Titre : | Pour ou contre l'activation des chômeurs? : Une analyse critique du débat | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Daniel Dumont, Auteur | Editeur : | Bruxelles [Belgique] : ULB, Université Libre de Bruxelles | Année de publication : | 2010 | Importance : | 31 p | Langues : | Français | Catégories : | Belgique ; chomage ; sécurité sociale
| Index. décimale : | B.03. Culture et solidarité | Note de contenu : | En 2004, deux ans après le remplacement du droit à un minimum de moyens d’existence – ou minimex – par le droit à l’intégration sociale (1), le gouvernement fédéral belge remettait le couvert de l’Etat social actif (2), en introduisant, dans la réglementation du chômage, une nouvelle procédure dite d’«activation du comportement de recherche d’emploi» (3). Après le revenu minimum résiduaire accordé par les CPAS aux personnes en situation de grande pauvreté, c’est à un autre symbole de taille que touchait la seconde grande réforme du système belge de sécurité sociale labellisée «Etat social actif»: l’assurance chômage.
Dans un pays qui compte depuis plus de deux décennies approximativement un demi-million de personnes au chômage pour dix millions d’habitants, modifier le statut juridique des chômeurs constitue toujours une entreprise sensible et manque rarement de susciter des remous. Le gouvernement s’avançait donc en terrain miné.
Précisément, l’activation des chômeurs a suscité – en tout cas du côté francophone – une véritable levée de boucliers dans les cénacles académiques, associatifs et syndicaux.
Aujourd’hui encore, plus de cinq années après son entrée en vigueur, elle demeure particulièrement controversée. | En ligne : | http://www.uclouvain.be/cps/ucl/doc/econ/documents/Dumont.pdf |
Pour ou contre l'activation des chômeurs? : Une analyse critique du débat [texte imprimé] / Daniel Dumont, Auteur . - Bruxelles (Belgique) : ULB, Université Libre de Bruxelles, 2010 . - 31 p. Langues : Français Catégories : | Belgique ; chomage ; sécurité sociale
| Index. décimale : | B.03. Culture et solidarité | Note de contenu : | En 2004, deux ans après le remplacement du droit à un minimum de moyens d’existence – ou minimex – par le droit à l’intégration sociale (1), le gouvernement fédéral belge remettait le couvert de l’Etat social actif (2), en introduisant, dans la réglementation du chômage, une nouvelle procédure dite d’«activation du comportement de recherche d’emploi» (3). Après le revenu minimum résiduaire accordé par les CPAS aux personnes en situation de grande pauvreté, c’est à un autre symbole de taille que touchait la seconde grande réforme du système belge de sécurité sociale labellisée «Etat social actif»: l’assurance chômage.
Dans un pays qui compte depuis plus de deux décennies approximativement un demi-million de personnes au chômage pour dix millions d’habitants, modifier le statut juridique des chômeurs constitue toujours une entreprise sensible et manque rarement de susciter des remous. Le gouvernement s’avançait donc en terrain miné.
Précisément, l’activation des chômeurs a suscité – en tout cas du côté francophone – une véritable levée de boucliers dans les cénacles académiques, associatifs et syndicaux.
Aujourd’hui encore, plus de cinq années après son entrée en vigueur, elle demeure particulièrement controversée. | En ligne : | http://www.uclouvain.be/cps/ucl/doc/econ/documents/Dumont.pdf |
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