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Ce fonds documentaire multilingue regroupe des ouvrages scientifiques, des essais, des guides pratiques, des thèses, des revues, des dossiers, des publications sur supports numériques, ….
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Auteur Catherine Millet |
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Art Press, 162. Art press 162. Eugène Leroy : interview / Catherine Millet
Titre de série : Art Press, 162 Titre : Art press 162. Eugène Leroy : interview Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Millet, Auteur ; Philippe Sollers, Auteur ; Joan Simon, Auteur Editeur : Paris [France] : Art Press Année de publication : 1991 Importance : 130 p Langues : Français Catégories : Art plastique Mots-clés : Collections Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : Eugène Leroy : interview - Agnes Martin - Pierre Dunoyer - Robert Gober - Politique des arts plastiques : quoi de neuf - La saison au Châtelet - Jean Genet par Ph. Sollers, J. Henric - Spécial Fiac 91 - Collectionneurs en Belgique - Denise René par Catherine Millet - Robert Ryman - Bruno Maderna. Art Press, 162. Art press 162. Eugène Leroy : interview [texte imprimé] / Catherine Millet, Auteur ; Philippe Sollers, Auteur ; Joan Simon, Auteur . - Paris (8, rue François Villon, 75015, France) : Art Press, 1991 . - 130 p.
Langues : Français
Catégories : Art plastique Mots-clés : Collections Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : Eugène Leroy : interview - Agnes Martin - Pierre Dunoyer - Robert Gober - Politique des arts plastiques : quoi de neuf - La saison au Châtelet - Jean Genet par Ph. Sollers, J. Henric - Spécial Fiac 91 - Collectionneurs en Belgique - Denise René par Catherine Millet - Robert Ryman - Bruno Maderna. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1416a C.04. MIL Livre Centre de doc Documentaires Disponible Art Press, 177. Art press numéro 177. Dossier : Louis Marin / Catherine Millet
Titre de série : Art Press, 177 Titre : Art press numéro 177. Dossier : Louis Marin Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Millet, Auteur ; Sylvie Amar, Auteur ; Jean-François Groulier, Auteur Editeur : Paris [France] : Art Press Année de publication : 1993 Importance : 98 p Langues : Anglais Français Catégories : Art plastique Mots-clés : Collection Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : rtpress. N° 177, février 1993. Contient entre autres : Jörg Immendorff interview par Catherine Millet (7 pages). Dossier : Louis Marin , Lire le visible, par Jean-François Groulier (3 pages).
Collectif, Catherine Millet, Sylvie Amar, Louis Martin, Claire Brunet, Jean-Yves Jouannais, Bernard Comment, Stephan Sarrazin, Jean-Pierre Salgas, Jean-François Groulier (Auteur)Art Press, 177. Art press numéro 177. Dossier : Louis Marin [texte imprimé] / Catherine Millet, Auteur ; Sylvie Amar, Auteur ; Jean-François Groulier, Auteur . - Paris (8, rue François Villon, 75015, France) : Art Press, 1993 . - 98 p.
Langues : Anglais Français
Catégories : Art plastique Mots-clés : Collection Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : rtpress. N° 177, février 1993. Contient entre autres : Jörg Immendorff interview par Catherine Millet (7 pages). Dossier : Louis Marin , Lire le visible, par Jean-François Groulier (3 pages).
Collectif, Catherine Millet, Sylvie Amar, Louis Martin, Claire Brunet, Jean-Yves Jouannais, Bernard Comment, Stephan Sarrazin, Jean-Pierre Salgas, Jean-François Groulier (Auteur)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1414a C.04. MIL Livre Centre de doc Documentaires Disponible Art Press, 24. L'art en images, images de l'artiste / Catherine Millet
Titre de série : Art Press, 24 Titre : L'art en images, images de l'artiste Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Millet, Auteur ; Mouna Mekouar, Auteur ; Guitemie Maldonado, Auteur Editeur : Paris [France] : Art Press Année de publication : 2012 Importance : 142 p Langues : Français Mots-clés : Portraits d'artistes Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : En 1934, les historiens Ernst Kris et Otto Kurz publiaient leur célèbre étude sur L’Image de l’artiste, tentative d’envisager, dans la Vienne du Docteur Freud, la manière dont se sont construits au fil du temps la légende et le mythe des artistes que nous admirons. Pour quelle part ce que nous savons de leur vie et de leur personnalité, forcément idéalisé et mêlé de fiction, participe à la perception de leur œuvre ?
Le sujet n’est-il pas encore plus pressant aujourd’hui ? Depuis Andy Warhol et Joseph Beuys, tous les artistes dont on dit qu’ils font de leur personne même et de leur mode de vie une œuvre d’art nous obligent à prendre en considération les documents, photographies et films, qui nous les révèlent. Regarderait-on Pollock de la même façon sans Namuth ? Et nous ne pourrions pas continuer de réfléchir à l’art de la performance sans les images documentaires, contrôlées ou non par les artistes, qui gardent la trace de leurs actions éphémères et qui exhibent leur corps. Ni l’historien ni le critique d’art n’ignorent ces innombrables sources visuelles, périphériques de l’œuvre elle-même, d’autant que ce sont souvent les artistes qui entreprennent, à l’instar de Salvador Dalí ou de Jeff Koons, de se mettre en scène, de se « médiatiser ». Notre musée imaginaire, depuis celui d’André Malraux, inclut autant les reproductions que la mémoire des œuvres avec lesquelles nous avons été réellement en présence. Vues d’exposition, reportages dans les ateliers, interviews télévisuelles constituent désormais autant que les textes une matière première.
Tel est l’immense chantier que ce numéro d’artpress2 tente pour la première fois de cerner.Art Press, 24. L'art en images, images de l'artiste [texte imprimé] / Catherine Millet, Auteur ; Mouna Mekouar, Auteur ; Guitemie Maldonado, Auteur . - Paris (8, rue François Villon, 75015, France) : Art Press, 2012 . - 142 p.
Langues : Français
Mots-clés : Portraits d'artistes Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : En 1934, les historiens Ernst Kris et Otto Kurz publiaient leur célèbre étude sur L’Image de l’artiste, tentative d’envisager, dans la Vienne du Docteur Freud, la manière dont se sont construits au fil du temps la légende et le mythe des artistes que nous admirons. Pour quelle part ce que nous savons de leur vie et de leur personnalité, forcément idéalisé et mêlé de fiction, participe à la perception de leur œuvre ?
Le sujet n’est-il pas encore plus pressant aujourd’hui ? Depuis Andy Warhol et Joseph Beuys, tous les artistes dont on dit qu’ils font de leur personne même et de leur mode de vie une œuvre d’art nous obligent à prendre en considération les documents, photographies et films, qui nous les révèlent. Regarderait-on Pollock de la même façon sans Namuth ? Et nous ne pourrions pas continuer de réfléchir à l’art de la performance sans les images documentaires, contrôlées ou non par les artistes, qui gardent la trace de leurs actions éphémères et qui exhibent leur corps. Ni l’historien ni le critique d’art n’ignorent ces innombrables sources visuelles, périphériques de l’œuvre elle-même, d’autant que ce sont souvent les artistes qui entreprennent, à l’instar de Salvador Dalí ou de Jeff Koons, de se mettre en scène, de se « médiatiser ». Notre musée imaginaire, depuis celui d’André Malraux, inclut autant les reproductions que la mémoire des œuvres avec lesquelles nous avons été réellement en présence. Vues d’exposition, reportages dans les ateliers, interviews télévisuelles constituent désormais autant que les textes une matière première.
Tel est l’immense chantier que ce numéro d’artpress2 tente pour la première fois de cerner.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1311a C.04. MIL Livre Centre de doc Documentaires Disponible Art Press, 352. Broderie et art contemporain / Catherine Millet
Titre de série : Art Press, 352 Titre : Broderie et art contemporain Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Millet, Auteur ; Richard Leydier, Auteur ; Stéphane Malfettes, Auteur Editeur : Paris [France] : Art Press Année de publication : 2009 Importance : 98 p Langues : Français Catégories : Art plastique Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : Celles, qui ont, sans aucun doute, posé la première pierre sont les artistes de l’avant-garde russe : Sonia Delaunay et Natalia Gontcharova. Membres actifs des avants gardes elles travaillent en égal des hommes. Natalia Gontcharova, qui est, avec son compagnon Larionov, à l’origine du « néo-primitivisme », cherche très tôt à transposer ses recherches plastiques aux arts décoratifs. Lorsqu’en 1914 Diaghilev - qui lui voue une véritable admiration - lui demande de créer les décors et costumes pour le ballet le Coq d’or, Gontcharova s’attache à allier folklore russe, notamment en s’inspirant des costumes populaires, et modernité. Comme dans sa création picturale où elle réaffirme le patrimoine oriental des arts traditionnels russe, qu’elle réinterprète en une formule moderniste, nous retrouvons la même profusion coloriste dans ces costumes à dominantes rouge et jaune. A l’inverse, les « uniformes » qu’elle conçoit pour les Noces de Stravinsky, que monte Diaghilev en 1923, sont à la limite de l’abstraction et ont perdu toutes traces de folklore pour laisser place à une uniformisation et une sobriété, qui ne sont pas sans lien avec la Révolution de 1917. Après cette dernière et dénuées de soutiens financiers, les artistes restées à Paris comme Sonia Delaunay, mettent de côté leurs productions picturales pour se tourner vers les arts décoratifs afin de subvenir aux besoins de leurs familles. Ce choix économique et politique, recouvre aussi des enjeux esthétiques. Dès 1911, Sonia Delaunay ressent le besoin d’appliquer sa facture simultanée à d’autres supports. Ainsi en 1913, après avoir peint son « chef d’œuvre simultané »[1] Le Bal Bullier, elle crée sa première « robe simultanée », abolissant les frontières entre art et artisanat. Suivront des écharpes, des manteaux, des pyjamas, des costumes de ballets, qui relèvent tous du principe du collage[2]. Diffusées dans le monde entier, les créations de Sonia Delaunay bouleversent les codes de la mode, si bien qu’elles inspirent mêmes des poèmes à Tristan Tzara, Philippe Soupault et Joseph Delteil. Ces derniers chantent les couleurs vibrantes et les lignes dansantes de Sonia Delaunay. L’artiste voit dans ses créations l’occasion d’étendre l’art à la vie, d’animer, de donner vie à ses recherches plastiques. Sonia Delaunay est ainsi de toutes les révolutions. Avec sa boutique Simultanée ouverte en 1925, elle confirme l’évolution économique et sociale du statut de la femme - accession aux droits civiques, aux fonctions masculines - en raccourcissant la jupe, libérant la taille et négligeant la poitrine. Avec ses décors et costumes de ballets elle contribue à « l’utopie » de l’art total qui sera développé par les artistes de Stijl, du Bauhaus, et de Merz. Enfin, elle fait passer la femme, du statut de simple « petites mains » à celui de conceptrice, de créatrice à part entière, tout en impulsant l’institution des arts textiles comme art ayant droit de cité dans les écoles d’art, comme ce sera le cas au Bauhaus. Art Press, 352. Broderie et art contemporain [texte imprimé] / Catherine Millet, Auteur ; Richard Leydier, Auteur ; Stéphane Malfettes, Auteur . - Paris (8, rue François Villon, 75015, France) : Art Press, 2009 . - 98 p.
Langues : Français
Catégories : Art plastique Index. décimale : C.04. Arts plastiques Note de contenu : Celles, qui ont, sans aucun doute, posé la première pierre sont les artistes de l’avant-garde russe : Sonia Delaunay et Natalia Gontcharova. Membres actifs des avants gardes elles travaillent en égal des hommes. Natalia Gontcharova, qui est, avec son compagnon Larionov, à l’origine du « néo-primitivisme », cherche très tôt à transposer ses recherches plastiques aux arts décoratifs. Lorsqu’en 1914 Diaghilev - qui lui voue une véritable admiration - lui demande de créer les décors et costumes pour le ballet le Coq d’or, Gontcharova s’attache à allier folklore russe, notamment en s’inspirant des costumes populaires, et modernité. Comme dans sa création picturale où elle réaffirme le patrimoine oriental des arts traditionnels russe, qu’elle réinterprète en une formule moderniste, nous retrouvons la même profusion coloriste dans ces costumes à dominantes rouge et jaune. A l’inverse, les « uniformes » qu’elle conçoit pour les Noces de Stravinsky, que monte Diaghilev en 1923, sont à la limite de l’abstraction et ont perdu toutes traces de folklore pour laisser place à une uniformisation et une sobriété, qui ne sont pas sans lien avec la Révolution de 1917. Après cette dernière et dénuées de soutiens financiers, les artistes restées à Paris comme Sonia Delaunay, mettent de côté leurs productions picturales pour se tourner vers les arts décoratifs afin de subvenir aux besoins de leurs familles. Ce choix économique et politique, recouvre aussi des enjeux esthétiques. Dès 1911, Sonia Delaunay ressent le besoin d’appliquer sa facture simultanée à d’autres supports. Ainsi en 1913, après avoir peint son « chef d’œuvre simultané »[1] Le Bal Bullier, elle crée sa première « robe simultanée », abolissant les frontières entre art et artisanat. Suivront des écharpes, des manteaux, des pyjamas, des costumes de ballets, qui relèvent tous du principe du collage[2]. Diffusées dans le monde entier, les créations de Sonia Delaunay bouleversent les codes de la mode, si bien qu’elles inspirent mêmes des poèmes à Tristan Tzara, Philippe Soupault et Joseph Delteil. Ces derniers chantent les couleurs vibrantes et les lignes dansantes de Sonia Delaunay. L’artiste voit dans ses créations l’occasion d’étendre l’art à la vie, d’animer, de donner vie à ses recherches plastiques. Sonia Delaunay est ainsi de toutes les révolutions. Avec sa boutique Simultanée ouverte en 1925, elle confirme l’évolution économique et sociale du statut de la femme - accession aux droits civiques, aux fonctions masculines - en raccourcissant la jupe, libérant la taille et négligeant la poitrine. Avec ses décors et costumes de ballets elle contribue à « l’utopie » de l’art total qui sera développé par les artistes de Stijl, du Bauhaus, et de Merz. Enfin, elle fait passer la femme, du statut de simple « petites mains » à celui de conceptrice, de créatrice à part entière, tout en impulsant l’institution des arts textiles comme art ayant droit de cité dans les écoles d’art, comme ce sera le cas au Bauhaus. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1312a C.04. MIL Livre Centre de doc Documentaires Disponible