Bienvenue dans le catalogue en ligne du centre de documentation conjoint de Smart et de Culture & Démocratie.
Le catalogue répertorie plus de 3000 ressources liées aux champs d’actions thématiques des deux organisations partenaires, parmi lesquels : sociologie de l’art et de la culture, politiques culturelles, mouvement coopératif, entrepreneuriat solidaire, économie sociale.
Une partie des ressources dite « vive » est directement accessible dans le centre de documentation, une autre partie est archivée.
Ce fonds documentaire multilingue regroupe des ouvrages scientifiques, des essais, des guides pratiques, des thèses, des revues, des dossiers, des publications sur supports numériques, ….
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Titre : Au-delà de la proporiété : Pour une économie des communs Type de document : texte imprimé Auteurs : Benoît Borrits, Auteur ; Pierre Dardot, Préfacier, etc. Editeur : Paris [France] : Editions La Découverte Année de publication : 2018 Collection : L 'horizon des possibles Importance : 247 p. Présentation : ann. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-9881-5 Prix : 21,70 € Langues : Français Catégories : communs ; économie collaborative Mots-clés : 'Collectivisme' 'Propriété' 'Mouvement coopératif' 'droit social","système financier" Index. décimale : F.05 Transition et développement durable Note de contenu : À partir d’une enquête sur le mouvement coopératif, les diverses approches de la propriété collective au XIXe siècle, l’étatisation soviétique, la socialisation espagnole de 1936 et la tentative de correction autogestionnaire des communistes yougoslaves, ce livre propose de penser un au-delà à la propriété productive, qu’elle soit privée/capitaliste ou collective. Il montre que, jusqu’ici, deux grandes formes de propriété collective ont été expérimentées : la coopérative et l’étatisation des moyens de production. Dans la première, le capital, même second, tend à reprendre le dessus en cas de succès de l’entreprise. Dans la seconde, elle induit une concentration du pouvoir excluant ceux au nom de qui elle a été réalisée. Ces échecs sont inhérents à la notion même de propriété : excluante et centralisatrice par nature. Même collective, une propriété reste un instrument d’oppression.
Le XXe siècle a été porteur d’innovations qui permettent d’envisager la disparition de la notion de propriété productive : les cotisations sociales, car elles contestent le régime de la propriété par l’imposition de règles de distribution des revenus, et le financement des actifs des entreprises par endettement, car il ouvre la voie à la disparition des fonds propres. Le prolongement de ces innovations permet de relativiser la notion même de propriété et d’envisager que travailleurs et usagers d’une unité de production puissent avoir sur elle un droit de codirection. L’unité productive devient ainsi un commun à côté d’autres communs assurant des tâches de financement des actifs, de mutualisation des investissements, de redistribution et de péréquation des revenus. C’est l’articulation de ces différents communs qui permet d’envisager la disparition totale de la propriété productive.En ligne : https://editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Au_del___de_la_propri__t__-97827 [...] Au-delà de la proporiété : Pour une économie des communs [texte imprimé] / Benoît Borrits, Auteur ; Pierre Dardot, Préfacier, etc. . - Paris (France) : Editions La Découverte, 2018 . - 247 p. : ann.. - (L 'horizon des possibles) .
ISBN : 978-2-7071-9881-5 : 21,70 €
Langues : Français
Catégories : communs ; économie collaborative Mots-clés : 'Collectivisme' 'Propriété' 'Mouvement coopératif' 'droit social","système financier" Index. décimale : F.05 Transition et développement durable Note de contenu : À partir d’une enquête sur le mouvement coopératif, les diverses approches de la propriété collective au XIXe siècle, l’étatisation soviétique, la socialisation espagnole de 1936 et la tentative de correction autogestionnaire des communistes yougoslaves, ce livre propose de penser un au-delà à la propriété productive, qu’elle soit privée/capitaliste ou collective. Il montre que, jusqu’ici, deux grandes formes de propriété collective ont été expérimentées : la coopérative et l’étatisation des moyens de production. Dans la première, le capital, même second, tend à reprendre le dessus en cas de succès de l’entreprise. Dans la seconde, elle induit une concentration du pouvoir excluant ceux au nom de qui elle a été réalisée. Ces échecs sont inhérents à la notion même de propriété : excluante et centralisatrice par nature. Même collective, une propriété reste un instrument d’oppression.
Le XXe siècle a été porteur d’innovations qui permettent d’envisager la disparition de la notion de propriété productive : les cotisations sociales, car elles contestent le régime de la propriété par l’imposition de règles de distribution des revenus, et le financement des actifs des entreprises par endettement, car il ouvre la voie à la disparition des fonds propres. Le prolongement de ces innovations permet de relativiser la notion même de propriété et d’envisager que travailleurs et usagers d’une unité de production puissent avoir sur elle un droit de codirection. L’unité productive devient ainsi un commun à côté d’autres communs assurant des tâches de financement des actifs, de mutualisation des investissements, de redistribution et de péréquation des revenus. C’est l’articulation de ces différents communs qui permet d’envisager la disparition totale de la propriété productive.En ligne : https://editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Au_del___de_la_propri__t__-97827 [...] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1752a F.05. BOR.A. Livre Centre de doc Documentaires Disponible