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Une partie des ressources dite « vive » est directement accessible dans le centre de documentation, une autre partie est archivée.
Ce fonds documentaire multilingue regroupe des ouvrages scientifiques, des essais, des guides pratiques, des thèses, des revues, des dossiers, des publications sur supports numériques, ….
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Titre : Le précariat : Les dangers d'une nouvelle classe Type de document : texte imprimé Auteurs : Guy Standing, Auteur Editeur : Paris [France] : Les éditions de l'Opportun Année de publication : 2017 Importance : 460 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36075-470-0 Prix : 22€ Langues : Français Langues originales : Anglais Catégories : Sociologie ; Travail Mots-clés : 'précariat' 'classe sociale' 'revenu universel' 'travail' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Note de contenu : « Beaucoup de ceux qui entraient dans le précariat n’allaient connaître ni le nom de leur employeur ni le nombre de leurs collègues actuels ou futurs. Ils n’appartiendraient pas non plus à la “classe moyenne”, puisque leur salaire ne serait ni stable ni prévisible et qu’ils ne jouiraient ni du statut ni des avantages inhérents à cette catégorie »(Guy Standing)
Il ne s’agit pas d’une prophétie apocalyptique, mais de la description d’une étape de l’arrivée de travailleurs dans la nouvelle classe sociale qu’il nomme « précariat ».
Le terme a été utilisé pour la première fois par les sociologues français dans les années 1980, pour désigner les travailleurs temporaires ou saisonniers, rappelle l’économiste britannique, qui affirme que « des millions de gens sont entrés dans le précariat ».
Guy Standing estime que les précaires forment une nouvelle classe sociale qu’il juge « dangereuse », car ils sont privés des droits qui unissent les citoyens dans une même société. Le précariat « est constitué de gens dont les relations de confiance avec le capital ou l’Etat sont réduites au minimum ». Les précaires n’ont même pas la protection minimum du contrat social qui « protège » le prolétariat.
Ce qui caractérise les membres de cette nouvelle classe sociale, c’est la perte de droits sociaux, voire civiques, qui les marginalisent. Guy Standing énumère sept niveaux de protection perdue, dont la sécurité de l’emploi, celle du poste dans l’entreprise, celle du revenu ou encore celle de la représentation syndicale.
Son ouvrage analyse la genèse de cette nouvelle classe sociale, liée à la mondialisation de l’économie.
Guy Standing est un économiste anglais reconnu dans le monde entier. Il a écrit de nombreux ouvrages et analyses sur l’insécurité économique. Il est membre fondateur du Basic Income Earth Network, qui promeut notamment le revenu universel.
En ligne : https://www.editionsopportun.com/produit/104/9782360751914 Le précariat : Les dangers d'une nouvelle classe [texte imprimé] / Guy Standing, Auteur . - Paris (France) : Les éditions de l'Opportun, 2017 . - 460 p.
ISBN : 978-2-36075-470-0 : 22€
Langues : Français Langues originales : Anglais
Catégories : Sociologie ; Travail Mots-clés : 'précariat' 'classe sociale' 'revenu universel' 'travail' Index. décimale : E.03 Sociologie du travail Note de contenu : « Beaucoup de ceux qui entraient dans le précariat n’allaient connaître ni le nom de leur employeur ni le nombre de leurs collègues actuels ou futurs. Ils n’appartiendraient pas non plus à la “classe moyenne”, puisque leur salaire ne serait ni stable ni prévisible et qu’ils ne jouiraient ni du statut ni des avantages inhérents à cette catégorie »(Guy Standing)
Il ne s’agit pas d’une prophétie apocalyptique, mais de la description d’une étape de l’arrivée de travailleurs dans la nouvelle classe sociale qu’il nomme « précariat ».
Le terme a été utilisé pour la première fois par les sociologues français dans les années 1980, pour désigner les travailleurs temporaires ou saisonniers, rappelle l’économiste britannique, qui affirme que « des millions de gens sont entrés dans le précariat ».
Guy Standing estime que les précaires forment une nouvelle classe sociale qu’il juge « dangereuse », car ils sont privés des droits qui unissent les citoyens dans une même société. Le précariat « est constitué de gens dont les relations de confiance avec le capital ou l’Etat sont réduites au minimum ». Les précaires n’ont même pas la protection minimum du contrat social qui « protège » le prolétariat.
Ce qui caractérise les membres de cette nouvelle classe sociale, c’est la perte de droits sociaux, voire civiques, qui les marginalisent. Guy Standing énumère sept niveaux de protection perdue, dont la sécurité de l’emploi, celle du poste dans l’entreprise, celle du revenu ou encore celle de la représentation syndicale.
Son ouvrage analyse la genèse de cette nouvelle classe sociale, liée à la mondialisation de l’économie.
Guy Standing est un économiste anglais reconnu dans le monde entier. Il a écrit de nombreux ouvrages et analyses sur l’insécurité économique. Il est membre fondateur du Basic Income Earth Network, qui promeut notamment le revenu universel.
En ligne : https://www.editionsopportun.com/produit/104/9782360751914 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1763a E.03.STA.P. Livre Centre de doc Documentaires Disponible La pssion musicale / Antoine Hennion
Titre : La pssion musicale : Une sociologie de la médiation Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine Hennion, Auteur Editeur : Paris [France] : Métailié éditions Année de publication : 2007 Importance : 397 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86424-632-9 Langues : Français Catégories : Musique ; Sociologie Mots-clés : médiation Index. décimale : C.03.3. Musiques Résumé : L'objet de ce livre est instable, comme celui de la musique. Il vise à faire une sociologie de la passion musicale qui en respecte les médiations propres, qui n'écrase pas sous les instruments de l'analyse la réalité analysée. Il tente aussi l'inverse, une théorie de la médiation formulée depuis la leçon que donne la musique. Cet art de la présence déconcerte en effet l'analyse sociologique. La musique n'a pas d’objet à montrer, elle n'est qu'accumulation de médiateurs (instruments, langages, partitions, interprètes, scènes, médias…). Pour comprendre comment les musiciens installent la musique au milieu d'eux, A. Hennion part du mouvement de réinterprétation de la musique baroque, qui, en mêlant médias modernes et traités anciens, a créé un objet inouï, l'écoute moderne d'une musique ancienne. Restituant ainsi la diversité des intermédiaires, humains ou matériels, par lesquels passe la relation entre musiques et publics, l'auteur analyse des dispositifs musicaux concrets, de la classe de solfège à la grande scène rock ou au concert classique. La musique est un bon modèle pour un tel repeuplement du monde de l'art : on y parle moins d'objet que de performance, d'œuvres que de versions, d'"être" que de jeu. Non pas la musique d'un côté, le public de l'autre, et entre eux des moyens asservis : tout se joue chaque fois au milieu, dans la réussite d'un passage.
En montrant une réalité collective remplie d'instruments, de corps, d'objets, la musique introduit à une sociologie de la médiation comme double dépassement, d'une pensée critique qui réduit les objets au social et d'une pensée naturelle qui n'accepte d'objets que si elle les arrache au social.La pssion musicale : Une sociologie de la médiation [texte imprimé] / Antoine Hennion, Auteur . - Paris (75006, France) : Métailié éditions, 2007 . - 397 p.
ISBN : 978-2-86424-632-9
Langues : Français
Catégories : Musique ; Sociologie Mots-clés : médiation Index. décimale : C.03.3. Musiques Résumé : L'objet de ce livre est instable, comme celui de la musique. Il vise à faire une sociologie de la passion musicale qui en respecte les médiations propres, qui n'écrase pas sous les instruments de l'analyse la réalité analysée. Il tente aussi l'inverse, une théorie de la médiation formulée depuis la leçon que donne la musique. Cet art de la présence déconcerte en effet l'analyse sociologique. La musique n'a pas d’objet à montrer, elle n'est qu'accumulation de médiateurs (instruments, langages, partitions, interprètes, scènes, médias…). Pour comprendre comment les musiciens installent la musique au milieu d'eux, A. Hennion part du mouvement de réinterprétation de la musique baroque, qui, en mêlant médias modernes et traités anciens, a créé un objet inouï, l'écoute moderne d'une musique ancienne. Restituant ainsi la diversité des intermédiaires, humains ou matériels, par lesquels passe la relation entre musiques et publics, l'auteur analyse des dispositifs musicaux concrets, de la classe de solfège à la grande scène rock ou au concert classique. La musique est un bon modèle pour un tel repeuplement du monde de l'art : on y parle moins d'objet que de performance, d'œuvres que de versions, d'"être" que de jeu. Non pas la musique d'un côté, le public de l'autre, et entre eux des moyens asservis : tout se joue chaque fois au milieu, dans la réussite d'un passage.
En montrant une réalité collective remplie d'instruments, de corps, d'objets, la musique introduit à une sociologie de la médiation comme double dépassement, d'une pensée critique qui réduit les objets au social et d'une pensée naturelle qui n'accepte d'objets que si elle les arrache au social.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 990a C.03.3. HEN Livre Centre de doc Documentaires Disponible
Titre : Le risque ou le care? Type de document : texte imprimé Auteurs : Tronto Joan, Auteur Editeur : Paris, Presses universitaires de France Année de publication : 2012 Format : 11,5 x 17,6 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-060719-9 Langues : Français Catégories : Sociologie Mots-clés : société, risque, états sociaux, démocratie, Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Prenant acte d’un concept fondamental dans les sciences sociales, le risque, cet ouvrage critique l’usage que le sociologue Ulrich Beck en fait en l’associant à une perte de contrôle des démocraties occidentales sur leur destin. Les scientifiques ne maîtrisent plus les effets de leurs découvertes, les politiques sont aux mains de technostructures, les nouvelles formes de catastrophes ont des effets irréversibles… Beck croit penser une nouvelle modernité, la « société du risque ». Mais il reste dépendant du vieux modèle de société masculiniste en insistant sur la question de la maîtrise, d’un contrôle malheureusement perdu, et reste sourd à la question sociale.
Pour Joan Tronto, au contraire, il est nécessaire de repenser des États sociaux contre la déploration de la société du risque, en réalité symptôme de la fin de l’hégémonie des anciennes puissances coloniales.En ligne : https://www.puf.com/content/Le_risque_ou_le_care Le risque ou le care? [texte imprimé] / Tronto Joan, Auteur . - [S.l.] : Paris, Presses universitaires de France, 2012 . - ; 11,5 x 17,6 cm.
ISBN : 978-2-13-060719-9
Langues : Français
Catégories : Sociologie Mots-clés : société, risque, états sociaux, démocratie, Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Prenant acte d’un concept fondamental dans les sciences sociales, le risque, cet ouvrage critique l’usage que le sociologue Ulrich Beck en fait en l’associant à une perte de contrôle des démocraties occidentales sur leur destin. Les scientifiques ne maîtrisent plus les effets de leurs découvertes, les politiques sont aux mains de technostructures, les nouvelles formes de catastrophes ont des effets irréversibles… Beck croit penser une nouvelle modernité, la « société du risque ». Mais il reste dépendant du vieux modèle de société masculiniste en insistant sur la question de la maîtrise, d’un contrôle malheureusement perdu, et reste sourd à la question sociale.
Pour Joan Tronto, au contraire, il est nécessaire de repenser des États sociaux contre la déploration de la société du risque, en réalité symptôme de la fin de l’hégémonie des anciennes puissances coloniales.En ligne : https://www.puf.com/content/Le_risque_ou_le_care Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01252a E.TRO.R. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Rites de virilité à l'adolescence / David Le Breton
Titre : Rites de virilité à l'adolescence Type de document : texte imprimé Auteurs : David Le Breton, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : YAPAKA, coordination de l'aide aux victimes de maltraitance Année de publication : 2015 Importance : 64 p Langues : Français Catégories : adolescence ; Sociologie Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Il s’agit dans cet ouvrage de s’attacher à la construction sociale du masculin dans nos sociétés où les anciens modèles de genre s’effacent. Il devient parfois malaisé d’entrer dans la peau d’un homme, particulièrement pour certains adolescents qui cumulent des difficultés affectives et sociales, sans trouver à leur côté des adultes pouvant leur donner le goût de grandir et de s’autoriser à prendre son essor. Les conduites à risque sont marquées par les connotations sociales du genre. Chez les filles, elles prennent des formes discrètes, silencieuses (troubles alimentaires, scarifications, tentatives de suicide…), là où chez les garçons elles sont exposition de soi, souvent sous le regard des pairs (suicides, violences, délinquances, provocations, défis, alcoolisation, vitesse sur les routes, toxicomanies…). Nombre de ces conduites à risque masculines relèvent de rites de virilité, des rites de l’entre-soi que les garçons effectuent sous formes de défi pour se montrer qu’ils sont à la hauteur. Cette image de soi toujours à glorifier, en quête de reconnaissance des pairs (les autres garçons) alimente maintes formes de violence dans les établissements scolaires ou ailleurs, souvent au détriment des filles, et parfois elle aboutit aux tueries scolaires ou au djihadisme comme une manière ultime d’exister dans l’incandescence quand plus rien d’autre ne les valorise. On retrouve souvent dans ces conduites l’impossibilité de s’identifier aux autres, une haine farouche qui leur tient lieu d’affiliation au monde, une fascination pour l’image et le sentiment d’atteindre une sorte d’immortalité par la virulence de leur acte. L’ouvrage est surtout centré sur les différentes formes de violences masculines. Rites de virilité à l'adolescence [texte imprimé] / David Le Breton, Auteur . - Bruxelles (Belgique) : YAPAKA, coordination de l'aide aux victimes de maltraitance, 2015 . - 64 p.
Langues : Français
Catégories : adolescence ; Sociologie Index. décimale : E. Sociologie / Anthropologie Note de contenu : Il s’agit dans cet ouvrage de s’attacher à la construction sociale du masculin dans nos sociétés où les anciens modèles de genre s’effacent. Il devient parfois malaisé d’entrer dans la peau d’un homme, particulièrement pour certains adolescents qui cumulent des difficultés affectives et sociales, sans trouver à leur côté des adultes pouvant leur donner le goût de grandir et de s’autoriser à prendre son essor. Les conduites à risque sont marquées par les connotations sociales du genre. Chez les filles, elles prennent des formes discrètes, silencieuses (troubles alimentaires, scarifications, tentatives de suicide…), là où chez les garçons elles sont exposition de soi, souvent sous le regard des pairs (suicides, violences, délinquances, provocations, défis, alcoolisation, vitesse sur les routes, toxicomanies…). Nombre de ces conduites à risque masculines relèvent de rites de virilité, des rites de l’entre-soi que les garçons effectuent sous formes de défi pour se montrer qu’ils sont à la hauteur. Cette image de soi toujours à glorifier, en quête de reconnaissance des pairs (les autres garçons) alimente maintes formes de violence dans les établissements scolaires ou ailleurs, souvent au détriment des filles, et parfois elle aboutit aux tueries scolaires ou au djihadisme comme une manière ultime d’exister dans l’incandescence quand plus rien d’autre ne les valorise. On retrouve souvent dans ces conduites l’impossibilité de s’identifier aux autres, une haine farouche qui leur tient lieu d’affiliation au monde, une fascination pour l’image et le sentiment d’atteindre une sorte d’immortalité par la virulence de leur acte. L’ouvrage est surtout centré sur les différentes formes de violences masculines. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0986a E.LEB.R. Livre Centre de doc Documentaires Disponible Sale temps pour les enfants / Collectif
Titre : Sale temps pour les enfants : L'impact de la crise sur les droits de l'enfant en Belgique - Etude 2015 Type de document : texte imprimé Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : Bruxelles [Belgique] : CODE Année de publication : 2015 Importance : 112 p. Langues : Français Catégories : Droit ; Economie sociale ; Enfance ; Sociologie Index. décimale : B.02.5. Jeunesse Note de contenu : Du fait de la crise économique de 2008, le quotidien de nombreuses familles vivant en Belgique a évolué vers une plus grande précarité. Les enfants sont les premiers touchés. Les chiffres sont alarmants, en particulier en Fédération Wallonie-Bruxelles : en Wallonie, 1 enfant sur 4 vit sous le seuil de la pauvreté ou est en risque de pauvreté ; à Bruxelles, ils sont 4 sur 10.
Les effets de la crise sur les enfants et sur le respect de leurs droits sont multiples. Ils sont indirects, à travers des mesures qui touchent les parents : fragilisation de la sécurité sociale et des services sociaux, pression sur les travailleurs, chômeurs, futurs pensionnés...
Mais ces impacts sont également directs. Ils portent notamment sur l’accompagnement des jeunes et des familles, l’accueil de la petite enfance, le bien-être, les contributions alimentaires, l’enseignement, les loisirs, la migration, la participation et la santé.
La présente étude "Sale temps pour les enfants. L’impact de la crise sur les droits de l’enfant" analyse l’état de la situation dans la perspective des droits de l’enfant, et souligne que les effets de la crise ne sont pas inévitables.
L’étude sera disponible en version papier dans le courant du mois de janvier. N’hésitez pas à nous en commander d’ores et déjà des exemplaires en nous faisant parvenir vos coordonnées complètes à l’adresse info@lacode.be. L’étude et son envoi sont gratuits.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles.Sale temps pour les enfants : L'impact de la crise sur les droits de l'enfant en Belgique - Etude 2015 [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - Bruxelles (Belgique) : CODE, 2015 . - 112 p.
Langues : Français
Catégories : Droit ; Economie sociale ; Enfance ; Sociologie Index. décimale : B.02.5. Jeunesse Note de contenu : Du fait de la crise économique de 2008, le quotidien de nombreuses familles vivant en Belgique a évolué vers une plus grande précarité. Les enfants sont les premiers touchés. Les chiffres sont alarmants, en particulier en Fédération Wallonie-Bruxelles : en Wallonie, 1 enfant sur 4 vit sous le seuil de la pauvreté ou est en risque de pauvreté ; à Bruxelles, ils sont 4 sur 10.
Les effets de la crise sur les enfants et sur le respect de leurs droits sont multiples. Ils sont indirects, à travers des mesures qui touchent les parents : fragilisation de la sécurité sociale et des services sociaux, pression sur les travailleurs, chômeurs, futurs pensionnés...
Mais ces impacts sont également directs. Ils portent notamment sur l’accompagnement des jeunes et des familles, l’accueil de la petite enfance, le bien-être, les contributions alimentaires, l’enseignement, les loisirs, la migration, la participation et la santé.
La présente étude "Sale temps pour les enfants. L’impact de la crise sur les droits de l’enfant" analyse l’état de la situation dans la perspective des droits de l’enfant, et souligne que les effets de la crise ne sont pas inévitables.
L’étude sera disponible en version papier dans le courant du mois de janvier. N’hésitez pas à nous en commander d’ores et déjà des exemplaires en nous faisant parvenir vos coordonnées complètes à l’adresse info@lacode.be. L’étude et son envoi sont gratuits.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01136a B.02.5.COL.S Livre Centre de doc Documentaires Disponible PermalinkLa sociologie de l'art / Nathalie Heinich
PermalinkSociologie de la lecture / Chantal Horellou-Lafarge
PermalinkPermalinkSociologie des publics / Jean-Pierre Esquenazi
PermalinkLa sociologie et les sciences de la société / Jean Cazeneuve
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