Titre de série : | Les cahiers du travail social, 65 | Titre : | Cultures, arts et travail social | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Sylvie Rouxel, Auteur ; Radia El Kohmsi, Auteur ; Frédéric Janus, Auteur | Editeur : | Besançon [France] : IRTS - Franche Comté | Année de publication : | 2011 | Importance : | 126 p | Langues : | Français | Catégories : | France
| Index. décimale : | B.03. Culture et solidarité | Note de contenu : | Le lien entre la pratique artistique et les troubles mentaux, tels que nous les qualifions de nos jours, existe depuis l’Antiquité, principalement en ce qui concerne la musique. Edith Lecourt relève ainsi son utilisation cathartique par les Corybantes et dans les Bacchanales, ainsi que son utilisation sédative par David calmant Saül dans l’Ancien Testament. La musicothérapie en tant que telle
apparaît conjointement à la naissance de la psychiatrie française : Pinel la développa dès 1820 dans son « traitement moral de la folie ». Une pratique qui perdure et prend place dans un aussi
large panel de sociétés mérite que l’on se penche sur les raisons de son succès, en interrogeant, dans sa forme actuelle, ses apports sociaux. Nous nous préoccuperons des dimensions anthropologiques
et sociologiques de la pratique musicale, en groupe, de personnes souffrant de maladie mentale, afin d’en dégager les possibles attraits quant à leur réinsertion sociale. Pour ce faire, nous nous pencherons plus précisément sur les rapports que la pratique de la musique entretient avec la communication, médiatrice des rapports sociaux. | En ligne : | http://www.cultureetdemocratie.be/fr/documents/lescahiersdutravailsocial.pdf |
Les cahiers du travail social, 65. Cultures, arts et travail social [texte imprimé] / Sylvie Rouxel, Auteur ; Radia El Kohmsi, Auteur ; Frédéric Janus, Auteur . - Besançon (1, Rue Alfred de Vigny, France) : IRTS - Franche Comté, 2011 . - 126 p. Langues : Français Catégories : | France
| Index. décimale : | B.03. Culture et solidarité | Note de contenu : | Le lien entre la pratique artistique et les troubles mentaux, tels que nous les qualifions de nos jours, existe depuis l’Antiquité, principalement en ce qui concerne la musique. Edith Lecourt relève ainsi son utilisation cathartique par les Corybantes et dans les Bacchanales, ainsi que son utilisation sédative par David calmant Saül dans l’Ancien Testament. La musicothérapie en tant que telle
apparaît conjointement à la naissance de la psychiatrie française : Pinel la développa dès 1820 dans son « traitement moral de la folie ». Une pratique qui perdure et prend place dans un aussi
large panel de sociétés mérite que l’on se penche sur les raisons de son succès, en interrogeant, dans sa forme actuelle, ses apports sociaux. Nous nous préoccuperons des dimensions anthropologiques
et sociologiques de la pratique musicale, en groupe, de personnes souffrant de maladie mentale, afin d’en dégager les possibles attraits quant à leur réinsertion sociale. Pour ce faire, nous nous pencherons plus précisément sur les rapports que la pratique de la musique entretient avec la communication, médiatrice des rapports sociaux. | En ligne : | http://www.cultureetdemocratie.be/fr/documents/lescahiersdutravailsocial.pdf |
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