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Ce fonds documentaire multilingue regroupe des ouvrages scientifiques, des essais, des guides pratiques, des thèses, des revues, des dossiers, des publications sur supports numériques, ….
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Auteur Dominique Vosters |
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Bilan nouveaux médias / Dominique Vosters
Titre : Bilan nouveaux médias Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Vosters, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : CSA Conseil Supérieur de l'Audiovisuel Année de publication : 2012 Importance : 72 p Langues : Français Catégories : Audiovisuel ; Bilan ; Cinéma Index. décimale : C.01. Audiovisuel et multimédia Note de contenu : Ce troisième bilan sectoriel du Conseil supérieur de l’audiovisuel propose un instantané d’un univers médiatique audiovisuel en pleine expansion et dont la Fédération Wallonie Bruxelles constituerait le centre.
Un tel point de vue présomptueux ne se justifie bien entendu que pour mieux circonscrire le champ et ensuite les moyens de la régulation dont a la charge le CSA. La télévision et la radio sont désormais intégrés dans une notion plus vaste, celui des services de médias audiovisuels (SMA), englobant les web TV, web radios, services de vidéo à la demande, services de télévision de rattrapage et services interactifs. Le CSA a explicité dans une recommandation du 29 mars 2012 les sept critères cumulatifs à rencontrer pour définir un SMA. Une fois identifié, un SMA est soumis à une régulation dite graduée. Le curseur de la régulation variera selon deux axes : la nature linéaire ou non linéaire du SMA et sa mise à disposition sur une plateforme fermée (câble, IPTV) ou ouverte (Internet). Aujourd’hui, plus que jamais, les nouveaux écrans, interfaces numériques et interactives, permettent à leurs utilisateurs de s’ouvrir sur le monde. Partout où nous sommes, la connectivité à Internet nous permet d’atteindre les mêmes contenus sur tous les supports et d’interagir avec ceux-ci, rendant la télévision plus « sociale ». Le présent bilan dresse en premier lieu un portrait du microcosme encore balbutiant du monde des «nouveaux » SMA en Fédération Wallonie-Bruxelles. Un monde encore souvent composé d’accessoires de services principaux, comme la télévision de rattrapage et se faisant imprégner petit à petit par les grands acteurs globaux américains, s’installant en Europe.
Il explore ensuite les forces qui agissent aux confins de ce microcosme comme les nouveaux obstacles dans le marché de l’audiovisuel que sont les barrières à l’accès et les comportements pouvant affecter la concurrence sur le marché. Il s’emploie à donner la parole à divers acteurs qui entendent bien interagir avec l’expérience en cours, comme ils ont déjà pu le montrer pour la plupart lors du Colloque du CSA du 5-6 juillet dernier, Nouveaux écrans, nouvelles régulations ? Aujourd’hui, au départ d’observations du comportement du public et du développement des équipements et services connectés, le régulateur doit adapter son approche et ses moyens d’action pour rencontrer les objectifs d’intérêt général de la régulation que sont la protection des mineurs, l’accessibilité, la diversité culturelle, le soutien à la production de contenus locaux ou encore la garantie du pluralisme; il doit mesurer l’intérêt de la corégulation et concentrer son attention sur les nouvelles grandes questions régulatoires posées par la télévision connectée. Ce bilan est aussi l’occasion de montrer comment se déploie la créativité audiovisuelle en Fédération Wallonie-Bruxelles, comment les pouvoirs publics participent à cette effervescence et comment le droit d’auteur l’appréhende. Ce bilan entend enfin être un document utile à un public non professionnel qui souhaite se familiariser avec le monde des nouveaux services de médias audiovisuels et certains de ses enjeux, afin d’en découvrir les facettes qui accompagnent notre quotidien. Il est enfin l’occasion de faire partager une nouvelle fois les connaissances perpétuellement mises à jour par les services du CSA pour les besoins de la régulation audiovisuelle. Le secteur audiovisuel connecté, entre défis et opportunités. Aujourd’hui, le régulateur doit adapter son approche et ses moyens d’action pour rencontrer les objectifs d’intérêt général de la régulation audiovisuelle. Il doit aussi mesurer l’intérêt de la corégulation et concentrer son attention sur les nouvelles questions régulatoires que pose la télévision connectée.Bilan nouveaux médias [texte imprimé] / Dominique Vosters, Auteur . - Bruxelles (Boulevardd de l'Impératrice 13, 1000, Belgique) : CSA Conseil Supérieur de l'Audiovisuel, 2012 . - 72 p.
Langues : Français
Catégories : Audiovisuel ; Bilan ; Cinéma Index. décimale : C.01. Audiovisuel et multimédia Note de contenu : Ce troisième bilan sectoriel du Conseil supérieur de l’audiovisuel propose un instantané d’un univers médiatique audiovisuel en pleine expansion et dont la Fédération Wallonie Bruxelles constituerait le centre.
Un tel point de vue présomptueux ne se justifie bien entendu que pour mieux circonscrire le champ et ensuite les moyens de la régulation dont a la charge le CSA. La télévision et la radio sont désormais intégrés dans une notion plus vaste, celui des services de médias audiovisuels (SMA), englobant les web TV, web radios, services de vidéo à la demande, services de télévision de rattrapage et services interactifs. Le CSA a explicité dans une recommandation du 29 mars 2012 les sept critères cumulatifs à rencontrer pour définir un SMA. Une fois identifié, un SMA est soumis à une régulation dite graduée. Le curseur de la régulation variera selon deux axes : la nature linéaire ou non linéaire du SMA et sa mise à disposition sur une plateforme fermée (câble, IPTV) ou ouverte (Internet). Aujourd’hui, plus que jamais, les nouveaux écrans, interfaces numériques et interactives, permettent à leurs utilisateurs de s’ouvrir sur le monde. Partout où nous sommes, la connectivité à Internet nous permet d’atteindre les mêmes contenus sur tous les supports et d’interagir avec ceux-ci, rendant la télévision plus « sociale ». Le présent bilan dresse en premier lieu un portrait du microcosme encore balbutiant du monde des «nouveaux » SMA en Fédération Wallonie-Bruxelles. Un monde encore souvent composé d’accessoires de services principaux, comme la télévision de rattrapage et se faisant imprégner petit à petit par les grands acteurs globaux américains, s’installant en Europe.
Il explore ensuite les forces qui agissent aux confins de ce microcosme comme les nouveaux obstacles dans le marché de l’audiovisuel que sont les barrières à l’accès et les comportements pouvant affecter la concurrence sur le marché. Il s’emploie à donner la parole à divers acteurs qui entendent bien interagir avec l’expérience en cours, comme ils ont déjà pu le montrer pour la plupart lors du Colloque du CSA du 5-6 juillet dernier, Nouveaux écrans, nouvelles régulations ? Aujourd’hui, au départ d’observations du comportement du public et du développement des équipements et services connectés, le régulateur doit adapter son approche et ses moyens d’action pour rencontrer les objectifs d’intérêt général de la régulation que sont la protection des mineurs, l’accessibilité, la diversité culturelle, le soutien à la production de contenus locaux ou encore la garantie du pluralisme; il doit mesurer l’intérêt de la corégulation et concentrer son attention sur les nouvelles grandes questions régulatoires posées par la télévision connectée. Ce bilan est aussi l’occasion de montrer comment se déploie la créativité audiovisuelle en Fédération Wallonie-Bruxelles, comment les pouvoirs publics participent à cette effervescence et comment le droit d’auteur l’appréhende. Ce bilan entend enfin être un document utile à un public non professionnel qui souhaite se familiariser avec le monde des nouveaux services de médias audiovisuels et certains de ses enjeux, afin d’en découvrir les facettes qui accompagnent notre quotidien. Il est enfin l’occasion de faire partager une nouvelle fois les connaissances perpétuellement mises à jour par les services du CSA pour les besoins de la régulation audiovisuelle. Le secteur audiovisuel connecté, entre défis et opportunités. Aujourd’hui, le régulateur doit adapter son approche et ses moyens d’action pour rencontrer les objectifs d’intérêt général de la régulation audiovisuelle. Il doit aussi mesurer l’intérêt de la corégulation et concentrer son attention sur les nouvelles questions régulatoires que pose la télévision connectée.Réservation
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