitement ou d’affaiblissement dans d’autres espaces. Les résultats obtenus m’amènent au final à réfuter l’affirmation selon laquelle les artistes occuperaient une position spatiale pionnière dans le développement des dynamiques urbaines, en raison notamment de la temporalité de leur répartition et des permanences spatiales mises en évidence à Bruxelles. Il semble clair toutefois qu’ils peuvent jouer un rôle prescripteur auprès d’autres habitants dont ils influencent les pratiques, y compris en matière de choix résidentiels, selon des logiques propres aux différentes époques analysées. En raison de ce potentiel prescripteur précisément, il est possible de comprendre l’intérêt développé aujourd’hui par les pouvoirs publics pour la présence des artistes et l’instrumentalisation de celle-ci, expliquant le succès du recours à la métaphore pionnière dans le cadre des entreprises de redéveloppement urbain. En ligne : http://theses.ulb.ac.be/ETD-db/collection/available/ULBetd-03192013-173927/unres [...]

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Des artistes en ville. / Tatiana Debroux 

Public ISBD Titre : Des artistes en ville. : Géographie rétrospective des plasticiens à Bruxelles (1833-2008) Volume 2/2 Type de document : texte imprimé Auteurs : Tatiana Debroux, Auteur Editeur : Université Libre de Bruxelles Année de publication : 2012 Importance : 423 p Langues : Français Catégories : Art plastique ; Belgique ; Bruxelles ; Urbanisation Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : Thèse présentée en vue de l'obtention du grade légal de Docteure en Sciences Géographiques. Promoteur : Jean-Michel Decroly Décembre 2012 Cette thèse est consacrée à l’évolution de l’inscription spatiale des artistes plasticiens dans la ville : elle entend questionner le caractère pionnier de celle-ci en relation avec les transformations du tissu urbain ainsi que le rôle prescripteur des artistes auprès d’autres groupes sociaux, tels qu’ils se trouvent décrits dans la littérature. L’originalité du travail réside dans le traitement empirique de la question posée, prenant comme cas d’étude le territoire de l’actuelle Région bruxelloise. En étendant l’interrogation de la position pionnière des artistes sur le plan temporel et spatial et en réalisant un travail de cartographie, j’envisage sous un jour nouveau les logiques spatiales (rôle de précurseurs) mais aussi culturelles (rôle de prescripteurs) dans lesquelles les artistes s’inscrivent, dans le cadre des dynamiques urbaines actuelles et passées. Ce faisant, je réalise une cartographie originale et inédite de la création artistique à Bruxelles, présentée dans le premier tableau de ma thèse. Le travail empirique repose sur plusieurs choix méthodologiques importants : en considérant une longue période d’analyse temporelle, il est possible d’envisager d’autres dynamiques urbaines que les seuls phénomènes de gentrification par lesquels les géographes traitent de la présence des artistes en ville. Je privilégie également une petite échelle d’analyse (le territoire régional), n’envisageant que dans un second temps, en fonction des concentrations d’artistes mises en évidence, des analyses approfondies à plus grande échelle (des quartiers d’artistes). Les données récoltées localisent les plasticiens à leur lieu de résidence : puisées dans des sources variées ayant pour point commun de recenser de nombreux individus, elles permettent de constituer une géographie des artistes en tant que groupe, selon une approche destinée à révéler les logiques collectives de l’évolution de leur présence au sein de l’espace urbain et de ses dynamiques historiques et actuelles. Dans une perspective plus large, non mécaniste et ancrée dans l’analyse des disparités territoriales de l’espace urbain, je m’intéresse dans le second tableau de ma thèse au développement des grandes concentrations d’artistes bruxelloises, à leur structuration interne et à la cohabitation des créateurs et d’autres groupes sociaux − bourgeoisie cultivée ou “nouvelle classe moyenne précaire”. Une série de facteurs sont mis en évidence pour appréhender la géographie observée : de nature matérielle ou symbolique, ils expliquent le développement et la reproduction des certains quartiers d’artistes ou, au contraire, des logiques d’évitement ou d’affaiblissement dans d’autres espaces. Les résultats obtenus m’amènent au final à réfuter l’affirmation selon laquelle les artistes occuperaient une position spatiale pionnière dans le développement des dynamiques urbaines, en raison notamment de la temporalité de leur répartition et des permanences spatiales mises en évidence à Bruxelles. Il semble clair toutefois qu’ils peuvent jouer un rôle prescripteur auprès d’autres habitants dont ils influencent les pratiques, y compris en matière de choix résidentiels, selon des logiques propres aux différentes époques analysées. En raison de ce potentiel prescripteur précisément, il est possible de comprendre l’intérêt développé aujourd’hui par les pouvoirs publics pour la présence des artistes et l’instrumentalisation de celle-ci, expliquant le succès du recours à la métaphore pionnière dans le cadre des entreprises de redéveloppement urbain. En ligne : http://theses.ulb.ac.be/ETD-db/collection/available/ULBetd-03192013-173927/unres [...] Des artistes en ville. : Géographie rétrospective des plasticiens à Bruxelles (1833-2008) Volume 2/2 [texte imprimé] / Tatiana Debroux, Auteur . - [S.l.] : Université Libre de Bruxelles, 2012 . - 423 p. Langues : Français Catégories : Art plastique ; Belgique ; Bruxelles ; Urbanisation Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : Thèse présentée en vue de l'obtention du grade légal de Docteure en Sciences Géographiques. Promoteur : Jean-Michel Decroly Décembre 2012 Cette thèse est consacrée à l’évolution de l’inscription spatiale des artistes plasticiens dans la ville : elle entend questionner le caractère pionnier de celle-ci en relation avec les transformations du tissu urbain ainsi que le rôle prescripteur des artistes auprès d’autres groupes sociaux, tels qu’ils se trouvent décrits dans la littérature. L’originalité du travail réside dans le traitement empirique de la question posée, prenant comme cas d’étude le territoire de l’actuelle Région bruxelloise. En étendant l’interrogation de la position pionnière des artistes sur le plan temporel et spatial et en réalisant un travail de cartographie, j’envisage sous un jour nouveau les logiques spatiales (rôle de précurseurs) mais aussi culturelles (rôle de prescripteurs) dans lesquelles les artistes s’inscrivent, dans le cadre des dynamiques urbaines actuelles et passées. Ce faisant, je réalise une cartographie originale et inédite de la création artistique à Bruxelles, présentée dans le premier tableau de ma thèse. Le travail empirique repose sur plusieurs choix méthodologiques importants : en considérant une longue période d’analyse temporelle, il est possible d’envisager d’autres dynamiques urbaines que les seuls phénomènes de gentrification par lesquels les géographes traitent de la présence des artistes en ville. Je privilégie également une petite échelle d’analyse (le territoire régional), n’envisageant que dans un second temps, en fonction des concentrations d’artistes mises en évidence, des analyses approfondies à plus grande échelle (des quartiers d’artistes). Les données récoltées localisent les plasticiens à leur lieu de résidence : puisées dans des sources variées ayant pour point commun de recenser de nombreux individus, elles permettent de constituer une géographie des artistes en tant que groupe, selon une approche destinée à révéler les logiques collectives de l’évolution de leur présence au sein de l’espace urbain et de ses dynamiques historiques et actuelles. Dans une perspective plus large, non mécaniste et ancrée dans l’analyse des disparités territoriales de l’espace urbain, je m’intéresse dans le second tableau de ma thèse au développement des grandes concentrations d’artistes bruxelloises, à leur structuration interne et à la cohabitation des créateurs et d’autres groupes sociaux − bourgeoisie cultivée ou “nouvelle classe moyenne précaire”. Une série de facteurs sont mis en évidence pour appréhender la géographie observée : de nature matérielle ou symbolique, ils expliquent le développement et la reproduction des certains quartiers d’artistes ou, au contraire, des logiques d’évitement ou d’affaiblissement dans d’autres espaces. Les résultats obtenus m’amènent au final à réfuter l’affirmation selon laquelle les artistes occuperaient une position spatiale pionnière dans le développement des dynamiques urbaines, en raison notamment de la temporalité de leur répartition et des permanences spatiales mises en évidence à Bruxelles. Il semble clair toutefois qu’ils peuvent jouer un rôle prescripteur auprès d’autres habitants dont ils influencent les pratiques, y compris en matière de choix résidentiels, selon des logiques propres aux différentes époques analysées. En raison de ce potentiel prescripteur précisément, il est possible de comprendre l’intérêt développé aujourd’hui par les pouvoirs publics pour la présence des artistes et l’instrumentalisation de celle-ci, expliquant le succès du recours à la métaphore pionnière dans le cadre des entreprises de redéveloppement urbain. En ligne : http://theses.ulb.ac.be/ETD-db/collection/available/ULBetd-03192013-173927/unres [...]

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1556a	C.04. DEB.D.	Livre	Centre de doc	Documentaires	Disponible

Les arts contemporains,pourqui? et pour quoi? / Marie Poncin

Public ISBD Titre : Les arts contemporains,pourqui? et pour quoi? : Les arts plastiques en débat Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Poncin, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Bruxelles [Belgique] : Culture et Démocratie Année de publication : 2007 Importance : 60 p Langues : Français Catégories : Art contemporain ; Art plastique ; Culture Index. décimale : C.04. Arts plastiques Résumé : S'il est aujourd'hui accepté que l'art peut-être autre chose que du beau en soi, ou de l'art pour l'art, comment s'intègre-t-il à la vie de tous les jours et à ses imprévus? En témoignant des déséquilibres et malaises de la société, les arts plastiques démocratisent-ils la culture?, contribuent-t-ils à propager la démocratie? Est-ce parce que, comme cette incernable démocratie, ils sont considérés comme acquis qu'ils sont passés sous silence dans les discours des politiques? Absents des programmes scolaires? Et fréquentés, si ce n'est par des habitués des vernissages et les convaincus des colloques, que par une audience symbolique? Voici quelques-unes des questions posées lors de la rencontre des "arts contemporains, pour qui, et pour quoi?" Les arts plastiques en débat, organisée le 6 octobre 2007 au Wolubilis. Les arts contemporains,pourqui? et pour quoi? : Les arts plastiques en débat [texte imprimé] / Marie Poncin, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Bruxelles (1050, Belgique) : Culture et Démocratie, 2007 . - 60 p. Langues : Français Catégories : Art contemporain ; Art plastique ; Culture Index. décimale : C.04. Arts plastiques Résumé : S'il est aujourd'hui accepté que l'art peut-être autre chose que du beau en soi, ou de l'art pour l'art, comment s'intègre-t-il à la vie de tous les jours et à ses imprévus? En témoignant des déséquilibres et malaises de la société, les arts plastiques démocratisent-ils la culture?, contribuent-t-ils à propager la démocratie? Est-ce parce que, comme cette incernable démocratie, ils sont considérés comme acquis qu'ils sont passés sous silence dans les discours des politiques? Absents des programmes scolaires? Et fréquentés, si ce n'est par des habitués des vernissages et les convaincus des colloques, que par une audience symbolique? Voici quelques-unes des questions posées lors de la rencontre des "arts contemporains, pour qui, et pour quoi?" Les arts plastiques en débat, organisée le 6 octobre 2007 au Wolubilis.

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716a	C.04. PON	Livre	Centre de doc	Documentaires	Disponible

Arts plastiques & visuels / Vanessa Saggese

Public ISBD Titre : Arts plastiques & visuels Type de document : texte imprimé Auteurs : Vanessa Saggese, Auteur Editeur : Liège [Belgium] : SIEP Service d'information sur les études et les profesions Année de publication : 2013 Importance : 32 p Langues : Français Catégories : Art ; Art graphique ; Art plastique ; Culture ; Etude ; Photographie Index. décimale : C. Les secteurs de la culture Note de contenu : Parmi toutes les formes de création existantes, les arts plastiques et visuels représentent un secteur vaste et riche en œuvres et productions en deux ou trois dimensions sur des supports multiples. L’imagination et le talent des artistes qui gravent, sculptent, façonnent, peignent, dessinent ou encore illustrent semblent, en effet, ne pas avoir de limites. Selon les disciplines, les créations de l’artiste seront visibles dans les musées, galeries, foires, installations, salons ou boutiques, mais aussi dans les livres, BD, journaux ou magazines, à la télévision, au cinéma, et même parfois dans la rue. Sans oublier les nouvelles technologies, et plus particulièrement l’internet, qui permettent une diffusion plus large de son travail, le rendant aussi plus accessible au public. Nous avons déjà tous été en contact avec une sculpture, une peinture, une photographie ou encore un dessin. Délibérément ou malgré nous, ces œuvres nous touchent, nous amènent à émettre un avis, une opinion, voire une critique sur ce que nous voyons. Rien d’étonnant puisque l’artiste plasticien cherche à nous faire rêver, réagir ou réfléchir. Selon la technique utilisée, il fait appel à des images, des formes, de la couleur, de la matière afin de transmettre un sentiment, une pensée, que nous sommes libres d’interpréter, d’apprécier ou non. Il convient en effet à chacun de se laisser porter par son imagination et de tenter de comprendre le message que l’artiste a voulu exprimer. Arts plastiques & visuels [texte imprimé] / Vanessa Saggese, Auteur . - Liège (Rue Saint-Gilles, 26, 4000, Belgium) : SIEP Service d'information sur les études et les profesions, 2013 . - 32 p. Langues : Français Catégories : Art ; Art graphique ; Art plastique ; Culture ; Etude ; Photographie Index. décimale : C. Les secteurs de la culture Note de contenu : Parmi toutes les formes de création existantes, les arts plastiques et visuels représentent un secteur vaste et riche en œuvres et productions en deux ou trois dimensions sur des supports multiples. L’imagination et le talent des artistes qui gravent, sculptent, façonnent, peignent, dessinent ou encore illustrent semblent, en effet, ne pas avoir de limites. Selon les disciplines, les créations de l’artiste seront visibles dans les musées, galeries, foires, installations, salons ou boutiques, mais aussi dans les livres, BD, journaux ou magazines, à la télévision, au cinéma, et même parfois dans la rue. Sans oublier les nouvelles technologies, et plus particulièrement l’internet, qui permettent une diffusion plus large de son travail, le rendant aussi plus accessible au public. Nous avons déjà tous été en contact avec une sculpture, une peinture, une photographie ou encore un dessin. Délibérément ou malgré nous, ces œuvres nous touchent, nous amènent à émettre un avis, une opinion, voire une critique sur ce que nous voyons. Rien d’étonnant puisque l’artiste plasticien cherche à nous faire rêver, réagir ou réfléchir. Selon la technique utilisée, il fait appel à des images, des formes, de la couleur, de la matière afin de transmettre un sentiment, une pensée, que nous sommes libres d’interpréter, d’apprécier ou non. Il convient en effet à chacun de se laisser porter par son imagination et de tenter de comprendre le message que l’artiste a voulu exprimer.

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0921a	C. SAG.A.	Livre	Centre de doc	Documentaires	Disponible

BAL / Musée des beaux- arts de Liège / Liège Province Culture

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